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Ca bouge à Charleroi et dans l'entité ! - Page 11

  • FLEURUS- Fabrique des jouets- Les lutins demandent du renfort !

     

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    Greg et ses deux enfants.

                                                   Une aventure immersive et interactive unique !

    Jusqu'au 19 janvier 25, les visiteurs pourront se plonger au cœur d'une Fabrique à Jouets, où réalité augmentée, jeux interactifs et décors enchanteurs se mêlent pour offrir une expérience inoubliable.

    « Cette Fabrique à Jouets » est un véritable enchantement ! » souligne Greg. Pompier à la Ville de Charleroi, ce policier s'est vu offrir des places par l'Amicale pour y entrer. « Josh, mon fils, a particulièrement apprécié de participer activement au bon fonctionnement de la fabrique : trier des colis, peindre des jouets ou réparer des machines. Ma fille Mila, elle, a aimé se promener dans une forêt mystérieuse où une petite fille, égarée, trouve refuge dans un manoir enchanté ».

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    La Fabrique à Jouets se distingue non seulement par son histoire féerique, mais aussi par sa technologie de pointe. Grâce à des projections 4K et des décors immersifs, chaque visiteur devient acteur de cette aventure. Un parcours d’1h30 magique est conçu pour émerveiller petits et grands. Après avoir percé les mystères de la Fabrique à Jouets, les enfants pourront s’amuser dans une piscine à boules de neige géante, tandis que les adultes se régaleront de crêpes, gaufres ou hot-dogs, en profitant d’un moment convivial autour d’un verre.

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    JEAN-CLAUDE HERIN 

  • LODELINSART- La mort rôde au Petit Théâtre de la Ruelle

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    Un plan machiavélique, échafaudé pour éliminer un mari naïf, réussira-t-il ? Réponse dans "Le mari, la femme et la mort"  jusqu'au 17 novembre.  

    JEAN-CLAUDE HERIN

    Si la pièce: « Le mari, la femme et la mort » date de 1954, elle est encore d'une étonnante modernité. D'origine marseillaise, son auteur, également journaliste, André Roussin (1911-1987) s'est illustré dans la Compagnie du Rideau Gris, en la dirigeant et tenant les principaux rôles des spectacles. Le pitch est le suivant : Sébastien (Jacques Delmeire), un homme réputé avare, ayant gagné de grosses sommes d'argent aux courses, Arlette (Lucelia Vandel), une astucieuse jeune femme, décide de se faire épouser et de le berner avec la complicité de son jeune frère appelé curieusement Kiki (Salvatore Vullo), sorti de prison, afin d'hériter de cette immense fortune. Un dénommé Percier (Francis Dehasseleer) est engagé pour supprimer Sébastien parti à la pêche...

    Dans la distribution, on retrouve aussi Véronique Brabant. « En réalité, la pièce est une adaptation d'un fait divers qui s'était déroulé en Italie : une paysanne avait par deux fois payé quelqu'un pour tuer son mari. Le thème pourrait constituer une formidable tragédie, mais, chez Roussin, tout est traité sur un ton léger de comédie de boulevard bien efficace. La femme monstre, dupée par sa propre machination et victime de celle-ci, en devient comique » explique Jacques Delmeire, à la mise en scène.

    Dans la pièce jouée par la troupe des Molières et Mocassins, on ne peut que souligner la justesse des propos. Tout sonne vrai dans la bouche des cinq comédiens. Dès le départ, le spectateur est pris par cette intrigue assez surprenante et aux rebondissements multiples. L'émotion est souvent au rendez-vous. « Le mari, la femme et la mort » d'André Roussin, au Petit Théâtre de la Ruelle, jusqu'au 17 novembre. Vendredi et samedi à 20h et dimanche à 16h. Entrées : Prix plein : 17 euros. Infos et réservations au 0474/388 032.

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    Arlette ( Lucelia Vandel ) et Kiki (Salvatore Vullo )

  • CHARLEROI- Expo: Parallaxe à la Maison du Hainaut

     

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                                  La « forêt humaine » de Thomas Aubrée- photo: J.C. Hérin 

    Dans les oeuvres de Thomas Aubrée, les traits sont puissants, ethniques et vertigineux, complexes, passionnels et non prémédités.

    S'exprimant à travers ses crayons et ses pinceaux, Thomas Aubrée, jeune trisomique, est artiste à la Pommeraie, un centre dispensant des services aux personnes en situation de handicap et un centre de création, où il est possible de s’exprimer à travers l’art. L'atelier de dessin est animé par Yoann Meunier, éducateur spécialisé à Quevaucamps. Dans la grande salle d'exposition de la Maison du Hainaut, le spectateur sera frappé par une oeuvre de grand format. "Cette « forêt humaine » imposante déploie un nombre d'êtres inconventionnels, imbriqués les uns dans les autres au sein d'un maillage vif, brut et détaillé en force » faisait remarquer Sophie Vincent, coordinatrice des expositions, lors du vernissage. Le jeune plasticien sculpte aussi des masques à caractère tribal.

    L'expo présente également des photographies de Régine Riou, une artiste qui pratique nombre de disciplines au sein de l'Académie des Beaux-Arts de Charleroi et qui a découvert la technique particulière de la "caméra obscura", " chambre noire ", en 2008 grâce à un de ses anciens professeurs.  Si les oeuvres de Thomas Aubrée sont à voir en prenant du recul, les photographies de Régine Riou demandent, par contre, à se rapprocher. Voilà pourquoi l'expo générale s'intitule « Parallaxe », c'est-à-dire, l'impact d'un changement d'incidence d'observation. Possibilités d’ateliers et d’animations et d’ateliers ouverts au public sur inscription.

    A voir jusqu'au 11 décembre 24 à la Maison du Hainaut, 20, Quai Arthur Rimbaud à Charleroi. Accès gratuit du lundi au vendredi de 8h à 12h et de 13h à 16h. Pour toute information ou visite de groupe : sophie.vincent@hainaut.be ou 071/64.10.61

    JEAN-CLAUDE HERIN

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