Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • LIVRE- Michel Maigre sort un ouvrage sur "La Sambre belge"

    sambre3.jpg

           La Sambre belge se raconte dans un ouvrage de Michel Maigre

    Ex-employé dans la sidérurgie du Grand Charleroi, le Lodelinsartois Michel Maigre s’accomplit aujourd’hui en tant qu’historien des voies d’eau et du canal du Centre en particulier. Il sort un ouvrage sur la Sambre belge.

    Voilà un ouvrage qui intéressera très certainement tous les Carolos.        

    Avec « Le Canal de Charleroi à Bruxelles : une voie d’eau pour le Charbon » (mars 2020) et « Le Canal du Centre : une voie d’eau centenaire » (juillet 2020), « La Sambre belge : première rivière canalisée (en 1825-1829) », qui paraîtra vers le 15 décembre,  clôt une trilogie sur les voies navigables couvrant  près de 200 km de voies d'eau anciennes.

    Son auteur, Michel Maigre, passionné d'histoire et de voies d'eau, est aussi membre du Comité scientifique du Canal du Centre historique (UNESCO).  «  Ces trois volumes comblent actuellement un vide littéraire sur le sujet. Il y avait bien les ouvrages publiés par le M.E.T dans les années 90, mais plus grand-chose n’était sorti, depuis lors » souligne-t-il.  

    sambre1.jpg

    un millier d’illustrations !  

    sambre4.jpg

    « La Sambre belge » s’ouvre sur un chapitre sur l’Histoire de la rivière      (On y parle du port de Thuin, notamment, qui a joué un rôle de premier  plan dans le transport fluvial),  aborde ensuite le tronçon amont-aval, e Erquelinnes à Namur, l’Ancienne Sambre (avec ses ponts tournants, par exemple) et la Nouvelle Sambre (face à la gare du Sud), après la déviation de la Sambre du boulevard Tirou, à la fin des années 30.

    « Mes ouvrages regorgent de documents souvent inédits, de plans originaux ayant servi à l'érection des ouvrages d'art (ascenseurs à bateaux, ponts, maisons de services), de cartes postales anciennes, de plus de 1000 photos,… » tient à préciser l’auteur. Des roses des vents accompagnent les illustrations.  Chaque livre est vendu au prix de 29 euros. Etant donné que celui concernant la Sambre n'est pas encore en librairie, les lecteurs peuvent déjà réserver leur(s) exemplaires en adressant un mail à l’auteur.

    Les ouvrages sortent dans la collection « Histoire & Patrimoine » chez Edipro-Corporate Copyright.  Pour tout contact : michel.maigre@outlook.be -0496/47 8835

    JEAN-CLAUDE HERIN 

  • CONCOURS LITTERAIRE- "Eloge funèbre" par les Editions du Basson

    elogefunebre.jpg

    Joëlle et Etienne, dans un cadre collant bien au thème... PHOTO CREDIT: Editions du Basson 

    Les éditions marcinelloises du Basson remettent le couvert pour leur concours littéraire.  Le thème de cette année est : « Éloge funèbre ».

    « Nous invitons les auteurs à écrire une nouvelle sur différents modes : humoristique,  décalé, sarcastique, émouvant, sanglant,… Tout est envisageable » font remarquer Etienne Vanden Dooren et Joëlle Fensie, responsables éditoriaux. « Bien sûr, la crise sanitaire que nous traversons actuellement avec la deuxième vague du Coronavirus peut être une source d’inspiration ».

    L’œuvre devra être un texte original et inédit. Le texte dactylographié, comptera 6.000 à 16.000 caractères espaces compris.

    Les textes seront fournis dans un document Word ou Open office.

    Le candidat devra faire parvenir son texte pour le samedi 31 janvier 2021 au plus tard par mail à l’adresse editionsdubasson@gmail.com.

