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Coup de coeur - Page 200

  • VERNISSAGE MUSEE DU VERRE: 25 OEUVRES DE DONATIONS

    En 2018, le Musée du Verre a bénéficié d’une importante donation : 69 sculptures représentant le mouvement Studio Glass des années 80 - début des années 90, et constituant la collection personnelle de la galeriste Christine Ermel, décédée en 2013. Un apport inestimable dans l’enrichissement des collections d’art contemporain du Musée du Verre.

    Pour lui rendre hommage et remercier les donateurs, une sélection de 25 œuvres de la donation seront exposées dans l’espace contemporain du Musée du Verre. Parmi lesquels Stanislas Libenský et Jaroslava Brychtová, Tessa Clegg, Antoine et Etienne Leperlier, Askold Zacko, Zoltán Bohus, Gizela Sabokova, Václav Cigler, Isabelle Monod, Colin Reid, Jaromír Rybák, …. Et ce en résonance avec d’autres sculptures des collections du musée.

    C’est dans ce cadre, que nous vous invitons au vernissage de ce focus qui aura lieu le samedi 27 avril à 15h au Musée du Verre, 80, rue du Cazier, 6001 Marcinelle 

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  • LIVRE- "Mémoires enroulées" de Geneviève Mairesse

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    Geneviève Mairesse à son bureau

    Auteure de Marcinelle, Geneviève Mairesse signe son premier roman, inspiré de faits réels: «Les Mémoires enroulées». Une écriture en double point de vue entre une jeune femme Suzanne, arrêtée par les Allemand en 1943, et une narratrice, cinquante ans plus tard.

    En plus de sa fonction de conseillère pédagogique et de sa formation en écriture journalistique à l’UCL, Geneviève Mairesse a toujours été intéressée par l’Histoire, surtout quand celle-ci établit des liens entre le passé et le présent, en rapport avec le vécu des gens. Cette sensibilité a certainement incité cette Marcinelloise à écrire un roman (genre qui lui permet d’être dans  la subjectivité) au départ d’un récit de vie : celui de Suzanne, arrêtée, le 11 avril 1943, par la Gestapo au Salon de thé Métropole à Bruxelles, incarcérée à la Prison de Saint-Gilles et à la prison de Forest, puis déportée en Allemagne. Motifs de l’arrestation : propos et messages anti-allemands.

    Tout un travail a été réalisé sur les voix narratives, différenciées par des polices de caractères spécifiques. Dans les «Mémoires enroulées», Geneviève Mairesse met en parallèle le parcours douloureux de Suzanne et celui d’une narratrice qui se met à la recherche de sa grand-tante. Entre ces deux personnages, une petite fille (proche de l’expérience de vie de l’auteure) observe, réfléchit, essaie de comprendre…

    « D’une certaine façon, ces deux temporalités à 50 ans d’écart se rejoignent par des sensations et des émotions communes » souligne Geneviève Mairesse.

    beaucoup de recherches

    Durant 5 à 6 ans, Geneviève Mairesse s’est beaucoup documentée pour écrire son roman. Ses parents lui ont rapporté des récits d’exode. Elle a visité les prisons de Saint-Gilles et d’Allemagne où a été incarcérée Suzanne, et elle a consulté les archives du CEGES, le Centre d’Etudes et de Documentation Guerre et Sociétés contemporaines. «On s’aperçoit que les jugements, pour la plupart arbitraires, et les exécutions étaient bien planifiés du côté allemand » poursuit Geneviève Mairesse.

    «Les archives du régime nazi ont été récupérés par les Alliés après 1945, mais, comme le précise Chantal Kesteloot, responsable du secteur Histoire publique au Cegesoma, dans le Vif/L’Express : ce n’est qu’à partir des années 70 que les historiens vont véritablement s’intéresser à la Seconde guerre mondiale ».

    L’action du roman se situe principalement à Bruxelles, mais le lieu de démarrage est local, puisqu’il est fait mention du «Rayon de soleil » (ancien hôpital) à Montigny-le-Tilleul.

    Chaque chapitre fait référence à un film.

    A présent, Geneviève Mairesse, qui fréquente les Ateliers Escargot de Fidéline Dujeu, se lance dans un deuxième roman.  L’action se passe au 19ème siècle. Il y sera question de l’histoire d’une famille qui suit le parcours d’une ligne de chemin de fer depuis La Louvière jusqu’au Nord de la France. «Les Mémoires enroulées» aux Editions Weyrich- 15 €. 061/27 94 30- www.weyrich-edition.be JEAN-CLAUDE HERIN

  • TRAZEGNIES- Grand Carnaval avec les Gilles, les "Bout-en-train", les Rosy Girls,...

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           Aymeric, Carine ( 20 ans de participation) et Georges ( 73 ans )

    Le parvis de l’hôtel de ville de Trazegnies, point de départ du traditionnel Carnaval, ainsi que les rues de la localité étaient en pleine effervescence, le dimanche de Pâques.

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    La société des Gilles de Trazegnies, les «Tan que vive», ainsi que leurs ladies, déguisées en princesses (félicitations à Silvana qui a confectionné 14 costumes), étaient, bien sûr, de la partie ! Parmi eux: Georges (73 ans), dont 70 ans de gille, ainsi que Aymeric et Carine qui comptent tous deux 20 ans de participation.

    Le cortège comprenait également la batterie des gilles, dirigée par Jean-Yves De Groote, les majorettes d’Anderlues «Les Rosy Girls» ( dernier groupe de majorettes du Hainaut), les Banda Ch’ti ( le groupe français a rencontré les «Tan que Vive », l’an passé au carnaval d’Auby), ainsi que les «Bout-en-Train» de Trazegnies.

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    Les Bout-en-train

    «Nous avons mis nos tabliers de guindaille» pointe Giusseppe Di Bono, jeune participant. «Le Carnaval est vraiment un bon moment que nous aimons vivre ensemble».

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    Le sympathique Giusseppe a mis son tablier de guindaille

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    Les Banda Ch'tis

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    Les Rosy Girls, dernières majorettes du Hainaut - photos: JC Hérin

    Caroline Taquin, bourgmestre de Courcelles, et Joël Hasselin, échevin des Fêtes, y étaient présents, aux côtés des ministres Denis Ducarme et de Marie-Christine Marghem , du député fédéral Olivier Chastel et de la députée régionale Virginie Gonzalez. J.C.HERIN

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    photo: Elunda Palumbo