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Ca bouge à Charleroi et dans l'entité ! - Page 570

  • CLOTURE DE LA BIENNALE DE DANSE

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    When Birds Refused to Fly

    La Biennale de Danse 2019 se clôturait, samedi, au PBA avec « Requiem pour L. » au PBA et aux Ecuries avec « When Birds Refused to Fly ».

    A l’issue de ce dernier spectacle, - une exclusivité pour la Belgique !-,  une rencontre était organisée avec Annie Bozzini, directrice de Charleroi danse, et Olivier Tarpaga, chorégraphe burkinabé qui fait le rapprochement entre les indépendances africaines en 60/70 et l’expérience des Afro-Américains. La soirée se terminait de façon festive (danses, musique, dégustations,…) au bar.  J.C.HERIN

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    Une bonne ambiance au bar !

  • LIVRE- Baudouin De Rycke: "Le petit prince au pays de l'homme-machine"

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    Le Petit Prince au pays de l’homme-machine » est signé Baudouin De Rycke. Dans son troisième ouvrage, cet ex-enseignant de Montigny-le-Tilleul continue à s’interroger sur la pédagogie.

    Si Baudouin De Rycke est aujourd’hui à la retraite, il n’en continue pas moins pour autant à faire de la pédagogie son « cheval de bataille ». Déjà dans ses deux précédents ouvrages : « De mémoire d’âne » et « Réussir à l’école par la connaissance de soi », ce professeur, qui a donné cours de français et de latin au Collège du Sacré-Cœur de Charleroi, tentait de cerner au plus près les sentiments que pouvaient éprouver les élèves en difficulté, tout en formulant les questions cruciales qui relèvent de la pratique difficile du métier d’enseignant. Revisitant ses propres expériences de vie à la lumière de la philosophie pure et profonde de Saint-Exupéry, Baudouin De Rycke a publié un troisième opus : « Le Petit Prince au pays de l’homme-machine », dans lequel il invite le lecteur à réfléchir à l’influence que peuvent avoir nos choix, nos attitudes et nos méthodes sur la formation du caractère des enfants, sur leur développement intellectuel, et sur leur perception de la vie et du monde.

    une société matérialiste

    « Le livre est un essai par lequel, chapitre après chapitre, je me suis appuyé   sur des extraits du Petit Prince » poursuit l’ex-enseignant.

    « La guerre des moutons et des fleurs », décrite par Antoine de Saint-Exupéry, est plus actuelle que jamais. Elle oppose la fraîcheur de l’enfance à la voracité des hommes. Le manque de finesse éducative tue prématurément les capacités d’émerveillement d’un grand nombre d’enfants.  Un psychanalyste a écrit que le Petit Prince était l’image psychique de ce qui, en nous, a été tué avant de vivre».

    Baudouin Derycke revient sur la symbolique de la rose, semblable à toutes les roses, mais unique aux yeux du Petit Prince, parce qu’il l’a choisie et qu’il la trouve très belle. «  Aujourd’hui, si vous dites : « J’ai vu une belle maison en briques roses, avec des géraniums aux fenêtres et des colombes sur le toit », la plupart des gens ne s’imagineront pas cette maison. Il faut leur dire: «J’ai vu une maison de cent mille francs.» Alors ces personnes s’écrieront: «Comme c’est joli ! ». Nous vivons vraiment dans une société vraiment matérialiste, où règne le phénomène de « l’homme-machine », réduit à la productivité ».

    Le livre, très chapitré, comprend également une partie consacrée à des propos et citations d’hier et d’aujourd’hui. « Cette annexe permet de mettre en perspective, avec d’autres auteurs, les sujets centraux du livre : l’éducation, bien sûr, mais aussi l’urgence d’une ré-humanisation de notre société » fait remarquer Baudouin De Rycke. « Le Petit Prince au pays de l’homme-machine », 284 p., 20 €, chez EdiLivre. client@edilivre. com  JEAN-CLAUDE HERIN

  • CHARLEROI- La peine de mort au CAL jusqu'au 6 décembre

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    La peine de mort est abordée, jusqu’au 6 décembre, au Centre d’Action Laïque de Charleroi. Cette thématique s’articule autour de deux expositions qui se répondent et se complètent. La première : « Fenêtres sur le couloir de la mort » met l’accent sur les Américains attendant leur exécution capitale, aux USA. Ce projet est né aux Etats-Unis à l’initiative de Patrick Chappatte, dessinateur de presse, et d’Anne-Frédérique Widmann, journaliste.

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    «  Cette expo permet de rassembler, parfois avec une touche d’humour, différents points de vue, dont celui des prisonniers. Parmi ces derniers, on constate une majorité d’Afro-Américains, ce qui pose aussi le problème de la discrimination » signalent Mélanie Carboni, chargée de communication et Pauline Stavaux, coordinatrice des animations au CAL. En 13 panneaux, la seconde expo « Pourquoi il faut abolir la peine de mort » dresse un état des lieux de la peine capitale dans le monde et vise à donner les arguments nécessaires au combat d’abolitionniste et permet ainsi de comprendre pourquoi Amnesty International se mobilise pour l’abolition universelle. Diverses animations sont aussi prévues. A voir à la rue de France 31 à Charleroi, du lundi au vendredi de 9h à 17h. Tél. 071/ 53 91 72 J.C.HERIN

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    Une expo qui fait réfléchir