Arthur ( à droite ) avec ses amis 

Le BaD Festival « version hiver » a ouvert ses portes vendredi. Plus de 2500 m2 sont dédiés à la Gastronomie, la Fête, l'Art et la Culture à Charleroi !

Babette Jandrain bien entourée ! 

S'il est bien un nouveau lieu insolite, en plein air de surcroît, pour se retrouver en famille ou entre amis, c'est bien le BaD Festival. Installé en plein coeur de friches industrielles, l'événement avait déjà remporté un beau succès en été. A l'approche des fêtes de fin d'année, il connaît à présent sa déclinaison hivernale : Le BaD Winter Season !

Dès la présentation du Covid Safe Ticket, les visiteurs, habillés chaudement pour l'occasion (bien qu'il ne faisait pas trop froid), pouvaient entrer dans ce Village et profiter de l'ambiance. Babette Jandrain n'était pas en reste. L'échevine carolo était entourée de Barbara, une amie de Calabre revenue en Belgique pour revivre l'événement ! Mathilde, une autre de ses amies, avait donné rendez-vous au Festival à toutes les personnes qu'elle n'avait pas pu inviter à son mariage, à cause des restrictions liées au Covid !

8 Stands de Street Food, un bar à cocktail, champagne, vin chaud et plus de 25 bières spéciales attendent le public. Parmi les spécialités gastronomiques, notons, dans le stand du carolo Warren Tamayo, le bao, petit pain à la farine de blé farci et cuit à la vapeur, amuse-gueule très populaire dans la cuisine thaïlandaise.

les délicieux baos ! 

« On a mis le paquet pour cette toute première saison d’hiver : stands Food gourmands et typiques de saison, nouvelle carte de boissons, Dj Set, animations surprises & ambiance « Merry Christmas » signale Nathan Lauriola, organisateur. La Foodcourt de Noël du BaD ouvre ses portes du vendredi au dimanche, de 16h jusqu’à 23h00 et jusqu’au 12 décembre inclus, sur le site du BaD Festival, rue Chausteur à Lodelinsart. Pour plus d'informations, consultez la page Facebook.

J.C.HERIN

Une vingtaine de jeunes photographes de l’ESA St-Luc Liège étaient en micro-résidence à Charleroi. Leurs travaux étaient exposés au Vecteur.

François Rowart 

Des jeunes qui s'adonnent au wheeling bike (action de rouler sur une roue arrière en vélo) sur la Place Verte ou encore une vieille station essence vers Gilly... Durant 5 jours, 20 étudiants, accueillis par le Vecteur, ont pris des photos de Charleroi et de ses alentours. « Nous avons appris, scruté, regardé, marché,... Rapidement, Charleroi, que nous ne connaissions pas toujours, s'est révélée à nous, toujours attachante et parfois de façon insolite » signalaient César Burton et François Rowart, étudiants à Saint-Luc. AU V3, espace exceptionnellement ouvert au Vecteur, le public pouvait apprécier les photos, cyanotypes, et même un fanzine, collaboration de pratiques et regards variés, du collectif d'étudiants. Les travaux seront de nouveau montrés le 26 novembre à la Galerie Juvénal à Huy (infos : 085/21 12 06).

Dans la salle de concert, le Vecteur recevait Danse Musique Rhône Alpes, ainsi que Pablo Fleury, alias Slamino. Ce guitariste et producteur manipule ses riffs de guitare pour créer les multiples textures de ses morceaux. Son processus de création peut notamment évoquer les expérimentations de Radiohead, The Avalanches ou Battles.

J.C.HERIN

Parce qu'ils avaient envie de faire rire le public, de le faire vibrer, de le faire chanter,... après 20 mois d'arrêt lié à la pandémie, le Cercle Wallon de Couillet et son président Pierre Jandrain invitaient le public gratuitement, au Centre Culturel, aux représentations en trois parties de la revue/cabaret « Djoute, pékèt et des rawètes », dans une mise en scène de Philippe Decraux, René Mairy et Pascal Héringer.

Tranches de la vie carolo (avec notamment des balayeurs un peu râleurs au Boulevard Tirou), scènes de ménages, Chant des Wallons,... figuraient au programme, le tout dans la bonne humeur.

Un besoin pressant ! 

Dans deux ans, le Cercle Wallon de Couillet soufflera ses 120 bougies.

J.C.HERIN