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  • COURCELLES- Décès du cinéaste Jean-Jacques Rousseau

     

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    Après quatre mois de coma, Jean-Jacques Rousseau, le cinéaste de l’absurde, est décédé sur son lit d’hôpital, mercredi soir. Il avait été renversé, le 15 juillet dernier, par un jeune conducteur qui avait foncé délibérément sur un groupe de personnes, sur la place des Trieux à Courcelles.

    Jean-Jacques Rousseau, le cinéaste de l’absurde, est décédé mercredi soir sur son lit d’hôpital, indiquent plusieurs journaux sur leur site Internet.

    Figure emblématique de la ville de Courcelles et de la Culture en général, il était plongé dans le coma depuis le 15 juillet dernier. Ce soir-là, à la suite d’une altercation survenue dans un café de la place des Trieux à Courcelles, un jeune conducteur avait foncé sur un groupe de personnes. Hospitalisé dans un état proche de la mort, Jean-Jacques Rousseau n’a jamais repris connaissance.

    L’artiste, considéré comme un marginal du marché cinématographique, voyait ses films régulièrement projetés au Festival International du Film fantastique de Bruxelles. Cachant sa vie privée aux médias, il avait pour l’habitude d’apparaître le visage dissimulé sous une cagoule. Il avait d’ailleurs eu l’honneur de gravir les marches du Festival de Cannes avec cet accoutrement. ( Source: Le Soir )

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    Il était cagoulé quand il était photographié ou filmé

  • CHARLEROI/COUILLET- Double expo pour Michaël Matthys

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    Michael Matthys au PBA

    Le travail de Michaël Matthys trouve son point de départ dans l'histoire industrielle de Charleroi.  Aujourd'hui, l'actualité du plasticien carolo est double.  A travers l'expo: "Putain de guerre",  au  Musée des Beaux-Arts de Charleroi,  l'artiste s'attache particulièrement à la vie des tranchées.  Pour ce faire, il s'est inspiré de magazines satiriques publiés peu après la Grande Guerre.  Dans une série de six tableaux, il représente des soldats morts au combat.  " La terre et le sang se sont mêlés continuellement sur les champs  de bataille.  C'est pourquoi j'ai utilisé de la terre noire et brune,  ainsi que du sang de boeuf. " fait-il remarquer.  Les oeuvres ramènent le conflit dans le présent  avec, comme préoccupation principale, le sort dévolu par la guerre.  Michaël Matthys  expose également  à la galerie Jacques  Cerami, pour une expo intitulée " Déjà mort".  Celle-ci fait suite à "Nez rouges",   où le peintre avait dessiné des gens en maison de repos. "Ici, j'ai voulu donner une résonance aux nouveaux personnages. On ne sait pas s'ils sont en vie, ou s'ils sont morts, mais ils continuent à danser quoi qu'il arrive".  JCH

     

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    - "Déjà mort", jusqu'au 15 novembre,  les mercredis, jeudis et vendredis de 14h à 19h, et les samedis de 11h à 18h, à la galerie Jacques Cerami, route de Philippeville, 346  à Couillet. 071/36 00 65 ou au 0477/78 44 34. info@galeriecerami.be

    -"Putain de guerre" au Musée des Beaux-Arts , place du Manège à Charleroi, jusqu'au 13 décembre, du mardi au vendredi de 9h à 17, le samedi de 10h à 18h, le 1er dimanche du mois de 12h à 18h.  071/86 11 34. mba@charleroi.be