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Ca bouge à Charleroi et dans l'entité ! - Page 1494

  • CHARLEROI- "Cochons d'Inde" le 1er mars au Poche

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    Le Groupe Théâtral du Voisin  présente en collaboration avec le Poche théâtre de Charleroi, rue du Fort 70, le 1er mars 2014 à 20 heures 30 :

    COCHONS D'INDE, une pièce de Sébastien Thiéry, mise en scène par Philippe BROSTEAU.

    Une compagnie de Sambreville, certes,  mais qui est déjà ancrée dans la région de Charleroi puisque plusieurs de ses membres en sont originaires. C'est le cas notamment d'Antonella MECO qui interprètera la gérante coincée, enfin méfions-nous de l'eau qui dort et qui  travaille pour une société de crédit social de Charleroi. Elle a en outre suivi  des cours de théâtre avec Alain LACKNER,  ancien Directeur du Vaudeville et Bernard SUIN, Directeur artistique du Poche. 

    Anne LARBALESTRIER qui travaille au CPAS et qui soutient l'équipe dans la recherche de costumes, d'accessoires, etc. et  Cédric ANDRE à

    l'ISPPC, intercommunale de santé publique du pays de Charleroi qui apporte son soutien pour les reportages photos notamment. 

    Les autres comédiens de la distribution sont Didier BOXUS, dans le rôle du client Alain KRAFT,  Patricia GHIOTTO, qui interprétera la maman d'Alain Kraft, Didier BIERNAUX, le guichetier et Dominique FONTENELLE, la cliente âgée.  N'oublions pas les autres fourmis qui s'activent pour mettre en place la technique et la scénographie, à savoir Damien KOPER et  Marc DE FAVERI. Sans oublier la mémoire de la compagnie Anne BOURNONVILLE la souffleuse.

    Depuis 28 ans, la passion du théâtre se transmet entre les générations de cette  compagnie telle la flamme olympique pour qu'elle ne s'éteigne jamais. 

    L'histoire : Alain Kraft, un bourgeois de quarante ans d’origine modeste, vient effectuer un retrait d’espèces à sa banque. Mais la nouvelle direction indienne de l’établissement lui a bloqué son compte et refuse de le laisser partir, l’accusant d’avoir enfreint la loi en s’étant enrichi et en ayant « changé de caste ».

    Un humour très caustique, une situation absurde, mais qui en disent long

    L’auteur Sébastien Thiéry a déjà été récompensé par deux Molières.

    Vous pouvez découvrir un extrait de la pièce sur https://www.youtube.com/watch?v=wlyJkc9Icr8Réservation 071 /315.579 ou resa@lepoche.be  PAF : 11 EUR en prévente et 14 EUR sur place.

    www.lepoche.be

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  • CHARLEROI- La fête à Gainsbarre au Bacchus

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    Initiales SG revisite Gainsbourg

    "L'homme aux oreilles de chou" était bien mis à l'honneur, à Charleroi, vendredi soir ! Le groupe "Initiales S.G." revisitait une bonne partie du répertoire de Serge Gainsbourg. Une des particularités de ce groupe: les musiciens sont tous Carolos et chapeautés ! Qui le compose ?  Fabrice Gobessi, chanteur, musicien, et comédien ( Bientôt à la Ruche Théâtre dans "La Mégère apprivoisée").  Il est surtout connu pour faire partie du groupe "Le Duc et les Causeries". Aurélien Belle, chanteur, pianiste et comédien. Cendrine Ketels, chanteuse, ancienne meneuse de la revue du Théâtre des Galeries et candidate de la saison 2 de Belgium's Got Talent.  "Initiales S.G."  est né, il y a 4 ans, lors d'un Bal des Songes, au club privé "L'intemporel".   Le groupe se composait alors d'un musicien et chanteur supplémentaire: Henri Magnifique.  Les artistes sont fous de Gainsbarre. "Je l'ai vraiment découvert à l'âge de 18 ans, quand j'étais à l'internat " note Fabrice. "Ce que j'apprécie chez lui, c'est qu'il bouscule complètement les codes! Même si parfois il était considéré comme "un mouton noir", il était un véritable précurseur!"  Parmi les titres proposés, des titres connus : "Elisa", "Le fumeur de havane", "Vieille canaille",... mais aussi moins connus:  " L'alcool", "Ford Mustang", "Panpan Cucul",...  La touche est assez burlesque, dans un esprit de spectacle cabaret.  Le concert était donné au "Bacchus", à la place du Manège. Une ambiance folle y régnait! En fin de soirée ( les musiciens ont joué deux bonnes heures!), les gens sont sortis du café, et ont commencé une farandole!  Eugénie Locantore en est la  tenancière. L'établissement ( qui propose 66 bières et 28 whisky différents!)  a été créé, il y a 33 ans, par son père.  Depuis qu'elle a repris le café avec son mari Christophe, elle invite une douzaine de groupes musicaux par an. " Nous avons toujours cette réputation de réunir des artistes. Ne  sommes-nous pas  situés en face du Palais des Beaux-Arts? " souligne-t-elle.  Des expositions sont régulièrement mises sur pied.  Pour la Fête de la Musique, le Bacchus compte renforcer ses liens avec  d'autres partenaires sur la place. JCH

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    Fabrice Gobessi

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    Ca se termine en farandole!

