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Ca bouge à Charleroi et dans l'entité ! - Page 266

  • CHARLEROI- Le célèbre auteur Joël Dicker en dédicaces à la librairie Molière

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    Dans le cadre des « causeries du Grenier », le célèbre écrivain Joël Dicker était à la librairie Molière, ce mercredi, pour dédicacer son nouveau roman «  L'affaire Alaska Sanders ». Nous sommes en avril 1999. Mount Pleasant, une paisible bourgade du New Hampshire, est bouleversée par un meurtre. Le corps d'Alaska Sanders est retrouvé au bord d'un lac. L'enquête est rapidement bouclée, la police obtenant les aveux du coupable et de son complice. Mais 11 ans plus tard, l'affaire rebondit...

    J.C.HERIN

  • FLEURUS- Lancement d'Un mois d'architecture à la Bonne Source

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    Pierre Lemaire 

    Transformée en galerie, la bibliothèque « La Bonne Source » met en valeur un panel de projets d'étudiants de bachelier (20-21) de la Faculté d'Architecture et Urbanisme de l'UMONS.

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    Pierre Lemaire (22 ans) s'est particulièrement intéressé à l'ancienne teinturerie Robert qu'il transforme, dans ses plans, en véritable pépinière économique. « Il s'agit là d'un lieu idéal pour lancer une start-up » explique le jeune étudiant en architecture. Ce projet figure parmi 28 autres, développés dans le cadre de l'exposition « Un nouvel élan à Fleurus - Un Mois de l'Architecture ». Le vernissage se déroulait à la bibliothèque de la Bonne Source, en présence du bourgmestre Loïc D'Haeyer, de Pascal Simoens, architecte, et de Isabelle De Smet, Docteur en Art de bâtir et Urbanisme, et coordinatrice du projet.

    «  Depuis plusieurs années, la Faculté d'Architecture et d'Urbanisme de l'UMONS collabore avec différents partenaires tels que communes, villes, sociétés de logements,... afin de proposer aux étudiants des terrains et problématiques concrets » a souligné cette dernière. « L'objectif étant de les confronter aux enjeux durables. Ces projets s'intègrent donc dans une dynamique facultaire, mêlant à la fois recherche, pédagogie et services à la société ».

    Des conférences sont organisées : « Une densification raisonnée : une solution pour demain? » par Isabelle De Smet, le 24 mars à 19h et « Smart Cities : la Ville de Fleurus est-elle une ville intelligente? » par Pascal Simoens, le 7 avril à 19h. L'expo est à voir jusqu'au 14 avril les lundis de 9h à 12h et de 13h à 18h, les mardis, mercredis et jeudis de 13h à 18h, et les samedis de 9h à 13h, à la Bonne Source, place Albert 1er, 1. Infos : 071/53 13 33.

    J.C.HERIN

  • CHARLEROI- PBA- Rigoletto: un opéra tout en émotions...

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    Amour, violence, malédiction et vengeance se côtoient dans l'Opéra « Rigoletto ». Un millier de spectateurs ont assisté à une version très prenante du chef d'oeuvre de Verdi, au Palais des Beaux-Arts.

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    C'est par un tonnerre d'applaudissements que s'est terminée la représentation, vendredi soir, de « Rigoletto ». Un chef-d’œuvre bouleversant mis en scène par John Turturro, qui signe avec cette pièce sa première mise en scène d’opéra, créée à Palerme en 2018. Une nouvelle coproduction Opéra Royal de Wallonie-Liège, Fondazione Teatro Massimo de Palerme, Teatro Regio de Turin et Shaanxi Opera House.

    « Rigoletto », inspiré du « Roi s'amuse » de Victor Hugo, est le premier volet d’une trilogie que Verdi poursuivra avec « Le Trouvère » et « La Traviata ». L'histoire en quelques mots : le comte Monterone accuse le Duc de Mantoue, fêtard et libertin, d'avoir déshonoré sa fille. Rigoletto, le bouffon bossu du Duc, se moque publiquement du Comte. Monterone jette alors une solennelle malédiction contre lui. Or, c'est au tour de Gilda, fille du bossu, d'être séduite par le Duc. Rigoletto décide de se venger à l'aide d'un tueur à gages. Mais la malédiction s'accomplit et Gilda va mourir dans ses bras...

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    Rejeté par la censure vénitienne à sa création en 1851, « Rigoletto » est aujourd’hui un chef-d’œuvre reconnu internationalement. Les spectateurs du Palais des Beaux-Arts de Charleroi ont été conquis par les fameux airs dont « La Donna è mobile » (incontournable!), ainsi que par les costumes d'époque et les décors d'un palais abandonné dont les restes renforcent l'impression de dégénérescence qui hante une société de courtisans pervertis. Et puis, quel bonheur pour le public de pouvoir assister au spectacle, sans les contraintes du masque, du pass sanitaire et des jauges !

    J.C. HERIN