CHARLEROI- Un nouveau guide touristique: "Tentez l'inattendu" !

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Le Président, Philippe Van Cauwenberghe : « Je tenais particulièrement à soutenir ces petites structures ou associations qui ne reçoivent pas habituellement de subside de la Ville ou du CPAS et que j’ai pu rencontrer lors des Etats généraux de l’Action Sociale et sur le terrain. La crise sanitaire que nous vivons me conforte un peu plus chaque jour de l’importance de ces associations dans l’aide aux personnes les plus précarisées. Pour moi, le CPAS doit être solidaire de ces personnes qui réalisent un travail intense au plus proche des personnes fragilisées. C’est pourquoi j’ai souhaité que l’on lance très vite en 2021 cet appel à Micro-projets ».
Chaque micro-projet peut prétendre à un soutien allant jusque 4000 euros. Pour 2021, la thématique porte sur l’aide matérielle aux personnes les plus précarisées. Les actions particulièrement visées doivent s’adresser aux personnes très fragilisées qui ont besoin d’un maximum d’attention : par exemple, les jeunes en difficulté, les personnes âgées isolées ou encore, les personnes vivant à la rue.
Les candidatures doivent être rentrées pour le 9 mars 2021 au plus tard.
Voir les modalités de l'appel à projets (.doc).
Pour rappel, le CPAS de Charleroi soutient depuis longtemps les milieux associatifs et participatifs. Ainsi il octroie depuis plus de 10 ans, des budgets à des projets participatifs.
En outre, nous développons une cellule partenariale qui dispose d’un budget d’environ 280.000 € pour des subventions récurrentes à des organismes sociaux tels que la Mirec (Mission régionale pour l’insertion et l’emploi à Charleroi) ou le 26 (Maison d’accueil et d’hébergement pour femmes vivant des violences conjugales) et pour des subventions d’impulsion à des organismes qui font rimer culture et social comme l’Eden et le BPS22.

La seconde tournée de la Wallomobile, un joyeux convoi de chanteurs wallons, passait, entre autre, par la nouvelle caserne des pompiers. Un corps de métier particulièrement éprouvé depuis le début de la pandémie.
La Wallomobile entendait honorer, cette fois, les corps de métier particulièrement exposés durant la crise sanitaire, comme le personnel de TIBI, le personnel soignant de l’hôpital Marie Curie ou encore les pompiers. C’est d’ailleurs devant la nouvelle caserne que le convoi a effectué un arrêt. Grand moment quand la troupe a chanté « Allumer le feu » de Johnny !...Dommage que les pompiers, un peu surpris par l’événement, étaient plus coincés que nos élus locaux Babette Jandrain et Philippe Van Cauwenberghe, qui effectuaient une joyeuse farandole.

Babette et Philippe en très grande forme !
«Durant les deux pics de la pandémie, nos missions s’étendaient aussi bien au-delà de la zone de Charleroi. 3 de nos ambulances n’ont fait que du Covid confirmé. Nos hommes ont dû s’équiper d’un scaphandrier et travailler dans des conditions particulièrement délicates » explique Michel Méan, porte-parole et également chanteur dans la troupe. « C’était vraiment important de leur tirer un grand coup de chapeau ! »


en vue du brûlage des idées noires
A bord de la Wallomobile, les Braillards, « les Jweyeùs Couyonneux », colorés et plein d’entrain, et leurs opposés : les Brayauds tout en noir (en français: les pleurnicheurs, les oiseaux de mauvaise augure), mettaient une ambiance d’enfer. Et en plein milieu de la bande d’El Bwèsse a téyate: « Le Grand Maustitchi »( Victor Gravy), ordonnateur de la cérémonie.

La joyeuse bande d'El Bwèsse à téyàte
Après avoir égayé les pensionnaires des maisons de repos de la région durant les fêtes d’année, la bande de zozos effectuait une nouvelle tournée à Charleroi et son agglomération, samedi, dans le cadre des activités carnavalesques et de la récolte d’idées noires, mises sur pied par l’Eden.
« Un père de famille, avec ses 2 petites filles, est passé par hasard devant le Centre culturel et a suivi le convoi jusqu’au château de Monceau parce que ses filles étaient fascinées ! » raconte Fabrice Laurent, directeur de l’Eden. Pour rappel, les mauvais souvenirs et pensées seront brûlés à Charleroi, en fin de Carnaval, avec le Corbeau, pour qu’ils disparaissent à tout jamais avec l’arrivée du printemps.
JEAN-CLAUDE HERIN