Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Ca bouge à Charleroi et dans l'entité ! - Page 526

  • ANCRE- ""Arlequin" une création à voir du 20 au 29 novembre 19

    arlequin.jpg

    « Arlequin » : toujours vivant aujourd’hui...

    Avec « Arlequin », sa nouvelle création, Frédéric Ghesquière renoue avec le théâtre populaire ancestral. Mais le personnage est proche de notre époque !

    Vêtu d'un habit rapiécé fait de losanges de tissus de diverses couleurs et porteur d'un masque noir et d'une toque, Arlequin est un personnage incontournable de la commedia dell'arte, rapidement adopté à partir du 17ème siècle par la plupart des théâtres d'Europe.

    Passionné par le jeu masqué, qui fait la part belle à l’improvisation, Frédéric Ghesquière, souhaite revenir aux sources même du personnage italien, Arlecchino, un mélange comique de bêtise naïve et de goinfrerie, à l’accent épais. « J’avais envie de montrer, somme toute, que la parole d’Arlequin résonne encore dans notre société occidentale, marquée par les inégalités sociales. Son propos piquant se répand à travers de vastes farces. Notre comportement et nos petites manies sont passés au rouleau compresseur ! » souligne le comédien, metteur en scène et pédagogue à l’ESACT de Liège.

    En remettant au goût du jour un théâtre populaire ancestral, Frédéric Ghesquière nous convie à une fête où se mêlent la truculence et la poésie, mais aussi une certaine férocité. Aujourd’hui, L’Ancre offre au comédien une occasion unique : un espace pour improviser, jouer et chercher avec le public. Plus question de fuir !

    Devant nous, il faudra qu’il se lance, et qu’il parte sur les traces de cet insaisissable Arlequin… Un spectacle qui revisite avec virtuosité l’histoire du théâtre et des Hommes. « Arlequin », une création à voir à l’Ancre, par la Compagnie du Singe Nu, du 20 au 29 novembre à 20h30, 122, rue de Montigny à Charleroi. Me/Je à 19h. Prix plein : 14 €. Réduit : 11 €. Abonnement : 9 €. Infos er réservations : 071/314 079. info@ancre.be- www.ancre.be  J.C.HERIN

  • COMEDIE CENTTRALE: "Un Week-end tranquille" !

    week-end2.JPG

    Jocelyne Joachim fait ses premiers pas au Comédie Centrale dans le vaudeville : « Un week-end tranquille » d’Alil Vardar, à voir jusqu’au 1er décembre. La maman de notre échevine des Fêtes, Babette Jandrain, y joue les femmes cougars !

    Très apprécié en Belgique et en France, Alil Vardar est principalement connu pour avoir écrit et interprété la pièce à succès « Le Clan des divorcées » (depuis quatorze années à Paris !), qui sera rejouée à Charleroi du 16 au 19 janvier 2020.

    En 1995, l’auteur et acteur belge reprenait à Bruxelles le Comiqu’Art, dont le concept donnera, quelques années plus tard,le Comédie Centrale. C’est dans cette salle, dirigée par Eric Marquis, que se joue actuellement un autre succès d’Alil: « Un week-end tranquille ».                            

    weekend3.JPG

    On y parle de relations, d’infidélité, mais surtout d’amour. Le pitch ? Jules, 45 ans (joué par Stefan Cuvelier), est marié à Caroline (Audrey Rose), 26 ans. Ensemble, ils filent le parfait amour. Sauf que Jules a une maîtresse… Elle s’appelle Geneviève et elle a 57 ans ! Alors que Jules l’invite pour un week-end romantique, Caroline fait irruption. Au milieu d’une scène cocasse, apparaît aussi Hugues Hausman, dans le rôle du portier portugais. Pas sûr que le week-end soit tranquille…

    Jocelyne joue aussi en wallon

    week-end5.JPG

    Jocelyne Joachim

    Geneviève, « la femme cougar », est incarnée par Jocelyne Joachim/Jandrain. Habitante de Villers-Poterie, cette dernière a été avocate au Barreau de Charleroi et magistrate à la Cour d’Appel de Mons. Actrice au Théâtre du Méridien et au Théâtre de l’Ancre, puis comédienne depuis 20 ans au Cercle Wallon de Couillet, et épouse de Pierre, qui en est le directeur, Jocelyne est la maman de la comédienne Catherine (qui jouera dans « La Belle Imprévue » du 1er au 7 décembre au Comédie Centrale), de Fanny, animatrice à la RTBF ( « On n’est pas des pigeons ») et de Babette, notre échevine du Commerce, des Fêtes et du Folklore. « C’est la première fois que je joue au Comédie Centrale. J’ai beaucoup aimé mon personnage et son côté truculent, qui me rappelle d’autres que j’ai joués dans des pièces wallonnes » note Jocelyne Joachim. « Un Week-end tranquille » est à voir jusqu’au 1er décembre au Comédie Centrale, 33, rue du Grand Central à Charleroi. PAD : 25 à 12,5 €. Infos et réservations : 071/30 50 30- comediecentrale.com. J.C.HERIN

  • COUILLET: "L'Affaire MendeleÏev"

    mendeleiev1.JPG

    mendeleiev.JPG

    Mendeleïev ( ou plutôt le comédien )

    De nombreuses animations avaient lieu au Centre de Culture Scientifique, dimanche, à l’occasion de la Journée du Patrimoine Académique Européen.  Le Réseau des Musées de l’ULB se réunissait autour du tableau des éléments de Mendeleïev.

    Bon nombre d’étudiants ont sué de grosses gouttes en décryptant le tableau de MendeleÏev ! Alors, pour apprendre la chimie en s’amusant,  les Musées de l’ULB invitaient petits et grands à participer, dimanche, au Centre de Culture scientifique, à des jeux interactifs autour des éléments du tableau de Mendeleïev.

    « À quoi servent des éléments comme l’oxygène, le cuivre,le silicium,… Et où les trouve-t-on ? sont des questions souvent posées » soulignait Stefania Rioli, directrice du Centre.

    Le scientifique Dmitri Ivanovitch Mendeleïev, en personne (ou plutôt le comédien Alain Stevens) était là ! Un tableau géant de Mendeleïev était exposé, et pour le rendre plus attractif, Sophie De Keyser, artiste, avait peint les petites cases de différentes façons : à la bombe, au pochoir, au feutre, à l’acrylique,…

    Mendeleïev a perdu des éléments…

    En plus de permettre aux plus jeunes d’en apprendre davantage sur cette thématique et dans un souci de sensibilisation écologique, les Musées attiraient l’attention sur les éléments qui se raréfient, comme le zinc ou l’argent.

    Cette journée, intitulée : « L’Affaire Mendeleïev », était animée par d’autres ateliers ludiques, un conteur et bien d’autres surprises. Quelques objets issus des collections de l’Université venaient enrichir cette journée. Sans oublier la « Chasse au trésor », au cours de laquelle le public pouvait aider le chimiste russe à retrouver ses éléments perdus pour recomposer son tableau !                    

    Le grand public et les familles pouvaient aussi aller à la rencontre du Réseau afin d’apprendre en s’amusant et, qui sait, pour les plus jeunes, de devenir des scientifiques en herbe… J.C.HERIN 

    mendeleiev2.JPG

    Activités ludiques pour la chimie