Qui se cache derrière le nom des rues ?

Jules Audent

De gauche à droite Maylis, Victorine et Sabrina.

Victorine, première " Miss Télévie" !

Désormais, l'opération Télévie a un visage féminin. Celui de " Miss Télévie"! La soirée avait débuté samedi, à 17h30, à la Ruche Verrière par l'apéro, et s'est terminée vers 01h15 ( eh oui, il fallait être patient !) par la proclamation des résultats, devant une salle comble ( plus de 300 personnes ) et surchauffée. Le prix de Miss Télévie revient à Victorine Molo de Mons. Elle gagne une parure de bijoux, les vêtements portés lors du défilé, ainsi qu'un voyage en avion. Dans les catégories "Miss Télévie Junior" et Miss "Madame" Télévie, ce sont respectivement Maylis Maenhout ( 13 ans) de Morlanwelz et Sabrina Battaglia ( 27 ans ) de Marchienne-au-Pont qui l'emportent haut la main. 23 filles, issues principalement de l'agence Talents, dirigée par André Van Malder, participaient à ce concours.

Les garçons n'étaient pas en reste : ils n'obtenaient pas de prix, mais accompagnaient ces dames! Les candidates défilaient à trois reprises: en robe de soirée, en tenue de ville, et en maillot de bain. Le jury examinait chaque passage. Président, Pascal Vrébos tenait son rôle très au sérieux: " Ce n'est pas toujours un exercice facile pour toutes ces filles. Elles doivent se concentrer, car le public n'est pas toujours très discipliné! ( rires) " confiait le journaliste de RTL/TVI. " Le choix s'annonce déjà très difficile, tant leurs prestations sont bonnes. " Ce premier week-end des Accros du Télévie était mis sur pied par Roger Rousseaux, entouré de nombreux bénévoles. JCH

Pascal Vrebos, un président de jury attentif

Les amis et organisateurs, tous bénévoles

Neuvième tableau de René Magritte à rejoindre les oeuvres conservées par le Musée des Beaux-Arts de Charleroi, l’Empire de la réflexion - déposé par le Domaine régional Solvay (Château de la Hulpe) - vient avantageusement agrémenter un ensemble qui retrace le parcours (presque) complet de l’artiste.

«Aucun des huit tableaux déjà répertoriés au Musée ne relevait, jusque-là, de cette période des années 30. Avec l’Empire de la Réflexion (1938), nous disposons dorénavant d’un panel d’œuvres allant de 1919 et du tout début des années 20, quand Magritte travaille notamment dans la dynamique de l'abstraction géométrique, à la fin des années 50 », souligne la Conservatrice Coraly Aliboni. « C’est donc la démarche du peintre, dans une certaine globalité, qui sera tout prochainement proposée au public ».

Par ailleurs, La fée ignorante (1957), dont le Musée possède l'œuvre préparatoire, couvre les murs de la salle des Congrès du Palais des Beaux-Arts qui accueille le Musée depuis 2007.

Rappelons encore que, s’il ne subsiste de l'époque carolorégienne  de l'artiste que quelques huiles appliquées, Magritte a vécu toute son adolescence entre Gilly, Châtelet et Charleroi. Une période qui a sans conteste marqué la sensibilité de l'homme et l'imaginaire de l’artiste frappé dans sa jeunesse par le suicide de sa mère à Châtelet.

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