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Cultures - Evénements - Page 123

  • DECOUVERTES ENTREPRISES A LA DACQUOISE

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    Bon appétit !

    Ouvert en 2011 à la rue de Marchienne à Gozée, l’atelier-boutique « La Dacquoise » affirme sa position dans la chocolaterie fine, la boulangerie/pâtisserie et la crème glacée. Ces trois fleurons gastronomiques sont défendus par Dimitri Salmon, qui a commencé sa carrière dans des maisons prestigieuses telles que « Le Nôtre » à Paris.

    A partir des galets qu’il reçoit, le patron est toujours à la recherche de nouveaux sujets. Une particularité ? Les personnages qu’il crée en séries à partir de deux boules de chocolat, l’une pour la tête, l’autre pour le corps. C’est ainsi qu’il décline des Pères Noël (très humoristiques !) dans 5 ou 6 positions différentes. Sur son PC, il dessine et conçoit aussi d’autres sujets, comme des araignées (pour la fête d’Halloween), des boîtes aux lettres (sortes de bûches éphémères), des cœurs ( pour la Saint-Valentin), ou encore des pandas qu’il sortira à Pâques pour le parc Pairi Daiza. Son ami Jean-Jacques Cloquet, nouveau directeur opérationnel, est dans le coup, bien sûr. Dimitri Salmon s’est équipé d’une thermoformeuse ( il imprime avec des plaques de résine thermoformées ), mais il doit encore trouver un fabricant pour les moules. Entouré d’un ouvrier et d’une stagiaire, Dimitri Salmon produit 2 tonnes et ½ de chocolat par an.

    Et les commandes affluent ! Il suffit de voir la clientèle entrer régulièrement dans son établissement pour s’en rendre compte. Ses pages Facebook et Instagram sont d’ailleurs très actives. « Les clients aiment bien de voir comment on travaille, cela leur permet égaement de comprendre le montant qu’on peut demander pour un montage en chocolat » fait-il remarquer. Régulièrement, de nouvelles recettes font leur apparition, pour le plus grand plaisir des gourmands et des gourmets. Harmonie des couleurs, sens de la créativité et qualité d’exécution se conjuguent pour émerveiller les papilles exigeantes de ses clients. « Le chocolat fait deux fois plaisir : quand on reçoit, et quand on le mange » a-t-il l’habitude de dire.  J.C.HERIN

  • VERNISSAGE DE DEUX EXPOS AU CAL le 18 OCTOBRE

    VERNISSAGE
    « Pourquoi il faut abolir la peine de mort »
    & « Fenêtres sur le couloir de la mort »
    Vendredi 18 octobre dès 19 heures
    @ CAL Charleroi

     
    Deux expositions s’installent jusqu’au 6 décembre. L’une d’Amnesty International, plutôt didactique, fait un état des lieux de la peine capitale dans le monde. L’autre nous vient de Suisse. Réalisée par Patrick Chappatte, dessinateur de presse, et Anne-Frédérique Widmann, journaliste, elle fait partie d'un projet militant abolitioniste mené dans et hors des murs des prisons américaines

  • NOUVELLES EXPOS AU MUSEE DE LA PHOTO

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    "Photographie, Arme de classe"

    Le Musée de la Photographie présente ses nouvelles collections, à voir jusqu’au 19 janvier : « Photographie, Arme de Classe », « Arkhê » (Sandrine Lopez), « Zad » (Philippe Graton), les clichés de Henri Doyen et « As if we were tuna » par Zizola/Noor.

    Après une grande expo sur le roman-photo, qui a recueilli un joli succès, le Musée de la Photographie s’intéresse à un tout autre domaine : l’Histoire sociale de 1928 à 1936, en France. On y voit, par exemple, le ministre français André Malraux s’adresser, en 1935, au Congrès pour la défense de la Culture, une délégation de grévistes en 1936 à la Fête de la Victoire du Front populaire, une prise de parole par des grévistes aux Usines Citroën au Quartier Javel,  en 1938,…

    Tous ces moments-clés sont représentés à travers l’expo « Photographie, Arme de classe », conçue par le Centre Pompidou de Paris.Le titre est celui du texte manifeste du journaliste Henri Tracol (1909-1997), destiné à fédérer la section photographique de l’AEAR, Association des Ecrivains et Artistes Révolutionnaires. Les clichés de la collection Bouqueret acquises en 2011 (7000 tirages environ) viennent combler un manque dans l’histoire de l’Entre-deux-guerres en France.

    «  La présentation de cette exposition au Musée de la Photographie est l’occasion d’aborder aussi la spécificité du contexte belge » précisait Xavier Canonne, directeur, lors du vernissage.

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    Glaçant...

    Opposants au projet d’aéroport

    Avec comme dénominateur commun la nuit, l’exposition « Arkhè » de Sandrine Lopez donne à voir des portraits abimés, mais sublimés par la photographe. « Croiser un être et savoir que c’est lui. On est proche de la vie pulsionnelle, sexuelle, amoureuse. On est proche du flux sanguin, de la chair, du rêve » déclare l’artiste.

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    expo de Sandrine Lopez

    A travers l’expo « Zad » ( Zone d’Aménagement Différé), à Notre-Dame-des-Landes, non loin de Nantes, Philippe Graton s’est intéressé aux farouches opposants au projet de construction de l’aéroport du Grand Ouest. Fraîchement diplômé de la Cambre, Henri Doyen interroge la pratique photographique. Collectif indépendant d’auteurs, de journalistes et de photographes, Noor présente « As if we were tuna » de la série « Sale Suore Sangue » par Francisco Zizola. Les expos sont à voir au Musée de la photographie, jusqu’au 19 janvier 2020. Infos : 071/43 58 10. mpc.info@museephoto.be JEAN-CLAUDE HERIN