Coup de coeur - Page 620
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CHATELINEAU- Combats de catch au marché couvert !
Combat au corps-à-corps avec le LMC
Les membres du WAC bien représentées
Les femmes sont aussi combatives...
"Le Bourreau" ( terrifiant avec sa cagoule!) , "Le Gigolo", "Ben Damage", "Black Diamond", ... sont prêts à monter sur le ring. Les muscles se contractent, les visages se crispent... Dans quelques secondes, ce sera le combat au corps-à-corps... Les femmes, elles aussi, sont bien décidées à en découdre... Josy Steffy ( la doyenne ), Candy Girl, Tennessee, ... ont des regards de guerrières ! En tout, 16 combattants ( 11hommes- 5 femmes ) prenaient part aux combats de catch. Et parmi eux, de grandes pointures, comme le champion Kevin Rahino de Ransart, qui en fait son activité professionnelle. Attention, hormis le hardcore, où les catcheurs peuvent utiliser des instruments comme des bâtons ( et là, ça peut encore faire plus mal!) , tous les coups ne sont pas permis. Il est interdit, par exemple, de tirer les cheveux , de taper avec les poings, ou encore de viser les parties sensibles!
Kevin combat depuis une dizaine d'années
les pouces retournés !
Les matches se déroulaient, vendredi soir, dans le cadre des fêtes communales. Pietro Badiali ne perdait pas une seconde du spectacle. Catcheur bien connu des Carolos, il se montrait souvent dans les foires de Charleroi, un python de 15 mètres autour du cou ! On l'appelait Python-man! Aujourd'hui, Pietro entraîne les catcheurs du LMC ( Lady- Man-Catch ), club de Couillet qui organisait les tournois à Châtelineau. Un autre club WAC ( Wrestling Alliance Company ) de Dampremy participait à la rencontre. Quelques membres du WAC faisaient une démonstration en juillet, au parc Reine Astrid, dans le cadre de Quartier d'été. Cela faisait plus d'une dizaine d'années que Châtelineau n'avaient plus connu pareil événement au marché couvert. Comme dans les arènes romaines, plus de 300 spectateurs, dont des adultes et des jeunes - très friands aussi de ce genre de spectacle-, applaudissaient les lutteurs. Mais ils pouvaient aussi les huer ou retourner leurs pouces s'ils les trouvaient médiocres ou lâches ! JCH
Pietro était connu comme "Python-Man"
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CHARLEROI- Eden: Soirée "Opening fiesse" !
Dans le public, Fabrice Laurent, directeur de l'Eden, et Paul Magnette, bourgmestre de Charleroi.
La soirée de présentation de la nouvelle saison de l'Eden se déroulera le 10 septembre. Il faudra donc attendre un peu... Pour calmer la patience du public ( ça peut se comprendre!) , celui-ci avait droit à pré-rentrée"! Pour la 3ème année consécutive, Fabrice Laurent mettait sur pied, vendredi soir, une soirée "Opening Fiesse". Comme ce terme "anglo-wallon" l'indique, il s'agit avant tout de faire la fête, un bon verre à la main. "Que vous ayez voyagé vers d'autres latitudes ou plutôt arpenté le béton carolo, tenez-vous prêt, car tous les chemins mènent à l'Opening Fiesse, une occasion unique de reprendre contact avec l'Eden!" lançait le dynamique directeur de l'établissement . Le beau temps étant de la partie, la plupart des gens se retrouvaient à l'extérieur. Parmi les personnalités issues du milieu politique, associatif ou culturel: le bourgmestre Paul Magnette, Antoine Tanzilli, ex-échevin carolo, Nathalie Gherardini, échevine de la Culture à Montigny-le-Tilleul, Nicolas Buissart, artiste muti-formes et initiateur des safaris urbains,...
les vergers de Marie-Noëlle
Marie-Noëlle Dailly
A la Brasserie, une soirée très chaude était animée par des piliers de la platine! "Comme toujours, l'Eden multiplie ses offres en matière de culture ( théâtre, spectacles, concerts, expos,...) mais aussi de rencontres citoyennes et participatives ( jeux de société, ateliers, bal blanc,... ) " poursuit Fabrice Laurent. " Et cette année, nous souhaitons aller encore plus loin: participer au grand Carnaval de Charleroi. Nous voulons vraiment y apporter une touche créative. " Pendant quelques mois, l'Eden prête ses cimaises à Marie-Noëlle Dailly. Plus que jamais, un passage par la Brasserie donnera l’impression de visiter un Paradis perdu, à travers son triptyque. L'artiste marcinelloise a trouvé son inspiration dans les jardins de Gembloux. Les photos ne constituent pas nécessairement une suite narrative, mais plutôt une source de réflexion sur l'"idéal imparfait". L'artiste y photographie, par exemple, une échelle renversée, une branche trop haute, ... " Ce qui m'intéresse, c'est l'imperfection, l’erreur et la faute, la manipulation de la nature par l'homme, son détournement. Je me suis replongée dans la Genèse. J'avais pour références le jardin et son arbre, un idéal perdu à grand renfort de savoirs et de connaissances". JCH
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