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Ca bouge à Charleroi et dans l'entité ! - Page 2

  • CHARLEROI DANSE/ "Métamorphoses": une création 100 % carolo.

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    Deux des trois danseurs- photo: Tom Boeykens

    Trois danseurs carolos du groupe Héméra ont présenté leur premier spectacle à Charleroi danse. 

    JEAN-CLAUDE HERIN

    Fait de libération, de résistance et de protection, un cycle se dessine... Fragile et puissante à la fois, une danse se déploie. « Dans la pièce "Métamorphoses", nous luttons tous contre une force invisible. Un rapport amour/haine s'établit entre nous, que nous traduisons par divers mouvements de notre corps » signale Manoa Bombart (23 ans) de Fleurus.

    « Nous sommes traversés par diverses épreuves qui tantôt nous rappochent, tantôt nous éloignent les uns des autres » poursuit Michaël Arcuri (25 ans) de Roux. « Nous proposons une vision commune de la transformation. Ce qui est important dans la métamorphose, ce n’est pas la forme ultime mais bien le passage, le chemin. Le fil conducteur permet de faire évoluer le propos de départ » pointe Julien Maniquet (25 ans) de Châtelet.

    Héméra, c’est la rencontre de trois danseurs pluridisciplinaires carolos qui performent notamment dans la vidéo, les arts-martiaux ou la peinture abstraite. La patience et la persévérance des artistes ont porté leurs fruits: ce week-end, le trio présentera leur premier opus aux Ecuries, un projet qui est l’aboutissement de presque dix ans de travail collectif. L'aventure a débuté à la Yuka Dance Academy. Le groupe a accumulé des expériences marquantes : des dizaines de scènes en Belgique et à l’international, jusqu’à représenter la Belgique à Phoenix, en Arizona. Les danseurs sont guidés par Baloo (NB : Baloo the Cage), une figure incontournable du hip-hop freestyle en Belgique et dans le monde. La mise en scène est signée Alexis Tomasella.

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    photo: Tom Boeykens 

  • COURCELLES- Livre et expo à la Posterie jusqu'au 19 novembresur Flavio Giacomello

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    Flavio Giacomello- photo Alain Bourotte 

     

    Flavio Giacomello, artiste courcellois, excelle dans les arts visuels et la sculpture. Un ouvrage très exhaustif lui est consacré, ainsi qu’une expo rétrospective à la Posterie.

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    Des oeuvres de l'artiste

    JEAN-CLAUDE HERIN

    Une expo présente actuellement une multitude d'œuvres (pour la plupart méconnues du public) : aquarelles, gouaches, sculptures, gravures, peintures, dessins (bande dessinée), caricatures,… de Flavio Giacomello, artiste courcellois renommé.  Né en 1943 à Aviano et déraciné très jeune lors de l’exode vers la Belgique, celui-ci choisit la voie de l’art plutôt qu’une carrière technique. Au fil de son parcours, celui-ci fait des rencontres marquantes, parfois mystiques, qui orienteront son destin. La sortie d’un livre, qui est une belle reconnaissance pour le travail accompli par l’artiste courcellois, s'inscrit dans le cadre de cette grande exposition rétrospective. Ecrit par Dominique Dalne et mis en page par Alain Bourotte, attaché de communication à la Posterie, l’ouvrage, composé de près de 300 pages et rassemblant environ 280 œuvres, documents et photographies, révèle le chemin de vie et la création lumineuse d’un artiste en dialogue constant avec le sacré et l’universel. Le livre est en vente chez Molière à Charleroi et durant toute la durée de l’exposition, sur place à La Posterie, rue Monnoyer, 46 à Courcelles, jusqu’au 19 novembre, sans interruption de 14h à 18h. Infos: 071/45 66 87 ou info@laposterie.be 

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    Lors du vernissage: photo: Alain Bourotte

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    De gauche à droite: Dominique Dalne et Alain Bourotte

  • CHARLEROI/LE CAIRE: Dirty Monitor a illuminé le Grand Musée Egyptien

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    Le studio carolo Dirty Monitor a signé un vidéo mapping monumental, lors de la cérémonie d’ouverture du Grand Egyptian Museum.

    Deux décennies après s’être lancés, Orphée et Mauro Cataldo, fondateurs du studio carolo Dirty Monitor, ont de quoi être fiers. Grâce au savoir-faire d’une équipe qui compte aujourd’hui une trentaine de collaborateurs, la façade du Grand Egyptian Museum qui est le plus grand musée d’archéologie du monde consacré à une seule civilisation, s’illuminait, début novembre, pour son inauguration officielle face aux pyramides de Gizeh.

    À travers un parcours visuel et musical, le show faisait voyager les spectateurs depuis l’obélisque suspendu du musée
    jusqu’à sa façade monumentale de 387 mètres, retraçant l’épopée de Ramsès II à Toutankhamon, et rendant hommage aux grands rois et bâtisseurs de l’Égypte antique.

    Fruit de 7 mois de préparation entre la Belgique et l’Égypte, le projet a mobilisé une vingtaine d’artistes et techniciens spour créer ce mapping spectaculaire.

    Un temple de lumière

    Grâce à plus de 60 projecteurs, à une scénographie innovante et à une bande sonore composée sur mesure et jouée par un orchestre symphonique, le spectacle a transformé le musée en un temple de lumière, symbole d’un pont entre passé et futur.

    Pour Arnaud Meulemeester, ce projet est l’aboutissement d’un rêve né lors de sa première visite du musée encore en construction : « Depuis mes fouilles en Crète jusqu’à mes années passées à illuminer les monuments du monde, tout me ramenait ici, aux pieds des pyramides » signale l'archéologue et Business Developer chez Dirty Monitor. Le plus grand musée
    d’archéologie du monde s’ouvrait ainsi sous le signe de la lumière, un hommage à la grandeur de l’Égypte et à la beauté universelle de la culture humaine.

    JEAN-CLAUDE HERIN

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    Magnifique !