Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • GOUGNIES: spectacle: "Un monde merveilleux ?"

    merveilleux1.JPG

    photos: J.C.Hérin

    Une équipée sauvage et délirante dans les coulisses du monde merveilleux des parcs d'attraction à l'américaine...La pièce était jouée à Gougnies.

    Quatre irréductibles branquignoles sont engagés dans un parc d'attraction à "l'américaine" pour incarner les légendaires personnages du pays imaginaire de Peter Pan. Entre un manager tyrannique et un client envahissant, cette équipée sauvage et délirante nous emmène dans les coulisses de ce monde merveilleux ...

    Martine, son mari Roland, Jean-François, comédien plein d'avenir, et Patrick Vaillant, célébrité déchue du petit écran, sont embauchés dans un parc d'attractions à l'américaine près de Paris... Ils doivent incarner les légendaires personnages de l'attraction Peter Pan! A savoir Peter Pan himself, le Capitaine Crochet, Princesse Lily et la délicieuse Fée Clochette. Ils découvrent alors avec un certain étonnement les coulisses de cette grosse machine à faire rêver avec ses règles internes très strictes dont Christopher, jeune manager à la sauce hamburger, est l'impitoyable garant. 

    Evidemment, nos nouveaux employés ou, devrions nous-dire désormais, "castmembers" se sentent à des années-lumière de ce monde si féérique, si magique, si... merveilleux!... Et comme, de surcroît, ils sont loin d'être des lumières, cela crée fatalement des situations inhabituelles (surtout lorsque Gilbert, l'invité permanent du parc, s'en mêle) dans ce royaume fantastique. Ici tout n'est que rêve, propreté, délice et volupté, fini les soucis, on rigole comme des fous parce que c'est drôlement merveilleux !... Paraît-il ?!... JC Hérin

    Avec Leslie Goffaux, Nathalie Libert, Thomas Busine, Emanuel Camus, Eric Ghislain,Vincent Kerkhofs.

    Auteurs : Didier Caron & Eric Laborie.

    Mise en scène : Thomas Busine.

    merveilleux2.JPG

    merveilleux3.JPG

    Une franche rigolade aux accents grinçants !

  • MISSION D'OBJECTIF O EN INDE

    objectifo4.jpg

    Grâce aux forages d’eau installés dans les villages de la région de Calcutta, des milliers d’Indiens peuvent à présent améliorer leur hygiène de vie. La délégation d’enseignants et élèves du Collège du Sacré-Cœur de Charleroi, qui accompagnait Jean-Denis Lejeune, au cours d’une mission d’Objectif 0, n’oubliera pas de sitôt les sourires et l’accueil chaleureux.

    objectifo.jpg

    L’expérience restera gravée dans les mémoires… Pendant quelques jours, Jean-Denis Lejeune, fondateur d’Objectif O, François Damay et Stéphane-Alice Poulin, enseignants au Collège du Sacré-Cœur, Justine Harmegnies et Perrine Payen, élèves en 3ème et 4ème secondaire, le journaliste Charles Neuforge et parrain de l’association, ainsi que le photographe Etienne Godelaine se sont rendus en Inde sur 9 forages d’eau, dont les trois premiers sont situés dans des écoles.

    objectifo2.jpg

    A Howrah dans le Bengale-Occidental, une plaque indique qu’un forage d’eau a pu être construit par les donations du Collège du Sacré-Cœur de Charleroi. «Nous sommes heureux de voir que l’argent récolté au cours d’activités dans l’école a pu financer un tel projet» signale François. «Tout a été réalisé à la main par les gens du village. Les outils sont rudimentaires et la manipulation des tuyaux de forages est dangereuse. Aujourd’hui, une partie de la population est autonome pour son approvisionnement en eau potable : c’était aussi le but recherché». 

    Pour finir la visite des projets sur place, l’équipe a vu un forage en construction. 

    Blondes… parmi les Indiens !

