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  • FARCIENNES- Pas d'Estivale sans Cavalcade !

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    La traditionnelle Cavalcade se déroulait dimanche après-midi dans les rues de Farciennes. Un peu réduite cette année, en raison des mesures sanitaires.

     

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    Les Marquis

    Supprimée l'an passé, la Cavalcade a retrouvé, dimanche, une place de choix dans le cadre des Estivales. « Nous avons conçu le programme complet des festivités » faisait remarquer Patricia Gargieri, directrice du Centre Culturel.

    Le cortège, très coloré, était composé des jongleurs de « Ca sent le roussi », de deux géants : Arlequin et Mireille, de l'AMO Danse, du patro de Farciennes, du PCS/Centenaire, de majorettes, de la Fanfare Bidon,... « La plupart des participants s'investit dans des associations de Farciennes, durant toute l'année » poursuivait Patricia. «  A cause du Covid, nous avons dû réduire le nombre de groupes à 14, mais le coeur y était ». En tête de cortège, on trouvait les Marquis, dans lesquels défilaient le bourgmestre Hugues Bayet, l'échevin de la Culture Ozcan Nizam, Benjamin Scandella, président du CPAS,...

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    «  Ce groupe a été constitué en 2013 » explique ce dernier. « Il regroupe des personnalités qui sont un peu la « force vive » de la la Commune, comme des présidents de clubs sportifs, des entrepreneurs, des restaurateurs,... » Le Marquis, représenté par le bourgmestre, a pour mission de tuer la comtesse vampirique qui revient hanter les lieux tous les ans ! Les Marquis organisent diverses activités (barbecue, balades sur la Sambre,...) et participent à l'entretien des géants.

    J.C.HERIN

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  • FARCIENNES- Un goût de liberté retrouvé aux concerts d'Estivales

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    C'est une première dans la région de Charleroi. A la seule condition d'être munis d'un covid safe ticket ou d'un test PCR, les spectateurs pouvaient ôter leur masque pour assister, samedi soir, aux concerts des Spagguetta Orghasmmond et, en tête d'affiche, des Gangsters d'amour. Ce groupe mythique a fait son grand retour depuis janvier 2020...mais sans le regretté Farciennois Jeff Bodart.

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    Contrôle à l'entrée...

    La 8ème édition a rassemblé 400 personnes sur la grand place.

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    Les parents et le frère de Jeff Bodart en compagnie de Hugues Bayet, le bourgmestre

    Des concerts comme on les aime, où le public peut chanter à pleine voix et donc sans masque, se déplacer, bouger, danser,... C'est la formule retenue par la Ville de Farciennes pour la relance des Estivales, après une édition supprimée l'an passé, pour cause de Covid. Mais à quelques jours du prochain Comité de Concertation, qui doit annoncer des assouplissements, cette liberté avait un prix : un public réduit à 400 personnes (il y a deux ans, on comptait jusque 1500 personnes!), ainsi que le fameux covid safe ticket ou le test PCR pratiqué par des pharmaciens à l'entrée.

    « Difficile d'imaginer que les spectateurs, animés par des groupes dynamiques, puissent rester assis, et de surcroit avec un masque sur la bouche » notent Oscan Nizam, échevin de la Culture, et Hugues Bayet, le bourgmestre de Farciennes (très remarqué pour le petit chien porté dans ses bras). Le contrôle était strict. Dans l'ensemble, tout s 'est bien passé. Mais comme Yvette et Giuseppe de Farciennes, des personnes pas ou mal informées , ont dû retourner chez elles pour aller chercher le précieux sésame !

    dans le public, les parents et le frère de Jeff

    Le Centre Culturel de Farciennes et le Rockerill avaient composé une belle affiche. Pleins feux sur de jeunes talents de la région comme les chanteurs Kamil Perez, Rachid Oubihi, Benjamin Colson, Rmk et l'humoriste Benoît Vanderberke. Le groupe carolo Spaguetta Orghasmmond, avec le chanteur Michaël Sacchi, directeur du Rockerill, a bien chauffé le public, notamment avec leur tube « L'amour à Charleroi ».

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    Spaguetta Orghasmmond 

    Et puis place aux Gangsters d'Amour, groupe carolo reformé 28 ans d'arrêt. Certes, le chanteur/leader Philippe Résimont n'a pas fait oublier le regretté Jeff Bodart, mais il s'est donné à fond (parfois jusqu'à être un peu essoufflé!) avec ses autres musiciens.

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    Des titres comme « S.O.S Barracuda », « Meurtre à Hawaï », « Hey Baron Rouge » ou encore « Coûte que Coûte » ont été repris en choeur. Belle prestation également de cuivres dans un morceau en solo. Damien, journaliste, frère de Jeff Bodart, ainsi que Louis et Jacqueline, les parents, avaient fait le déplacement. « Notre gamin nous a fait souffrir (rires) ! Nous l'avons suivi dans des lieux même improbables » déclaraient ces derniers. Commencée vendredi soir, cette huitième édition s'est clôturée dimanche. Parmi les autres activités, notons une Rétro Gaming Party (événement intergénérationnel), des numéros de cirque avec Circomédie ou encore la Cavalcade.

    JEAN-CLAUDE HERIN

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    Le public bien présent sans masque