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Cultures - Evénements - Page 539

  • CHARLEROI- Les cloches de Corneville, le 16 novembre

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    A gauche sur la photo, avez-vous reconnu Jacky Druaux ?

    Le spectacle lyrique  "Les cloches de Corneville" raconte  l'histoire d'Henri de Corneville,  à la  fin  du 17ème siècle.  Revenant  dans son village, ce dernier apprend que son château est hanté.   Il croise sur sa route de jolies villageoises,  Serpolette,  une enfant trouvée,  et Germaine, la nièce de l'inquiétant fermier Gaspard,   qui cache un lourd secret.  Un pêcheur naïf et couard,  Grenicheux,  et un bailli imbu et grotesque complètent cette galerie de personnages pittoresques qui animent la place  du village et le Château de Corneville. Une opérette classique regorgeant de thèmes musicaux connus et fredonnés par de nombreuses générations.  L'asbl  "Cavatina"  propose cette oeuvre magique et populaire dans une distribution mêlant dejeunes talents,  entourés de toute une équipe de professionnels:  Antoni Sykopoulos ( Henri de  Corneville ) , habitué de l'Opéra de Liège, Laurence Van Belligen ( Serpolette ),  Aurore Rinchon  ( Germaine ),  mezzo soprane qui a joué dans l'Opéra de 4 Sous,  Jean-Louis Danvoye ( le bailli ), Jean-Louis Duez ( Gaspard ) , Sébastien Lingala  (  Grenicheux ) et Yann Lejeune, jongleur échassier, magicien et conteur.   La mise en scène est signée Jacky Druaux , comédien, chanteur, conteur  ( plus de 100 opérettes,  10 comédies musicales, 50 pièces de théâtre,...)   et Jean-Charles Gosseries, chanteur, comédien,  et également concepteur du graphisme,  de la scénographie et du décor.  Sophie Wéry signe le stylisme. Joseph Criquillion est chef d'orchestre  et arrangeur de la partition,  et Cécile Bolle, directrice artistique pour les parties chorales et lyriques .

    "Les cloches de Corneville"  est à voir le 16 novembre à 16h, au Palais des Beaux-Arts de Charleroi,  place du Manège.  30euros/27 euros   ( abonnés PBA )- étudiants: 15 euros. Renseignements et réservations:   071/31  12 12.  

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  • COURCELLES- Décès du cinéaste Jean-Jacques Rousseau

     

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    Après quatre mois de coma, Jean-Jacques Rousseau, le cinéaste de l’absurde, est décédé sur son lit d’hôpital, mercredi soir. Il avait été renversé, le 15 juillet dernier, par un jeune conducteur qui avait foncé délibérément sur un groupe de personnes, sur la place des Trieux à Courcelles.

    Jean-Jacques Rousseau, le cinéaste de l’absurde, est décédé mercredi soir sur son lit d’hôpital, indiquent plusieurs journaux sur leur site Internet.

    Figure emblématique de la ville de Courcelles et de la Culture en général, il était plongé dans le coma depuis le 15 juillet dernier. Ce soir-là, à la suite d’une altercation survenue dans un café de la place des Trieux à Courcelles, un jeune conducteur avait foncé sur un groupe de personnes. Hospitalisé dans un état proche de la mort, Jean-Jacques Rousseau n’a jamais repris connaissance.

    L’artiste, considéré comme un marginal du marché cinématographique, voyait ses films régulièrement projetés au Festival International du Film fantastique de Bruxelles. Cachant sa vie privée aux médias, il avait pour l’habitude d’apparaître le visage dissimulé sous une cagoule. Il avait d’ailleurs eu l’honneur de gravir les marches du Festival de Cannes avec cet accoutrement. ( Source: Le Soir )

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    Il était cagoulé quand il était photographié ou filmé