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  • COUPS DE COEUR POUR CE WEEK-END

    COUPS DE CŒUR POUR LE WE DU 15 AU 17 MARS

    Une fois de plus, les idées ne manquent pas pour ce week-end. Voici notre sélection pour de nouvelles sorties et aventures culturelles.

    Danse contemporaine

    The Great He-Goat. Une horde d’hommes et de femmes, tels que Goya les peignit du fond de l’Espagne en guerre, traversent les désastres de l’Histoire. Affublés de doubles «marionnettiques» qui les démultiplient et les transfigurent, ils voient leurs repères s’effriter, leur lien avec le réel prendre des formes saugrenues.

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    photos: Mikha Wajnrych

    Renouant avec la veine d’une inspiration picturale qui avait donné en 1990 Les Dernières hallucinations de Lucas Cranach l’Ancien, la compagnie Mossoux-Bonté puise pour cette nouvelle création dans l’Espagne en guerre peinte par Francisco de Goya, dont le grand mérite consiste, selon Baudelaire, à «créer le monstrueux vraisemblable ». « Je n’ai pas peur des sorcières, notait le peintre, des lutins, des apparitions, des géants vantards, des esprits malins, des farfadets, ni d’aucun autre genre de créatures, hormis l’être humain. » 

    Le titre de la pièce est emprunté au Grand Bouc et aux Pinturas Negras,dont Goya couvrit les murs de sa maison à la fin de sa vie et où s’imbriquaient misère du peuple et fantasmagories obscures.

    Cette Création est à voir les 15 et 16 mars à 20h aux Ecuries, boulevard Mayence, 65 C. Ticket@charleroi-danse.be – Prix : 15 à 6 €. 071/20 56 40

    Théâtre

    -La Dame de chez Maxim. Un classique du rire de Georges Feydeau revisité par Cabaret 2000. Le docteur Petypon n’est pas un noceur mais, entraîné par son ami Mongicourt, il a fait la bombe jusqu’au petit matin ; et à midi il dort encore. Mongicourt, l’ami, le découvre sous un canapé renversé. Surgit une jeune femme en chemise de jour, la Môme Crevette, danseuse chez Maxim. A voir au Théâtre Marignan, 53 à Charleroi, du 15 mars au 7 avril. Je/ Ve/sa à 20h30. Di/16h30. Prix : 17 à 13 €. Infos et réservations : 0495/10 20 14 – 071/16 19 91.

    -Qui se souvient de ce bonhomme naïf et débonnaire, à la salopette bleue, au tee-shirt jaune et au bonnet à pompon jaune et bleu ? Berlu a fait, dans les années 90, les bons moments de l'émission "Bon Week-end " sur la RTBF. Pour le plus grand plaisir des spectateurs, Luc Bernard va à nouveau revêtir la défroque de son personnage fétiche pour un "Biest Off" à partir du 15 mars jusqu’au 7 avril au Petit Théâtre de la Ruelle, place Edmond Gilles à Lodelinsart. Prix : 16 et 14 €. Ve/sa à 20h et di/16 au 0474/38 80 32.

    Bande dessinée

    Alain Henriet dédicacera ses albums «Dent d’ours » et «Damoclès» (Dupuis) chez BD Choc, rue de Marcinelle, 28 à Charleroi, le 16 mars de 11h à 18h . Pour toute info : 071/ 65 59 93

    Littérature/Patrimoine

    Journaliste et photographe à la retraite, Johan De Vos aime Charleroi. Il se met à interroger plus d’une centaine de personnes qui y vivent ou y travaillent. Il veut comprendre. Ce qu’il découvre, c’est la beauté intérieure de ses habitants : l’âme carolo est simple, ouverte au monde. L’auteur dédicace son ouvrage le 16 mars à 16h à la librairie Molière, Bd Tirou à Charleroi. Infos et réservations : 071/32 89 19. Entrée gratuite.

    Salon

    De la robe de mariée au wedding cake, les futurs mariés trouveront leur bonheur les 16 et 17 mars de 10h à 18h, au salon du Mariage Love & Fun. Une trentaine d'exposants y seront présents. Ce salon se tient à l’Ecole de Cirque de Charleroi, 251, ruelle de l’Abbaye à Fleurus. Prix : 5 €. Gratuit pour les moins de 12 ans.  

  • ROMAN- Olivier Lorent: un univers proche de Stephen King !

    Le premier roman d’Olivier Lorent (38 ans) : «La traversée des ombres» est une belle surprise littéraire. Tout au long du récit, le lecteur est happé dans un univers fantastique qui n’est pas sans rappeler celui de Stephen King.

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    Fils de Richard, auteur de thrillers aux Editions du Basson, et frère cadet de Pascal, journaliste (ancien chef d’édition des bureaux du Soir à Charleroi), Olivier Lorent baigne depuis longtemps dans l’écriture. Son expérience d’assistant social au CPAS de Fleurus lui permet en plus de s’immerger dans les problèmes du quotidien. D’où le regard «sociologique» qu’il porte sur les personnages de son premier roman: «La traversée des ombres».                  