  • CHARLEROI- Les ados font leur cinéma

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    Sur la scène du cinéma Le Parc

    Lors de la 1ère édition du FICAA,  103 films ont été projetés  au  cinéma Le Parc.  De jeunes cinéastes ont été primés,  dont Sami Najib  de Dampremy.  Rencontre avec le nalinnois Nicolas Guiot ( 35 ans),  parrain de la manifestation.

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    Nicolas Guiot

    -  L'adolescence, c'est aussi la période qui a marqué le début de votre amour pour le cinéma?

    N.G:  En quelque sorte, oui.  A 14 ans, j'avais déjà décidé de faire carrière dans cette voie.  Bénévole au cinéma Le Parc, j'ai été très marqué  par des films comme "Arizona Dream", "Noces blanches",... mais aussi par "A bout de souffle" représentatif de la Nouvelle Vague, ou encore par "C'est arrivé près de chez vous" qui a marqué toute une génération.

    -  Les ados d'aujourd'hui sont doués pour le cinéma?

    N.G.: Je crois qu'ils le sont beaucoup plus que moi, quand j'avais leur âge! Aujourd'hui, les jeunes baignent dans un flot d'images permanents. Ils maîtrisent bien les outils, ont le sens du cadrage, connaissent le langage audio-visuel,...Je suis aussi soufflé par leur imagination et leur créativité.

    -   Charleroi pourrait vous inspirer pour un film?

    N.G.: J'ai déjà produit des films qui ont été tournés dans la région. Si je choisissais Charleroi en tant que réalisateur, je me porterais sur le côté ouest du ring, sur les anciennes sidérurgies,... Des paysages d'une grande beauté visuelle. C'est ce qui orienterait mon écriture.

    -  Quel bilan tirez-vous de ce premier festival ?

    N.G. Le bilan est très positif: 630 jeunes ont participé à l'aventure, à Bruxelles, en Wallonie, en France, au Mali et au Burundi!  Je pense que la deuxième édition réservera encore de belles surprises. Je ne serai peut-être plus le parrain:  il faut pouvoir passer la main.

    -   Dans "Le  Cri du Homard ( court-métrage pour lequel Nicolas Guiot a été primé en 2013 ) , Natalia, 6 ans, attend impatiemment le retour de son frère Boris, parti combattre en Tchétchénie.Que vous inspire le chaos dans lequel est plongé actuellement l'Ukraine? 

    N.G:   J'y suis très sensible, évidemment.  La comédienne qui joue  dans "Le Cri du Homard" est elle-même ukrainienne.  Mais mes films n'ont pas un caractère éminemment politique. Ils sont davantage centrés sur l'humain.  On aura toutefois vite compris que je dénonce toute forme de totalitarisme... Quant au thème du retour, il est récurrent dans l'histoire du cinéma américain, par exemple. JCH

    Sami Najib: "L'aube":  un film plein de sensibilité

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    Sami Najib ( 17 ans)  a remporté le premier prix dans la catégorie "fiction" pour "L'aube". Dans ce court-métrage, on suit une mère qui vit à travers le souvenir de son fils disparu.  Le film a été tourné à Dampremy, à la rue Jean Jaurès où il habite.  La scène se passe entre une ancienne nounou de Sami et un  de ses amis .  Aucun dialogue ne filtre. Tout passe par les sentiments,  les attitudes, les regards,... "J'ai voulu que la mort reste mystérieuse, voir énigmatique" note le jeune homme. " J'ai moi-même perdu quelqu'un de proche. Ce thème est donc particulièrement sensible pour moi".  Sami est étudiant à GPH à Gosselies  en audio-visuel.  Il avait déjà réalisé un film: "Expiation".  Plus tard, il souhaite poursuivre  dans le cinéma. "Contrairement à des jeunes de mon âge, je n'aime pas spécialement les films dits" commerciaux"  souligne-t-il.  " Je m'oriente plutôt vers des films contemplatifs, où l'on ressent surtout de l'émotion". Le jury a récompensé son film pour la maîtrise au niveau de la mise en scène et des points de vue, pour la sobriété dans le jeu des acteurs et de la narration qui laisse place à l'imagination et à l'émotion. Pour tous contacts avec Sami Najib : 0495/400 748.

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    Sami et ses parents

     

    PALMARES 

     

    clip: VIP

     

    documentaire: Namur-Bruxelles un voyage

     

    animation: Butoyi

     

    fiction: L'aube

     

    Thèmes: cris: "Mes frères de la rue"

     

    Chuchotements: L'amoureux

     

    Ficaa d'or: Le vin solitaire