Les amazones

Du 13 février au 2 mars 2014. Jeudi, vendredi, samedi 20h30. Dimanche 16h30.

Avec Michelle Vercammen, Annick Jelen, Vera Bertinchamps, Judicaël Vlieghe et pour la première fois chez Cabaret 2000, Adrien Binon.
Mise en scène Antoine Vandenberghe . Luigi et Jacky à l’accueil.

La trame de fond de cette comédie repose en fait sur le problème de la solitude, du célibat, de la crise de la cinquantaine. Certes, chacun(e) se fabrique sa carapace, se réfugie derrière de faux prétextes, se raconte des histoires, mais tôt ou tard, le vernis finit par craquer et la vérité n’en est alors que plus dure à supporter ou à affronter. Mais tout cela, au bout du compte, est tellement drôle!

La pièce : Trois joyeuses célibataires, un peu égratignées par la vie, cohabitent pour oublier les affres de leur cœur en jachère. C’est le bonheur ! Jusqu’au jour où débarque Guillaume, bel étalon,
qui va vite devenir la proie d’un frénétique safari tout sexe confondu. Pourtant Micky, l’une d’entre elles avait dit : «On a fait une charte des Amazones, les filles… Il s’agirait de la respecter !
Dans la roulotte, c’est les filles qui commandent ! Et tout est étudié pour : confort, bien-être et liberté! » Ne boudez pas votre plaisir, voici un spectacle à consommer sans modération.

Pièce créée à Paris en 2003 avec entre autres Sonia Dubois et Chantal Ladesou .

L’auteur – Jean-Marie Chevret
Jean-Marie Chevret est un auteur et metteur en scène. Après avoir suivi les cours du Conservatoire de Tours, il travaille avec André Cellier au Théâtre de Tours puis suit les Cours Simon à Paris pendant deux ans. Il écrit pour le théâtre : «Vous êtes libre» (one woman show de Dominique de Lacoste, 1999), «Le Squat» (nominée aux Molières 2000). Jean-Marie Chevret a su très habilement traiter un sujet plus ou moins grave sur le ton de la comédie. Les spectateurs tombent très rapidement sous le charme des situations cocasses qui s’enchaînent, et entrent immédiatement dans le jeu de ce quintet infernal. On rit sans retenue de la première à la dernière réplique.

La presse lors de la création à paris :
« D’une drôlerie irrésistible et ravageuse, Jean-Marie Chevret a écrit cette pièce chronique avec justesse et tendresse. Ses formules à l’emporte-pièce – comme les situations – font mouche. (…) On rit beaucoup, de grand coeur, d’éclats libérateurs. »

Le Parisien

« La pièce mise tout sur l’humour, sans négliger la tendresse. Les situations, truffées de quiproquos, sont certes cocasses mais osent briser quelques idées reçues sur l’homosexualité. »

JDD

« On est vite entraînés dans un tourbillon d’anarchie amusée, mis en scène à toute berzingue. La vie, la vraie a fait irruption sur le plateau. Et quand, comme ici, la gouaille chevauche a cru une tendresse muette (mais toujours palpable) qui lie les personnages jusque dans leur bêtise immature, on est piégé. Trois comédiennes constituent le coeur drolatique de ce festival de dérision et d’autodérision, de rosseries hautement assaisonnées et de piques jubilatoires. »