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COURCELLES: Gender Equality Festival: la diversité au coeur de la musique

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Le groupe verviétois Ykons 

Pop, electro, hardstyle ou encore rock alternatif ont vitaminé la 4ème édition du Gender Equality Festival. En trois jours, pas moins de 3000 personnes se sont éclatées sur ces musiques !

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Renaud, chanteur de Ykons 

Vendredi soir, le froid figeait subitement une bonne partie du public, lors du concert de Ykons. « J'ai l'impression d'être en Antarctique ! » lançait avec humour le chanteur verviétois Renaud Godart. Après la sortie de son premier album : « Reflected » sorti en 2019,  le groupe pop belge a enchaîné les succès avec Red Light, Silent World, Sequoia Trees, Time,... « Mes musiciens et moi sommes là pour oublier tout ce qui est négatif. C'est d'ailleurs le thème d'un nouveau single que nous allons interpréter en primeur et que vous découvrirez le 7 juin » lançait-il au public.

Si la soirée « Tipik'ment belge » a fait 800 entrées, le concert de samedi a fait le plein lors du Holi Festival, avec 1200 entrées. L'affiche était particulièrement attrayante avec Deejay Pat B, Nicki Sanchez, DJ Tam, Papi Jumper, Mailly B, DJ MB et Meg Beg. Tout comme en Inde, la foule se lançait des paillettes de couleurs !

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pour la première fois, au Centre Logistique

Plus de 1000 personnes étaient présentes dimanche pour l'Urban Sunday. Et parmi les artistes : les Carolos Kevin et Philippe Cowens : « Nous avons rebaptisé notre duo « Cowens Brothers » en « Odara », en référence à Adara, une planète de la voie lactée. Aujourd'hui, nous avons décidé de revenir à nos premières amours, c'est-à-dire à une musique moins commerciale, plus underground » confient les deux frères.

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Les Brothers Cowens devenus Odara 

Les spectateurs étaient à la fête, et parmi eux Paolo Barone, un festivalier qui se fait appeler « Le Pasteur de Rockerill ». « Je suis là avant tout pour apporter du bonheur aux gens » soulignait cet habitant de Trazegnies.

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Pour la première fois, les festivités étaient mises sur pied au Centre Logistique (rue de Liège), à l'écart du Centre Ville. « Cet emplacement a été choisi pour plusieurs raisons : mobilité, plus de places de parking, moins de problèmes avec les riverains,... » signalait l'échevin des Fêtes Joël Hasselin, coordinateur de l'évenement. 

«  Une fois encore, le festival a célébré la musique dans toute la diversité, à la fois intergénérationnelle, interculturelle et dans le respect des genres. Le succès du Festival, mené en partenariat avec la Posterie, on le doit aussi à nos 80 bénévoles ! »

JEAN-CLAUDE HERIN

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