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LIVRE- Salvatore Gucciardo: "Le Voyageur intemporel"

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             «Je perçois l’être humain dans sa nudité intérieure»

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Salvatore Gucciardo signe un roman fantastique et initiatique :  «Le Voyage Intemporel». Depuis longtemps, cet artiste de Monceau-sur-Sambre est habité par des questions métaphysiques et cosmologiques.

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Fils de mineur -et avant-dernier d’une famille de 16 enfants !-, Salvatore Gucciardo est né à Agrigente (Sicile) en 1947. C’est à l’âge de 7 ans qu’il arrive en Belgique. Après avoir vécu à Charleroi et Jumet, il s’installe à  Monceau-sur-Sambre en 1978.

Inspiré dès sa prime jeunesse par les toiles de Modigliani, et tout particulièrement le «Portrait de Haïm Soutine assis» (1916), ainsi que par les œuvres d’Arthur Rimbaud, Salvatore est porté autant sur la peinture que sur la littérature. «Il n’y a rien de plus beau et de plus fort que de mettre des images sur des mots et inversement » affirme-t-il.

L’auteur est connu pour ses nombreuses expositions, dont la dernière remonte au Château de Cartier, ainsi que par ses ouvrages : « Lyrisme cosmique »,  «Anthologie de la Poésie Humaniste», «Méandres », …

des noms symboliques

Son dernier roman «Le Voyage intemporel» est construit comme un scénario de film. Renato Busso contemple une toile représentant un poulpe géant et une femme nue. Pris d’un malaise, le jeune narrateur se réveille dans un palais somptueux où d’immenses oiseaux soutiennent un plafond. Renato, surnommé Ini par les habitants du Royaume du Soleil, est accueilli par le monstre, appelé Seigneur Magni. Aux côtés du maître des lieux, figure la jeune fille du tableau. Docile et soumise, cette dernière est fascinée par le monstre. Le Seigneur Magni présente Era au jeune homme. Ebloui par sa beauté, Ini tombe amoureusement fou d’elle, et est guidé dans la découverte du Royaume du Soleil, fief de son père, le Tout Grand Ouros, qui règne en Dieu puissant et unique. S’ensuit une aventure passionnelle aux étranges péripéties…

«Véritable parcours initiatique, «Le Voyageur intemporel » décrit l’homme dans sa nudité intérieure, quelle que soit la période où il vit. Les noms de mes personnages, issus d’une mythologie qui m’est propre, ont tous une symbolique particulière, par exemple Magni pour magnétisme  encore Ouros pour « Ouroboros »(en grec ancien), un dessin qui représente un serpent se mordant la queue » poursuit Salvatore. « Ce roman permettra aux lecteurs de percevoir ma vision cosmologique de l’art et de la vie, à travers des grandes thématiques comme l’essence humaine ou encore le mystère et le sens de la vie ». JCH

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Un tableau qui illustre bien son univers

Le livre, au prix de 10 €, est publié aux éditions Chloé des Lys. Pour tous renseignements : gucciardo.salvatore@gmail.com

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