A visage couvert ou découvert, les masques sont là pour mettre en scène l’ambiguïté et nous permettre de fuir » …


Fany d’Hauwe est une toute jeune artiste ... originaire de Mons.


Passionnée de photographie « mises en scènes », elle obtient en 2010 son baccalauréat à l’HELB-INRACI de Bruxelles en techniques de l’image et de la photographie.

Ses différents stages d’insertion l’ont amenée au sein de l’hebdomadaire la Tribune de Bruxelles, à travailler en tant que photographe reporter.

Son travail photographique a également été présenté dans le cadre des expositions Tour&Taxis.

Sa démarche est pertinente, elle cherche à transparaître l’étrange, l’intrigant voire le glauque, c’est que l’artiste s’intéresse aux lieux abandonnés et leurs histoires, des endroits où la nature a repris ses droits sur les constructions de l’homme, des coins insolites où règnent dorénavant une atmosphère de chaos. Chaque image se veut témoin d’un passage.

Le masque omniprésent dans son travail interpelle, elle l’a voulu comme un écho au sentiment d’inquiétante étrangeté… Un concept lié à l’effroi, la peur et l’angoisse.

Place à l’imaginaire et à l’insolite !


A la Maison du Hainaut, Quai de Brabant à Charleroi, jusqu'au 30.11.2012

Accès gratuit.

Infos: dgas.hainaut.be // sophie.vincent@hainaut.be //071.64.10.61

Sous la Présidence du Député Provincial Yves LARDINOIS, en charge des Affaires Sociales de Charleroi

Après un cataclysme, deux hommes, un intellectuel sans cœur et un naïf, sont cloîtrés dans un abris de fortune. Ils n'ont pour passer le temps que le vélo, les cartes, la lecture, des boîtes de conserve et… leurs conversations.Sur le vieux thème de l'Auguste et du clown blanc, Victor Lanoux tisse une fable moderne irrésistible de drôlerie où les travers humains déclenchent des cascades de rire.

Depuis qu'il a quitté la place Charles II, pour s’installer place Saint-Fiacre, le marché de Noël de Charleroi a connu la décrépitude: des exposants ont fui faute de remplir les caisses, et l’organisateur des années précédentes a jeté l’éponge. Les riverains se plaignaient d’un marché de Noël qui ressemblait davantage à un village provençal. Cette année, il sera entièrement remanié: "Le principe est de réduire le nombre de chalets, au nombre de 12 cette année, d’entourer ces chalets d’une centaine de sapins, on espère en avoir 150 pour avoir une vraie impression de forêt, une table brasero au milieu, des tables mange-debout, des champignons chauffants, des produits de bouche. Je pense que ça avait besoin d’un petit rafraîchissement, donc on a décidé de faire quelque chose de plus petit et de faire un projet d’ambiance. Il y aura de la neige sur les chalets et sur le sapin", explique Sophie Collin, directrice de l'asbl Charleroi Centre-Ville, qui coordonne le Marché de Noel carolo, au micro de Gaetan Sgualdino.

 "Fini les petits artisans"

On y servira huîtres, tapas et saumon fumé dans un bar à champagne, mais aussi vin chaud, tartiflette, gaufres et crêpes. "On veut surtout donner la possibilité au chaland d’acheter leur cadeau chez les commerçants du centre-ville de Charleroi. Donc, fini les petits artisans, et tout ce qui n’est pas produits de bouche, cela permet aux gens d’aller chez les commerçants locaux", explique encore la directrice de l'asbl.