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  • FILM - Louka Minnella, scout intrépide dans "Coyotes"

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                               Louka Minnella- photos Crédit Govinda Van Maele

    Déclinée en 3 fois 2 épisodes, à partir du dim- RTBFanche 16 mai, sur la Une,  la série « Coyotes » met en scène une bande de jeunes scouts, dont le quotidien est bousculé par la découverte d’un cadavre et de diamants. Ex-étudiant à l’Athénée Vauban, Louka Minnella (20 ans) de Merbes-le-Château y joue le rôle principal.  Rencontre.

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    -Louka, étais-tu confiant à l’idée de décrocher un rôle dans la série ?

    Louka Minnella Alors là, pas du tout, parce que lors du casting, j’ai eu vraiment l’impression d’avoir tout foiré, dans une scène que nous devions jouer,  un par un, devant la commissaire. Quelle n’a pas été ma surprise  d’avoir été recontacté,  trois semaines plus tard, par la production ! Par la suite, j’ai su que j’ai été repéré, parce que,  à un moment,  j’ai eu la « bonne » intonation et le « juste » regard.  

    -Comment décrirais-tu Kévin, le personnage que tu incarnes à l’écran ?  

    Au sein de la troupe, Kévin est assez fonceur, voire « tête brûlée ». Son passé n’a pas été simple, puisqu’il a été marqué par la violence physique et psychologique qu’ont exercé sur lui son père et son frère. Je vois Kevin un peu comme un « loup solitaire », mais très proche de son ami Furet.

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    Son ami Furet 

    -Comment s’est passé le tournage ? De nouvelles expériences à ton actif ?

    L.M.  Je peux affirmer que le tournage, principalement dans la province de Luxembourg,  était intensif : 50 jours quasi sans interruption, de 7 h du matin jusque 19 h !  Ce n’était pas mon tout premier rôle (puisque le public me verra bientôt dans le film « Sans soleil » de Banu Akseki),  mais ici, dans « Coyotes », il s’agissait surtout d’être endurant et de garder le rythme.  J’ai vécu des expériences incroyables et inédites. Par exemple, dans un immense studio aquatique (Lites à Bruxelles), j’ai fait des scènes sous l’eau, sans bombonne. Nous étions deux à être gérés par une équipe d’apnéistes.

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    photo: John Janssens 

    - A Merbes-le-Château, tu es devenu un peu une « vedette »…

    L.M.  En quelque sorte, oui. J’ai tout de même vécu 17 ans à Merbes-le-Château !  Le tournage s’étant terminé en novembre dernier, mes voisins ont bien eu le temps de parler de la série. Ils ont été super chouettes avec moi.  Les retours ont aussi été très positifs à Charleroi. En effet, j’ai suivi mes études secondaires à l’Athénée Vauban, dans l’option Théâtre (cela m’a bien servi, d’ailleurs). Je n’ai que 20 ans, et je compte d’ailleurs poursuivre ma formation, pourquoi pas au Conservatoire ? 

    -Les atouts de cette série ?

    L.M.  C’est un excellent thriller : il y est question d’un vol de diamants, d’un réseau mafieux Sikh, d’un cadavre,… Mais on ne plonge pas dans la noirceur totale, car l’humour est aussi présent. Je n’ai pas été scout moi-même, mais on y voit à quel point l’authenticité et la solidarité peuvent souder un groupe.

    PROPOS RECUEILLIS PAR JEAN-CLAUDE HERIN

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  • JUMET- 4 générations dans la famille Casadei, dont deux Madeleineux !

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    Le petit dernier Casadei est à droite ! 

    Madeleineux dans l’âme pour toujours, la famille Casadei annonce avec une immense joie la naissance du petit Amadeo.  4 générations sont représentées : Carlo, arrière-grand-père (73 ans),  venu en 1966 pour travailler en métallurgie, Tony, grand-père  (51 ans), membre de société Royale des Turcos de Heigne, Thomas, père (29 ans), militaire de carrière  et membre de la merveilleuse clique de la Marine Anglaise de la Madeleine, et Amadeo (quelques jours). Tous les 4 sont habitants du quartier de Jumet Heigne.

    JCH

  • AISEAU PRESLES- Journée "Napoléon' à l'occasion du bicentenaire de sa mort

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    Achille Verschoren ( père et fils )

    A l’occasion du bicentenaire de la mort de Napoléon, Achille Verschoren (23 ans) donnait une conférence sur des liens entre l’Empereur et la région de la Basse-Sambre.

    Il ne faut pas confondre les Achille Verschoren, car ils sont trois à Aiseau-Presles : le grand-père, dans la nonantaine, le fils, fondateur de la Ferme des Castors, et le petit-fils, étudiant en 2èmemaster en Histoire à l’UCL.

    C’est à l’initiative de ce dernier, véritable passionné de Napoléon, qu’une expo-conférence était organisée, dimanche,  chez les Castors. Divers documents étaient rassemblés comme des ouvrages sur l’Empereur, des bustes et des figurines, des articles de presse (de la Nouvelle Gazette !),  des tableaux, une reconstitution de capote (redingote) de la Garde Impériale, un véritable boulet de canon  de l’armée prussienne, des listes de conscrits de Jemeppe-sur-Sambre  (30 000 hommes ont été enrôlés dans l’Armée de Napoléon !) mais aussi de déserteurs,…

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    Une dizaine de reconstituteurs, représentant des soldats français, écossais, prussiens,… avaient fait le déplacement, dont le bouquiniste carolo Etienne Grandchamps !

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    A gauche, on reconnaît le bouquiniste de Fafouille !

     

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    Dans sa conférence, Achille Verschoren est revenu sur le lien entre le Castor et le bicorne de Napoléon.  « Plusieurs noms sont en lien avec  le rongeur, dont la Biesme, qui traverse Aiseau Presles » explique Achille. « A l’époque, Napoléon s’est tourné vers la peau de castor d’excellente qualité, recherché pour sa résistance et à la mode depuis le XVIème siècle ».

    JEAN-CLAUDE HERIN