    L’équipe a marché également sur les pas de la fameuse «Mère Thérèsa», religieuse partie vivre à Calcutta pour aider les habitants des bidonvilles. Au programme : la visite de l’orphelinat, où la délégation belge a rencontré des centaines d’enfants pour la plupart très démunis, ainsi que la «Mother House», un bâtiment dans lequel se trouvent sa chambre et son tombeau.

    Une telle mission s’avère positive. «Malgré la misère, nous avons été frappées par l’accueil chaleureux des Indiens » signalent Perrine et Justine. «Par exemple, durant les deux jours où nous mangions dans l’école, nous avons reçu du lait de coco, du café indien, des biscuits,…Jusqu’à 7 services ! Nous faisions la fête avec une marque rouge sur nos fronts. Et puis tous les Indiens étaient un peu étonnés de voir deux jeunes blondes (c’est aussi la couleur de cheveux de nos professeurs !) parmi eux».

    objectifo3.jpg

    Stéphane-Alice poursuit : «Même si ce voyage était éprouvant, tant physiquement que moralement, nous nous estimons chanceux d’avoir pu participer à un tel projet. Aider les plus démunis, voir les sourires sur leurs visages, les sentir soulagés d’avoir accès à l’eau potable,... Cela a été pour nous une satisfaction totale et un moteur qui nous donnent l’envie de poursuivre ce combat. Pour nos élèves, cette expérience bénéfique pourra leur faire prendre conscience de l’importance d’aider les autres.» JCH

    objectifo1.jpg

    Des milliers de sourires

    Lien permanent Catégories : Société
  • ESPACE WALLONIE- Ces murs de la honte...

    mur1.JPG

    «Faites le mur» pour aller vers l’autre…

    mur2.jpg

    Trente ans après la chute du mur de Berlin, le nombre de murs et de clôtures a explosé un peu partout sur la planète. Donald Trump, président de la première puissance mondiale, fait de la prolongation du «mur de Bush», qui sépare les Etats-Unis et le Mexique, un enjeu politique majeur de sa présidence : ce qui provoque aussi un «shutdown» sans précédent !

    Le phénomène concerne aujourd’hui entre 6 % et 18 % des 250 000 kilomètres de frontières terrestres dans le monde, les murs existants s’étalant sur environ 40 000 kilomètres !      

    A l’heure où le repli sur soi et la peur de l’autre gagnent du terrain et gangrènent nos sociétés, une exposition de 40 grandes photos des français Alexandra Novosseloff et Frank Neisse porte un regard à la fois critique et profondément humain sur la sinistre réalité de ces «murs de la honte» qui divisent les hommes et installent durablement l’incompréhension, le rejet et la haine.

    rejeter les stéréotypes

    murs2.jpg

    Un parcours pédagogique est aussi organisé sur les thèmes : «Quel regard portons-nous sur l’Autre et sur nous-mêmes ?», «Comment mieux comprendre l’effet des stéréotypes et de la stigmatisation?», «Comment lutter concrètement contre les préjugés au quotidien?»,…

    Au travers d’animations ludiques et d’exercices pratiques, les participants sont amenés à prendre du recul et à débattre. Une animation «Ogrenco» est aussi prévue : le public est amené à endosser le rôle d'un militant, d'une diététicienne, d'un consommateur avisé ou d'une agricultrice pour combattre les ravages d'une société multinationale trop puissante dans le domaine de l'agro-alimentaire.

    L’expo : «Faites le mur» est à voir jusqu’au 22 février à Espace Wallonie, rue de France, 3. Animations gratuites pour les écoles secondaires et hautes-écoles. Les inscriptions sont obligatoires de préférence par téléphone (081/321.567) ou par mail à expositions@spw.wallonie.be. Durée de chaque animation : environ 2 heures. Groupe : de 15 à 25 étudiants. I Une initiative du Service public de Wallonie et du Centre Permanent pour la Citoyenneté et la Participation. Infos : www.expositions-wallonie.be ou www.cpcp.be  J.C.HERIN