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  • CHARLEROI- Palais des Beaux-Arts. Ce mardi 17 décembre: " Un chalet à Gstaad"

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    Quelques années après avoir enfilé les chaussures de ski de Nathalie Morin dans Les Bronzés font du ski, Josiane Balasko reprend le chemin de la montagne avec sa nouvelle pièce hilarante Un chalet à Gstaad !

    Françoise (Josiane Balasko) et Jean-Jacques Lombard, très riches exilés fiscaux dont la fortune repose sur les inventions du mari, s’apprêtent à recevoir un couple d’amis, Alicia et Grégoire Lagarde. Lui est un industriel fils à papa, Alicia est une aristocrate richissime et bête à manger du foin. Tout pourrait bien se passer, on est entre gens du monde (même si ce n’est pas forcément le même) si Alicia ne s’était entichée d’un coach spirituel, gourou sur les bords, qui les accompagne au dîner. Et forcément, le vernis va finir par craquer, surtout lorsque le gourou va leur annoncer le pire : leur fortune est menacée… et leur « pognon de dingue » pourrait bien partir en fumée.

    Billetterie Palais des Beaux-Arts de Charleroi - mardi 17 décembre à 20 h. 

    Catégorie 1 : 69€
    Catégorie 2 : 65€ 
    Catégorie 3 : 59€
    Catégorie 4 : 49€ 
    PMR  (places pour fauteuil roulant) : 49€ 

  • CHARLEROI- Visite insolite dans les couloirs secrets de Rive Gauche

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    Dans le quai de chargement- photo: J.C. Hérin  

    Par de jolies histoires et des anecdotes, Jacky Druaux et Pascale Baeyens de la Maison du Conte de Charleroi ont fait découvrir au public « l'envers du décor » de Rive Gauche.

    JEAN-CLAUDE HERIN

    Tout ce week-end, la Maison du Conte de Charleroi proposait des visites insolites du Complexe Commercial Rive Gauche, à travers des balades contées: « Dans les couloirs de Rive Gauche ». Agrémenté de musique, de petits jeux et d'énigmes, le circuit commençait par le desk au rez-de-chaussée, puis se poursuivait dans les couloirs, vers les quais de chargement, vers l'impressionnante salle des machines équipée de tout un système de renouvellement d'air, et vers la salle des vélos, où un grand mur blanc sera bientôt peint par des artistes.

    A plusieurs reprises, le public prenait des ascenseurs spacieux pour se déplacer d'une pièce à une autre. La visite du jardin végétalisé avec des plantes mellifères sur le toit, qui offre un panorama intéressant sur les bâtiments aux alentours, était un temps fort. Quatre ruches y sont installées. Chaque année, 80 pots de miel sont offerts aux clients ! « Ces visites constituaient un peu "l'anti" Black Friday. C'est à dire que, loin de l'affluence de cette opération commerciale, les visiteurs ont pu pénétrer silencieusement dans des lieux inaccessibles au public. Une façon aussi de se rendre compte de l'immense infrastructure et de toute la logistique, en dehors de la partie "visible" des surfaces commerciales » soulignait Anne-Sophie Gérard, coordinatrice des animations du centre. 

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    Une visite surprenante. 

  • LIVRE- Dominique Watrin revient avec sa voisine Fernande !

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    Fernande, l'encombrante voisine du chroniqueur carolo Dominique Watrin, révèle sa face cachée dans un troisième ouvrage.

    JEAN-CLAUDE HERIN 

    Elle est assez casse-pieds, mêle-tout, parfois même agaçante,... mais terriblement attachante ! Elle porte toujours un tablier, se déplace en petites pantoufles, ne s'intéresse qu'à son petit monde, fait ses courses ainsi que le « grand nettoyage » le samedi ... Voilà comment Dominique Watrin décrit Fernande, une voisine (réelle!) qu'il promène de chronique en chronique dans l'émission radiophonique : « Les enfants de choeur » (VivaCité). 

    « Cette Fernande a tout d'une Wallonne bien typée. Les Carolos s'y retrouveront facilement" souligne le journaliste et sociologue de formation. Dans le troisième opus de ses folles aventures, le lecteur découvrira Fernande aux prises avec la vie quotidienne et ses déboires : « Fernande et ma nouvelle poubelle », « L'épilation de Fernande», « La lunette de toilettes de Fernande", « Fernande et la panne d'ordinateur », « Le boudin de porte de Fernande »,... ainsi que dans des registres plus surprenants : « Fernande fait de la pole dance », « Fernande, majorette », « Fernande fait du curling »,...

    Plus de 50 récits haletants qui l'emmènent du restaurant chinois aux funérailles de Peluche, l'ami de son chien Snoopy, en passant par la séance de tapis de course, la sortie en tandem et l'essai de ses nouvelles toilettes suspendues... "Chaque chapitre du livre conte une mésaventure burlesque où je confronte Fernande, la plupart du temps, dans un face-à-face avec moi-même" reconnaît-il. Par petites touches, l’auteur construit le portrait d’une personnalité attachante pour décrire, au final, une Belgique où il fait bon vivre, une certaine Belgique "d’en bas", pleine de fantaisie et de tendresse. "Et la popularité jamais démentie de Fernande n’est que le résultat logique de cette truculente saga" reconnait-il. 186 pages. "La vie louche de ma voisine Fernande" aux Editions Lamiroy. Prix: 20 euros. www.lamiroy.be