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CHARLEROI- Eden: Soirée "Opening fiesse" !

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Dans le public, Fabrice Laurent, directeur de l'Eden, et Paul Magnette, bourgmestre de Charleroi.

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La soirée de présentation de la nouvelle saison de l'Eden se déroulera le  10 septembre.  Il faudra donc attendre un peu... Pour calmer la patience  du public ( ça peut se comprendre!) , celui-ci avait droit à pré-rentrée"! Pour la 3ème année consécutive,  Fabrice Laurent mettait  sur pied, vendredi soir,  une soirée "Opening Fiesse". Comme ce terme "anglo-wallon"  l'indique,   il s'agit avant tout de faire la fête, un bon verre à la main.  "Que vous ayez voyagé vers d'autres latitudes ou plutôt arpenté le béton carolo, tenez-vous prêt, car tous les chemins mènent à l'Opening Fiesse,  une occasion unique de reprendre contact avec l'Eden!" lançait le dynamique directeur de l'établissement . Le beau temps étant de la partie, la plupart des gens  se retrouvaient à l'extérieur. Parmi les personnalités issues du milieu politique, associatif  ou culturel:  le bourgmestre Paul Magnette, Antoine Tanzilli, ex-échevin carolo,  Nathalie Gherardini, échevine de la Culture à  Montigny-le-Tilleul,  Nicolas Buissart, artiste muti-formes  et initiateur des safaris urbains,...

les vergers de Marie-Noëlle

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Marie-Noëlle Dailly

A la Brasserie, une soirée très chaude était animée par des piliers de la platine!  "Comme toujours, l'Eden multiplie ses offres en matière de culture ( théâtre,  spectacles, concerts, expos,...) mais aussi de rencontres citoyennes et participatives ( jeux de société, ateliers, bal blanc,... ) " poursuit Fabrice Laurent. " Et cette année, nous souhaitons aller encore plus loin:  participer au grand Carnaval de Charleroi. Nous voulons vraiment y apporter une touche créative. "  Pendant quelques mois, l'Eden prête ses cimaises à Marie-Noëlle Dailly.   Plus que jamais, un passage par la Brasserie donnera  l’impression de visiter un Paradis perdu, à travers son triptyque.  L'artiste marcinelloise  a trouvé son inspiration dans les jardins de Gembloux.   Les photos ne constituent pas nécessairement une suite narrative, mais plutôt une source de réflexion sur  l'"idéal imparfait".  L'artiste y photographie, par exemple, une échelle  renversée,  une branche trop haute, ... " Ce qui m'intéresse, c'est l'imperfection, l’erreur et la faute, la manipulation de la nature par l'homme, son détournement.  Je me suis replongée dans la Genèse.  J'avais pour références   le jardin et son arbre,  un idéal perdu à grand renfort de savoirs et de connaissances".   JCH 

 

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