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Ca bouge à Charleroi et dans l'entité ! - Page 325

  • PORTRAIT- Grégory Rogge, la passion du reportage vidéo

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    Réalisateur, cadreur et monteur, Grégory Rogge se donne pour objectif, avec son concept OZFilm, d'augmenter la visibilité des commerçants et artisans de la région. Récemment, le jeune Carolo rendait visite au « petit » Robert la Frite, à la rue de la Montagne.

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    Le reportage vidéo est vraiment une passion pour Grégory Rogge (23 ans), à tel point qu'il souhaite en faire son métier. D'origine beaumontoise, le jeune homme a suivi une filière dans l'audio-visuel, à l'Athénée Royal Simone Veil. Pendant ses études, il a notamment réalisé de petits films sur le camp d'Auschwitz, qu'il a visité avec ses professeurs.

    « Ce voyage m'a véritablement bouleversé » confie-t-il. Il y a 1 an et 1/2, le cinéaste indépendant lançait OZFilm. A ce jour, ce concept de réalisations et de productions vidéo totalise 3 000 000 vues, 67 projets et 45 clients. Ambitieux, Grégory souhaiterait voir encore son « bébé » grandir. « Je m'occupe de créer des films d'entreprises, des after-movie événementiels (comme des salons commerciaux, par exemple), des clips musicaux avec divers artistes comme Leto, un grand rappeur français, des street clips, des clips danse, et bien d'autres encore ! » souligne-t-il.

    coup de pouce à l'HoReCa

    Passionné par la vie associative et par l'Histoire des quartiers, et de nature très sociable, Grégory a commencé à mettre en avant les commerçants et artisans de Beaumont, notamment à la chocolaterie Bressant, puis au Temps d'un Fromage à Ham-sur-Heure. « Partout où je suis passé, j'ai eu des retours très positifs » souligne-t-il. Installé depuis peu à la place de la Digue à Charleroi, le cinéaste souhaite poursuivre dans cette voie.

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    « Tout le secteur de l'HoReCa a particulièrement souffert lors du confinement. Mon travail est d'autant plus utile ». Le jeune homme a terminé une vidéo sur le « Petit » Robert La Frite. A voir sur la page Facebook de Robert la Frite, ainsi que sur les réseaux sociaux. Grégory a eu la chance de rencontrer les trois générations de « Robert la Frite » (fondateur en 1952), c'est à dire Liliane, sa nièce (qui y travaille depuis 1979!), sa petite-nièce Christelle, et son arrière-petit-fils Antoni.

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    De gauche à droite, Liliane, Christelle et Antoni, trois générations réunies 

    Aujourd'hui, cette deuxième implantation (dans une surface agrandie près de l'ex-C&A) de la friterie commence à redynamiser la seconde partie de la rue de la Montagne. Pour tout contact : Grégory Rogge : Gsm: 0493/16.37.42. directbyozfilm@gmail.com - www.ozfilmstudio.be

    JEAN-CLAUDE HERIN 

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    L'équipe de Robert la Frite autour de Grégory 

  • CHARLEROI- La compagnie Imp'Act au Royale

    L’Horeca et la Culture s’associent pour une parenthèse... Royale
     
    Ce samedi 21 août, la Brasserie Le Royal (89 bld Tirou 6000 Charleroi) organise un événement festif et familial.
     
    L’objectif ? Tisser un pont entre Culture et Horeca tout en proposant une «bulle estivale" une parenthèse décontractée.
     
    Habitants de Charleroi ou simples passants pourront profiter des animations artistiques destinées aux enfants, familles et grands. Le Royal a fait appel à la Cie Imp-Act, troupe de théâtre carolo.
     
    AU PROGRAMME :
     
    De 11h à 21h : Les comédiens doucement déjantés de la Cie Imp-Act proposeront des animations de rue... surprise ! Indice : des presque homologues journalistes risquent de se faire remarquer, pour le plaisir des zygomatiques.
     
    De 11h à 19h : Levez les yeux, un échassier sculpteur de ballons et de bulles de savon vous tendra un sourire...
     
    Dès 21h30 : Un cracheur de feu animera l’esplanade face au Le Royal. Sécurité et élégance accompagneront la danse des flammes.
     
    Un événement GRATUIT.
     
    Contact presse : Lola, 0479/ 92 96 19 –
    impact.cie@outlook.be

  • MARCINELLE- Les rétrofuturistes ont envahi le Bois du Cazier !

     

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    Pour la première fois, le Bois du Cazier accueillait une déambulation en costumes steampunk et fantastiques. Une quarantaine d'exposants étaient également présents durant tout le week-end pour le marché artisanal.

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    Philippe Van De Velde sur son combi fleuri 

    Debout sur un combi Volkswagen de 1962, customisé dans le style Flower Power, Philippe Van De Velde (44 ans), jouait de la cornemuse, lors de la 1ere Convention steampunk mise sur pied au Bois du Cazier.

    «  C'est au retour d'un voyage que j'ai fait  en Ecosse que j'ai décidé de jouer de cet instrument. Depuis, il ne me quitte plus » confiait cet habitant de Souvret.

    Cet événement « rétrofuturiste » a rassemblé plusieurs centaines de personnes.

    Pour rappel, le steampunk est un mouvement culturel qui mêle l’esthétique et la technologie du 19ème siècle, dominé par la première révolution industrielle du charbon ( le site du Cazier convenait tout à fait bien!) et de la vapeur, à des éléments de science-fiction. Depuis le milieu des années 80, le steampunk est devenu un genre à part entière, présent sur tous les supports culturels (cinéma, séries TV, jeux vidéos…). C’est également un art de vivre pour certains.

    En aviatrice des années 20

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    Une trentaine de membres du groupe Ohana, venus de toute la Wallonie et de Bruxelles, ont défilé costumés sur le site et ont réalisé des chorégraphies. Les visiteurs étaient aussi invités à se rendre sur le site costumés s’ils le souhaitaient. Les tenues pouvaient être steampunk, mais aussi elfiques, cosplay, pirates, vénitiens,...

    Les costumes sont réalisés par les membres eux-mêmes. Christine Mouriamé, coordinatrice d'Ohana, s'était transformée en aviatrice des années 20 : « J'ai confectionné le petit chapeau et le chemisier. J'essaie d'être très créative et de garder une certaine unité dans le style vaporiste» tenait-elle à préciser. 

    Quant à son compagnon Michaël Van Cauwenberghe, il avait adopté le look « nécromancier » !

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    Le week-end était aussi agrémenté de l'organisation d'un marché artisanal d'Arti'fou, mis sur pied par Christophe Danis, réunissant une trentaine d’artisans qui proposaient des produits de bouche, des démonstrations du travail du bois, du cuir, la création de bijoux ou de chapeaux customisés.

    JEAN-CLAUDE HERIN