    Les textes seront lus à l’aveugle (sans en connaître l’auteur). Le jury se réunira en février-mars et sélectionnera les lauréats ainsi qu’une sélection de réserve de 3 textes. Les lauréats seront contactés en avril. Le jury se réserve le droit de remplacer un lauréat par un « réserviste ». Les résultats définitifs seront rendus publics au mois d’avril. 

    Les Éditions du Basson éditeront les œuvres lauréates en un recueil et les lauréats recevront trois exemplaires gratuits du recueil.

    J.C.HERIN

  • ROMAN NOIR- Frédéric Beth: "Isobel 2172" chez Lilys Edition

    isobel.jpg

    Frédéric Beth - Crédit Frédéric Beth 

    Frédéric Beth (48 ans) a travaillé comme photographe durant deux ans au Laboratoire Fédéral Judicaire à Marcinelle. Après un burn-out, ce retraité de la Police Technique et Scientifique belge s’est reconverti dans l’écriture.  Son dernier roman : « Isobel 2172», un thriller haletant, s’ancre de façon assumée dans le roman noir.  Rencontre.

    - Frédéric Beth, la littérature est devenue « une seconde peau », en quelque sorte…

    F.B : Oui, on peut le dire. C’est même devenu une passion, au même titre que la photographie. C’est d’ailleurs avec cette seconde discipline que j’ai  fait mes armes comme expert en empreintes digitales au service d’identification judiciaire à Bruxelles.

    Comme auteur, je me suis fixé pour objectif de sortir un roman tous les ans. « Isobel 2172 » est mon deuxième roman. Il s’agit d’une pure fiction, alors que mon premier opus « L’affaire Boris »  s’inspirait librement de l’affaire de Younes, jeune garçon retrouvé mort dans la Lys,  le 10 novembre 2009.  J’ai moi-même participé activement sur le terrain dans l’enquête de la disparition de l’enfant. 

    - Quelle est l’intrigue de « Isobel 2172 » ?

    F.B.  Je raconte, en parallèle (les chapitres indiquent bien l’alternance), la trajectoire de deux personnages. Le premier est Simon, jeune employé dans un magasin de multimédia, et le second, est Eric Cauderlier, que je surnomme « L’Homme », car il pourrait être n’importe qui. Tous les deux sont à la recherche d’une femme : Isabelle, qui se fait passer virtuellement pour « Isobel 2172 » pour l’un. Pour l’autre, je dirais qu'il s'agit plus d'une quête mystique.   

    Le destin va mener les deux protagonistes sur les mêmes chemins de la Baie de Somme et du Tréport, dans le Nord de la France. Finiront- ils par se croiser ? Réponse dans le roman…

    - Les crimes en série et les rencontres amoureuses en ligne sont au cœur du récit…

    F.B.  Ce sont deux phénomènes auxquels j’ai été confronté au cours de ma carrière dans la PJ. Je connais assez bien la psychologie des serial killers et leur mode opératoire. Quant à l’exhibition sexuelle en ligne, je dénonce cette véritable forme de prostitution moderne, dans laquelle les filles sont vraiment exploitées. A Charleroi, tout un réseau dans le Triangle a été démantelé. Quand je passais sur le ring pour aller travailler à Marcinelle, j’assistais à tout ce trafic…

    - Vous vous lancez maintenant dans une « politique fiction »…

    F.B.  J’aime varier les genres. Mon prochain ouvrage devrait s’appeler : « Là où le soleil s’est assis ». Amoureux du littoral, je traite de la problématique de la montée des eaux sur la côte belge. La Flandre devenue indépendante envisagerait de raser tous les immeubles en front de mer mais un photographe à Coxyde résiste envers et contre tout. C’est un roman d’anticipation. Cela dit,  j’ai bien peur que la réalité dépasse un jour la fiction… 

    « Isobel 2172 » chez Lily Editions ASBL, 241 pages, 20 . www.LilysEditions.com-LilysEditions.shop.

    PROPOS RECUEILLIS PAR JEAN-CLAUDE HERIN