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  • CHARLEROI- "Spectacles pizza" avec la Compagnie de la Grande Ourse

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                 De la poésie sur la place Verte en cette période tourmentée...

    La Compagnie de la Grande Ourse présentait un récital de poésie au Centre Ville, dans le cadre des « spectacles à domicile ». Malheureusement, cette animation a attiré peu de monde…

    Lancée en été par la Compagnie de la Grande Ourse, la formule des « spectacles pizzas »  permet aux comédiens de se produire avec tout        leur matériel à domicile, et d’être directement rémunérés par le public.                             

    «Pour 1 pizza et 2 verres de vin, les spectateurs peuvent s’offrir le prix d’un spectacle » fait remarquer le comédien Marc Gooris. «  Depuis le confinement, nous, artistes, sommes quasiment  à l’arrêt. Mais plutôt que de nous lamenter sur notre sort, nous préférons rester actifs. Si le public ne vient plus à nous, c’est nous qui allons vers le public».  Durant deux week-end d’affilée, d’abord au Passage de la Bourse, puis à la Place Verte, Marc Gooris et Vincent Geeraerd, à la guitare, ont animé la place Verte, avec « Poètes maudits, maudits poètes », une création soutenue par la Ville de Charleroi et la librairie Molière. «  Nous donnons une résonance plus contemporaine aux œuvres de Nerval, de Baudelaire, de Verlaine, de Desbordes,… en accompagnant les textes par des rythmes bossa nova, jazz swing, des mélodies romantiques, du pop folk,… ».

    Malgré un public peu nombreux à Charleroi, la qualité était au rendez-vous, mais le récital était peut-être un peu trop pointu... Un autre spectacle est proposé : « Laissez-moi » de Marcelle Sauvageot, avec Larah Stiemans. Compter 25 par personne pour un public d’au moins 10 personnes. Renseignements : 0498/704 796. ciegrandeourse@gmail.com.

    J.C.HERIN

  • MARCINELLE- Balade "champignons" familiale au Centre de Délassement

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    Les amanites tue-mouches: belles mais toxiques...  

    Grâce à la pluie qui est tombée en abondance dernièrement, de nombreux champignons ont bien poussé dans les bois entourant le Centre de Délassement.

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    Les conditions étaient idéales pour une escapade à travers les bois de Marcinelle. David Dumont, chargé de projets et animateur à Charleroi Nature, et Jean-Marie, spécialiste en mycologie, emmenaient une trentaine de participants à une balade familiale vivifiante. Il est à noter que ce type de balade attire des promeneurs de la région, mais aussi d’autres localités où ne sont pas organisées ces activités. Chaque champignon était identifié par les deux spécialistes.

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    David Dumont identifie les champignons

    Parmi les espèces récoltées: des vesses-de-loup, des agarics, des bolets, des laccaires améthystes, des amanites tue-mouches,… « Attention, des couleurs vives indiquent souvent que le champignon n’est pas comestible » prévenaient les naturalistes.

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    Des stages seront mis sur pied prochainement par CHANA : du 2 au 6 novembre 2020: «  Les explorateurs d'automne » (5-15 ans).  Au programme : des grands jeux nature à réaliser en équipe, des constructions de camps,  des épreuves sportives,… Et du 9 au 10 novembre: Constructions Nature. «  Nos stages nature permettent aux enfants de se reconnecter à notre environnement naturel » signale David Dumont.                    

    « Les activités proposées en extérieur ou en intérieur permettent de mieux appréhender une thématique. Nous donnons également une grande importance à l’apprentissage par l’amusement. Avenue des Muguets, 16 à Marcinelle. Pour tous renseignements :. Tél : 071/18.10.90- 071/29.74.06

    J.C.HERIN

  • PAS DE REVUE DES MOLIERES ET MOCASSINS, CETTE ANNEE

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    Le Petit et le Grand Spirou ! 

    La nouvelle est tombée: la revue des Molières et Mocassins n'aura pas lieu cette année. C'est une première !

    Charleroi et ses différents protagonistes ne prêteront plus le flanc, cette année, aux joyeuses railleries du Petit Théâtre de la Ruelle. Et pourtant, il y avait de la matière avec le Covid !Même la formule à la Ruche Verrière a été balayée. 

    C’était pourtant une solide tradition, après 23 années continues de représentations. Jacques Delmeire, directeur du Petit Théâtre de la Ruelle, s'explique : « Une revue, comme celle que nous présentons demande un investissement de temps, de travail, d'efforts, d'argent assez remarquable. 

    Il faut bien l'admettre : vouloir se produire sur une scène actuellement se révèle particulièrement périlleux.  Evidemment pour tout spectacle à préparer, il faut prévoir un échéancier rigoureux avec un bon nombre de répétitions qui s'enchaîneront avec les représentations. A l'heure d'aujourd'hui, il est vraiment impossible de se projeter dans l'avenir, même dans un avenir tout proche car les mesures sanitaires changent de jour en jour et parfois même d'heure en heure.

    Il y a déjà bien sûr la grosse partie d'écriture des textes, les répétitions danses, les répétitions chansons et celles pour les sketches. 

    Il faut aussi prévoir un fameux budget tant pour la chorégraphe que pour les costumes sans oublier les frais pour la fabrication du décor et la facture de la SABAM qui nous laisse toujours assez dubitatifs.

    Alors tant d'efforts, tant de difficultés à surmonter et devoir annuler au dernier moment ruinerait sans aucun doute la motivation des meilleurs et ruinerait à coup sûr nos finances. » 

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    Reconnaissez-vous le spectateur aux cheveux poivre et sel ?