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Cultures - Evénements - Page 580

  • MARCINELLE- Cabaret 2000: Ladies Night aux accents carolos

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    Tout le monde a encore en mémoire le film " Full Monty" , dans lequel des loosers osaient réaliser un striptease,   pour (se) prouver que la solidarité  n'était pas un vain mot.  La troupe de Cabaret 2000  a opté pour la version originale de cette histoire.  Six ouvriers qualifiés, qui ont perdu leur emploi  suite à des délocalisations,  se retrouvent dans le café populaire de Mado,  sorte de Maison du peuple. 

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    Plutôt que de plonger dans la déprime,  les gars essaient de s'en sortir.... ne serait-ce que pour venir en aide à leur épouse  et les enfants, et retrouver leur dignité. Lisant dans la presse l'arrivée des Chippendales,  ils se lancent un défi de se déshabiller comme ces "beaux mâles".  Pour cela, ils devront un peu mettre de côté leur amour    propre,  et répéter un numéro  sous la conduite de Mado,  qui est aussi une ancienne danseuse.  Cette expérience  va transformer leurs doutes en espoir(s).   Une adaptation "carolorisée"  avec , en invités,  2 sociétaires du Cercle wallon de Couillet qui apportent une couleur locale  au bistrot de Mado.  La chorégraphie est une création de Patricia Vanacker.  Avec Michelle Vercammen, Georges Volral, Antoine Vandenberghe, Jacky Druaux, Jean-Charles Gosseries, Judicaël Vlieghe, Luigi Di Giovanni, Pierre Jandrain et René Mairy.

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    "Ladies night" mise en scène et adaptée par François Langlois, est à voir les jeudis, vendredis et samedis à 20h30 et les dimanches à 16h30,  à La Ruche Théâtre, 1, Avenue Meurée, jusqu'au 1er juin. Prix: de 15 à 9 euros.  Infos : 0495/102014 . www.cabaret2000.com.

  • LODELINSART- Molières et Mocassins: "Biche, ô Labiche" du 23/5 au 15/6

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    Fin de saison brillante et pétillante... LABICHE est au Petit Théâtre de la Ruelle pour un tout bon moment de vrai PLAISIR... à partir de ce vendredi ! 0474 388 032.

    2 pièces sinon rien !

     

    BICHE, Ô LABICHE

    Au Petit théâtre de la Ruelle

     

    Pour terminer en beauté la saison de leur 25ème anniversaire, les Molières et Mocassins portent à l’affiche à partir du 23/5 deux chefs-d’œuvre d’Eugène Labiche, LES DEUX TIMIDES et L’AFFAIRE DE LA RUE DE LOURCINE, réunis sous le titre général, BICHE, Ô LABICHE

     

    On ne présente plus Eugène Labiche, le contemporain de Feydeau et l’auteur de monuments du répertoire dit de vaudeville : Un Chapeau de paille d’Italie, Le Voyage de Monsieur Perrichon, La Cagnotte…

     

    Au Petit Théâtre, donc, l’occasion est ainsi proposée de découvrir deux perles du répertoire en 1 acte de Labiche.

     

    La 1ère, LES DEUX TIMIDES.

     

    Thibaudier est un homme à la timidité maladive, ce qui a permis à Anatole Garadoux, un sans-gêne, d’obtenir sans mal la main de Cécile, la fille du premier.  Mais cette dernière ne souhaite pas épouser son prétendant et a jeté son dévolu sur Jules Frémissin, un avocat… timide, lui aussi et qui n’ose pas demander au père la main de Cécile…

     

    La 2ème, L’AFFAIRE DE LA RUE DE LOURCIN

     

    Dans l’appartement du rentier Lenglumé, on se replie dans les étoffes et les tapis brodés, dans l’usure des velours et des passementeries.  Mais un matin, il se retrouve dans le lit conjugal en compagnie du cuisinier Mistingue.  La veille, ils ont copieusement arrosé leurs retrouvailles à la fête de l’institution Labadens dont ils étaient tous deux élèves.  Ils découvrent dans le journal qu’une femme vient d’être retrouvée morte rue de Lourcine.  On recherche les assassins.  Dans le trouble des vapeurs d’alcool, le doute s’empare des 2 hommes : et si c’était eux ?


    Les représentations auront lieu les vendredis, samedis à 20 h et dimanches à 16 h du 23 mai au 15 juin 2014 au Petit Théâtre de la Ruelle – rue du Village (près de la Place E. Gilles) à Lodelinsart.

    Dans une mise en scène de Jean-Charles Vanantwerpen, la distribution sera composée de 7 comédiens : Erika Blommaert, Josette Petiniot, Stefania Greco, Alain Blommaert, Pierre François, Damien Chavas, Salvatore Vullo et Jacques Delmeire.

     

    P.A.F. 15 Euros et 13 Euros (étudiants et pensionnés) – 8 Euros (enfants – 12ans)

     

    Réservations : 0474 388 032

     

  • MUSIQUE- La fête à Django !

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    On confectionne même de petites marionnettes durant les concerts

    La 12ème édition du Festival  Django fait la part belle au violon, ce weekend. Huit groupes sont à l'affiche.  De nombreux amateurs s'y donnent rendez-vous, et des collectionneurs comme Antoine.

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    Antoine dans la réplique d'une roulotte de Django

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    Antoine  a fait le déplacement au Festival Django pour y exposer, pour la première fois, une  de ses deux  roulottes,  qui est la réplique exacte de celle  de Django Reinhardt. " Elle a été faite sur un châssis de 1937. Rien n'a été  laissé au hasard! " précise-t-il.  Le truculent septuagénaire présente d'autres objets, comme des roulottes miniatures, une rémoulette à bras, des peintures,...  "Je suis moi-même d'origine tsigane, et comme Dango, fier de l'être" insistait-il. Le public est très nombreux, ce week-end,  dans le Village de Liberchies,  là où est né Django Reinhardt en 1910. Le beau temps y est de la partie,  ce qui explique aussi ce succès... La 12ème édition a  de quoi satisfaire toutes les attentes. Plusieurs groupes mettaient le violon à l'honneur, cette année.  Parmi eux, le Quartet Nitescu, Schmitt et Reinhardt,  de retour après 5 ans d'absence et un nouvel album. Le groupe se produisait, samedi soir.  Costel Nitescu, véritable virtuose,  accompagné de ses musiciens, faisait vibrer les spectateurs au son de son violon aux émotions profondes.

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    Ce dimanche, la journée se veut plus familiale avec, pour clôturer les concerts, Samarabalouf, un trio swing manouche délicieusement fou. Un tas d'animations égaient le village. Parmi celles-ci, le tricot urbain qui a investi les lieux, ou encore du théâtre, du spectacle ambulatoire, du grimage, des ateliers d'écritures,...  Ca parle un peu toutes les langues au festival:  des musiciens venus de différents pays se rencontrent çà et là, et improvisent ensemble.  Les longues files  d'attente devant les marchands  de frites, de gaufres, de hamburgers,... sont l'occasion pour les gens de se rencontrer et de se parler. Et puis, soulignons aussi les préoccupations écologiques, avec des gobelets sont réutilisables! Il faut vraiment venir à Liberchies pour se rendre compte que ce festival aux accents de jazz/manouche est unique en son genre! JC HERIN

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