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Ca bouge à Charleroi et dans l'entité ! - Page 531

  • EDEN- Super concert de Dou Doillon !

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    Lou Doillon et ses musiciens

    Lou Doillon et ses musiciens ont mis une ambiance du tonnerre, vendredi soir, à l’Eden. 450 personnes y étaient rassemblées pour son concert. «  J’veux qu’on danse, qu’on chante,… et qu’on s’roule des pelles » a déclaré l’artiste, peu après être entrée en scène. Sept ans après son premier album, la chanteuse et auteure, fille de Jacques Doillon et Jane Birkin, est désormais installée dans le paysage musical, qui l'avait un peu vite cataloguée folk. Avec «Soliloquy» ( « L’album dont je suis le plus fière» a-t-elle dit au public), la trentenaire a choisi une formation plus rock, qui la force à pousser une voix rauque et chaude, dont les aléas l'«amusent beaucoup». JCH

  • PETIT THEATRE DE LA RUELLE: " Rapt" : Cas de conscience face à un enlèvement...

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    Ecrit dans le cadre d’une résidence d’auteur, le spectacle : « Rapt » d’Ahmed Madani, un jeune écrivain français, pourrait alimenter les journaux dans la rubrique des faits divers : un couple de chômeurs séquestre le gagnant d’un jeu de loterie, le bâillonne, le rationne,… exigeant qu’il renseigne l’endroit où il a caché le magot.

    Nouveau venu dans le Petit Théâtre de la Ruelle, Jean-Claude Lauwereys, comédien bien connu de la troupe wallonne des Disciples de Chénier, est bouleversant dans la peau du « kidnappé ».                         

    Face à lui, Henri et Simone. Le premier, joué par Salvatore Vullo, est impulsif et autoritaire. Mais derrière cette « carapace », l’homme n’est pas si mauvais que ça, tout compte fait… La seconde, campée par Sarah Anciaux, est naïve et sensible. Mais que faire quand la personne enlevée oppose une résistance assez inattendue ? C’est là tout le nœud du problème ! Après la pression psychologique, nos deux acolytes, touchés par la précarité et la peur du lendemain, auront-ils recours à la violence physique ? Seront-ils prêts à commettre l’irréparable, pour passer de la survie à une vie plus ou moins convenable ? Y a-t-il un point de non-retour?

    « Cela pourrait être un mauvais téléfilm américain. Mais quand la faim, la misère et la peur sont là, le « drame » n’est pas loin et, tout le monde, dans des situations extrêmes, est contraint de révéler ses vérités profondes » note Victor Scheffer, metteur en scène.

    Heureusement, quelques moments d’humour allègent un peu le tout, évitant de tomber dans le mélodrame. Avec une véritable surprise à la fin du spectacle (mais chut…!). Les représentations se donnent au Petit Théâtre de la Ruelle (rue des Platicheux - près de la place E. Gilles) par les Molières et Mocassins, Lodelinsart, jusqu’au 17 novembre, les vendredis et samedis à 20 h et les dimanches 16 h. Représentation supplémentaire le jeudi 14/11 à 20 h. Prix : 16 à 9 €. Réservations : 0474 388 032.  J.C.HERIN

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    La précarité poussera-t-elle ce couple à commettre l'irréparable ?