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Ca bouge à Charleroi et dans l'entité ! - Page 641

  • CHARLEROI- Expo: Maison du Hainaut: quand les femmes dessinent...

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    L’exposition : « Femmes qui dessinent » est une conversation illustrée entre Diana Afsar et Diane Delafontaine, deux plasticiennes.

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    Comment une personne dite « extra-ordinaire » transmet-elle ses impressions, voire ses émotions, à travers la peinture ? Diana Afsar dessine au CREAHM (CREAtivité et Handicap Mental) à Bruxelles. Le travail de cette artiste est avant tout figuratif. Ses personnages, truculents, sont de plain-pied dans la réalité. Diana s’inspire de people ou de têtes couronnées, notamment de la famille royale d’Angleterre.

    « Diana Afsar semble faire glisser les pointes de ses crayons sans résistance et donne à son dessin une dynamique très expressive. La composition se permet de remplir très souvent, toute la grande feuille: c’est qu’il lui faut de la place pour réécrire l’Histoire à sa manière ! » souligne Sophie Vincent, coordinatrice des expositions. 

    L’autre artiste, Diane Delafontaine, plasticienne intimiste, joue à contourner/détourner les messages existentiels et n’oublie pas de s’interroger : « Qu’est ce que la vérité, qu’est ce que l’illusion ?

    « En plus, ajouter un bout de nature, par- ci par- là, ça lui plaît ! Elle s’y retrouve comme ça avec le Monde !» poursuit Sophie Vincent. A voir jusqu’au 16 août 2018, du lundi au vendredi    de 8h à 12h et de 13h à 16h à la Maison du Hainaut, 20, Quai Arthur Rimbaud à Charleroi. 071/64 10 61. Sophie.vincent@hainaut.be

  • CHARLEROI- Cortège déjanté du doigt d'Alzon !

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    Les 4 fondateurs du Doigt d'Alzon entourent les trois Français

    L’Escorte du Doigt d’Alzon Internationale (la JEDAÏ) est bien dans l’esprit du surréalisme à la belge. Le joyeux cortège démarrait, samedi, de la place de la Digue pour un tour à la Ville Basse.

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    Il n’est jamais trop tard pour participer à L’Escorte (ne dites plus procession, pour ne pas choquer les puristes) du doigt d’Alzon. Un exemple ? Ce n’est que le vendredi, peu avant minuit, que Victor et Etienne de Lille, stagiaires à la SONACA, et Martin, leur copain breton, se sont inscrits aux festivités, en discutant avec Vincent Collin, patron de l’établissement du Nophil.            

    Samedi, lors des festivités, les jeunes Français étaient habillés en marinière et portaient béret et baguette sous le bras ! Un cliché qui vaut bien celui de nos moules/frites ! En début d’après-midi, les joyeux drilles étaient environ 200 à former le cortège sur la place de la Digue.

    Parmi les zozos, on trouvait Don Camillo et Peppone, des membres de la fanfare bidon, la troupe des fabuleux majorets du Doigt d’Alzon, un groupe important de pirates de la Sambre, un clan des Siciliens,… Un nouveau groupe faisait son apparition : les Nonnes de Charleroi Nord (formées d’animatrices de l’ASBL Consoude) et de Blandine de Livre ou Verre. « Si nous sommes habillées en religieuses, c’est que nous occupons un ancien couvent » signalaient Estelle et Emilie, animatrices.

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    Les nonnes de Charleroi Nord avec Babette Jandrain

    fête de la multi-culturalité

    Parmi les reliques, on comptait celle du doigt d’Alzon ( qui provient de la statue du doigt du Révérend Père Emmanuel d’Alzon au Collège du Saint-Michel à Gosselies ), ainsi que les restes d’une certaine trancheuse (de doigt), d’un lit alzonien dont la valeur historique est inestimable, d’une mystérieuse couscoussière (il est mondialement connu que le Révérend Père d’Azon se nourrissait exclusivement de couscous !), d’un très long doigt gisant, d’une trompette sortant de l’ordinaire,…

    13 commerçants de la ville Basse ont charitablement accepté d’accueillir l’Escorte au travers des rues de Dampremy, du boulevard Tirou, de la rue de Marcinelle, de la place Verte, des Quais et du passage de la Bourse. « Cette fête est aussi celle de la multi-culturalité » précisait Dominique Cabiaux, très sérieux historiographe de la société. « La présence de la géante Julia ( de l’Eden) parmi nous rappelle que nous avons toujours été une terre d’accueil. Un message que les électeurs du Nord du Pays semblent avoir oublié ». JEAN-CLAUDE HERIN

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    Les pirates étaient aussi bien présents

  • MARCHIENNE-AU-PONT- Rockerill: Clin d'oeil à Hitchcock

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    La scène culte de Psychose rejouée !

    Le meurtre de Marion Crane (Janet Leigh), sous la douche, dans "Psychose" d’Alfred Hitchcock est encore dans toutes les mémoires. Accompagnée d’instruments classiques, cette scène culte du cinéma était projetée, vendredi, au Rockerill, lors d’une soirée qui se déroulait dans le cadre de la tournée des Festivals de Wallonie.

    Au programme : - Sphere Trio, percussions : M. Charue / Cie Kahlua / T. De Mey / M. Ford, - Sarah Defrise : L. Berio / J. Cage / K. Berberian, - Down the rabbit hole : A. Schubert / F Verrières.

    Une triple soirée pour découvrir une autre facette de la « grande » musique, celle des 20ème et 21ème siècles. Ces groupes se succédaient dans les forges et la grande salle pour donner à voir et entendre des œuvres ludiques, intrépides, joyeuses et/ou intrigantes, mêlant jeu théâtral, improvisation et vidéo… J.C.HERIN

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    Musique classique au Rockerill