    «Tout le monde peut s’identifier facilement à un shérif qui a perdu son épouse, à un vieux monsieur qui vit seul, à un médecin, à un restaurateur,… dont je parle dans mon livre» reconnaît-il. Si Olivier Lorent prend la plume, c’est aussi pour s’évader. « Les gens que je rencontre dans la réalité sont parfois plus tourmentés que mes personnages. L’écriture devient dès lors pour moi une  sorte d’exutoire» reconnaît le jeune auteur.

    Depuis longtemps, Olivier Lorent voue une admiration sans bornes pour Stephen King. A l’instar du maître du fantastique, auquel il fait allusion par de petits clins d’œil, Olivier Lorent a le pouvoir de créer des univers parallèles, des personnages attachants et des dialogues vifs.

    entre réel et surnaturel

    L’histoire débute dans l’Oregon. Partis chercher du bois pour le feu, trois jeunes campeurs sont retrouvés au petit matin, à 200 km de leur point de départ. Deux d’entre eux sont hagards et silencieux. Que s’est-il passé ?                

    Pour Stuart Nobels, chef de police de Bend, et le shérif Franck Glanner, une enquête inédite commence… «Au départ, rien ne semble anormal pour le shérif qui va être appelé à la rescousse. Mais très rapidement, les explications vont revêtir un caractère surnaturel. Des mondes vont s’entrecroiser ».                      

    Le lecteur va se promener rapidement sur un fil suspendu entre le réel et le surnaturel. Olivier Lorent a écrit également quelques nouvelles, et s’est déjà lancé dans le deuxième qui s’intitulera «M.Ratcliffe», qui se déroule toujours dans l’Amérique profonde, continent de prédilection pour l’auteur. « La traversée des ombres » est publié aux éditions Memory. 304 pages. 22 € JEAN-CLAUDE HERIN

  • MARCINELLE- Concours de cuisine entre maisons de CPAS

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    Le jury examine...

    Une Journée de compétition culinaire entre les maisons de repos du CPAS de Charleroi s’est tenue mercredi à la Résidence Sart Saint-Nicolas. 45 résidents ont mis les petits plats dans les grands !

    Non, les caméras de M6 ou de RTL-TVI n’étaient pas braquées sur les résidents carolos pour le «Meilleur Pâtissier». Mais les objectifs étaient assez similaires, c'est-à-dire faire preuve de savoir-faire et de créativité dans la préparation de bonnes petites douceurs sucrées. Le concours était organisé ici dans le cadre de la Semaine des Diététiciens, qui avait pour thème : le sucre. Mercredi, en début d’après-midi, chacune des 9 Maisons de repos du CPAS de Charleroi amenait ses plats à la Résidence Sart Saint-Nicolas de Marcinelle. Toutes les pâtisseries étaient goûtées par un jury de qualité et d’exception, parmi lequel se trouvaient Anita Gancwajch, directrice du Département des Aînés, et l’échevin du 3ème Age Philippe Van Cauwenberghe, assez porté sur un gâteau au chocolat et à la poire, avec un glaçage à la framboise. Miam !

    1ER Prix pour la résidence R.Hicguet

    La maison de repos «No P’tit Nid» de Gilly avait choisi pour thème de décoration : la Fête foraine (avec une Grande Roue !). Josée Demulder ( 72 ans ) était assez fière de la nappe blanche qu’elle avait brodée.  

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    Francesca, Maria, Yvonne, Georgette, Andrée,… avaient préparé de délicieux cupcakes au caramel beurre salé ainsi qu’une délicieuse tarte aux pommes.  Chaque maison présentait deux pâtisseries : une imposée sur une assiette blanche et une à thème reprenant une décoration de table et la vaisselle.      

    Les résidents étaient accompagnés de diététiciennes. L’épreuve technique était évaluée selon les critères suivants: le goût, l’aspect visuel, la texture de la pâte, la cuisson de la pâte. L’épreuve créative était évaluée sur: le goût, la recette (type de sucre utilisé), l’aspect visuel de la pâtisserie, la décoration de la table. «Ce qui est super, c’est que tout le monde a participé au projet: l’agent d’accueil, les cuisiniers, les éducatrices, les ergothérapeutes, le personnel d’entretien et les résident(e)s. L’une d’entre elles a fait blinquer un ancien bougeoir pour le thème : Alice aux Pays des Merveilles» faisait remarquer Dominique Favay, directrice de la Résidence Raoul Hicguet de Montignies-sur-Sambre. Cette maison de repos est d’ailleurs la grande gagnante du concours !JEAN-CLAUDE HERIN

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    Bon appétit !

    Lien permanent Catégories : Société