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  • HAM-SUR-HEURE Saint Roch: Les marcheurs ont défilé en "mode sanitaire"

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    Covid oblige, ce dimanche était le deuxième et déjà dernier jour de la Saint-Roch, ce qui laissait poindre une déception chez certains marcheurs et habitants d'Ham-sur-Heure. La pluie du matin a laissé place à un temps ensoleillé l'après-midi, puis de nouveau à la grisaille en début de soirée. 

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    La pluie toujours...

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    La pluie matinale est devenue presque une tradition à la Saint-Roch d'Ham-sur-Heure. Il y a 2 ans (rappelons que l'édition 2020 a été annulée), les marcheurs avaient dû subir des précipitations bien plus importantes encore ! Le public était déjà bien là en matinée.

    « Chaque année, nous assistons à la Trinité et à une quinzaine d'autres marches. Celle que l'on apprécie le plus ? La Saint-Roch à Ham-sur-Heure, parce que les marcheurs sont « droits », dirons-nous. Et puis, le cadre est magnifique ! » soulignent Christian (75 ans) et Mireille (69 ans) de Walcourt. « J'ai déjà marché à la Saint-Roch dès l'âge de 4 ans » poursuit Nicole (76 ans) d'Ham-sur-Heure. « J'ai deux fils qui marchent dans les Sapeurs, une petite-fille qui accompagne le tambour-major et puis une arrière-petite-fille dans la petite Marche ». « Quant à moi, c'est ma 46ème marche ! » signale Evelyne (62 ans) de Beignée. « On se taquine souvent entre Bentis (Beignée) et Bourquis ( Ham-sur-Heure), mais pour moi, ça n'a pas d'importance... Mon fils est Zouave et mon mari est Flanqueur de la Garde à Beignée ».

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                                           Nicole, Evelyne, Mireille et Christian.

    Trop de contraintes ?

    Si la 348ème édition a été maintenue, les conditions étaient assez strictes : des bulles de maximimum 200 marcheurs, qui partaient de demi-heure en demi-heure, sans jamais se croiser. Sur la place, les commentaires allaient bon train. « Mes amis marcheurs auraient voulu être soumis à moins de contraintes, d'autant plus que les membres de notre société sont vaccinés à 95%  et que les habitants de la localité ont reçu 2 doses de vaccin » signalait Guy Forêt, président des Zouaves, membre de l'ASBL Saint Roch, et porteur de Saint-Roch.

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    Guy Forêt, porteur de la statue de St Roch 

    « Nous sommes un peu les « disbautchis » de la Saint-Roch » poursuivait Michèle, une habitante de Beignée : «Pas de réception ni d'applaudissements des groupes au château. Et on nous a enlevé le lundi, qui était Le jour des Bourquis ! »

    Adrien Dolimont donne des précisions

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    à gauche, l'échevin du Folklore Adrien Dolimont 

    Interrogé sur les restrictions, l'échevin du Folklore Adrien Dolimont a tenu à être clair : « Les habitants semblent lésés, mais nous ne faisons que respecter le protocole sanitaire, en demandant encore le port du masque, notamment aux lieux de concentration. Des assouplissements sont prévus, mais seulement à partir du 1er septembre. Il faut déjà se réjouir que les marcheurs aient pu défiler en costumes et que l'HoReca et les métiers forains aient pu reprendre leurs activités !  Pour ma part, j'étais déjà content d'entendre les tambours ». Sur place, 700 marcheurs ont défilé au lieu des 1500. «  Ce nombre s'explique par le fait que certains marcheurs se sont désistés. Nous n'avons pas non plus invité les sociétés extérieures. Le but était d'éviter de tros gros rassemblements. Nous y avons réussi  » se félicite Adrien Dolimont. Le public espère maintenant un retour à une marche « normale » l'an prochain.

    JEAN-CLAUDE HERIN

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    Au château, mais sans public 

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  • PORTRAIT- Grégory Rogge, la passion du reportage vidéo

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    Réalisateur, cadreur et monteur, Grégory Rogge se donne pour objectif, avec son concept OZFilm, d'augmenter la visibilité des commerçants et artisans de la région. Récemment, le jeune Carolo rendait visite au « petit » Robert la Frite, à la rue de la Montagne.

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    Le reportage vidéo est vraiment une passion pour Grégory Rogge (23 ans), à tel point qu'il souhaite en faire son métier. D'origine beaumontoise, le jeune homme a suivi une filière dans l'audio-visuel, à l'Athénée Royal Simone Veil. Pendant ses études, il a notamment réalisé de petits films sur le camp d'Auschwitz, qu'il a visité avec ses professeurs.

    « Ce voyage m'a véritablement bouleversé » confie-t-il. Il y a 1 an et 1/2, le cinéaste indépendant lançait OZFilm. A ce jour, ce concept de réalisations et de productions vidéo totalise 3 000 000 vues, 67 projets et 45 clients. Ambitieux, Grégory souhaiterait voir encore son « bébé » grandir. « Je m'occupe de créer des films d'entreprises, des after-movie événementiels (comme des salons commerciaux, par exemple), des clips musicaux avec divers artistes comme Leto, un grand rappeur français, des street clips, des clips danse, et bien d'autres encore ! » souligne-t-il.

    coup de pouce à l'HoReCa

    Passionné par la vie associative et par l'Histoire des quartiers, et de nature très sociable, Grégory a commencé à mettre en avant les commerçants et artisans de Beaumont, notamment à la chocolaterie Bressant, puis au Temps d'un Fromage à Ham-sur-Heure. « Partout où je suis passé, j'ai eu des retours très positifs » souligne-t-il. Installé depuis peu à la place de la Digue à Charleroi, le cinéaste souhaite poursuivre dans cette voie.

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    « Tout le secteur de l'HoReCa a particulièrement souffert lors du confinement. Mon travail est d'autant plus utile ». Le jeune homme a terminé une vidéo sur le « Petit » Robert La Frite. A voir sur la page Facebook de Robert la Frite, ainsi que sur les réseaux sociaux. Grégory a eu la chance de rencontrer les trois générations de « Robert la Frite » (fondateur en 1952), c'est à dire Liliane, sa nièce (qui y travaille depuis 1979!), sa petite-nièce Christelle, et son arrière-petit-fils Antoni.

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    De gauche à droite, Liliane, Christelle et Antoni, trois générations réunies 

    Aujourd'hui, cette deuxième implantation (dans une surface agrandie près de l'ex-C&A) de la friterie commence à redynamiser la seconde partie de la rue de la Montagne. Pour tout contact : Grégory Rogge : Gsm: 0493/16.37.42. directbyozfilm@gmail.com - www.ozfilmstudio.be

    JEAN-CLAUDE HERIN 

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    L'équipe de Robert la Frite autour de Grégory 

  • CHARLEROI- La compagnie Imp'Act au Royale

    L’Horeca et la Culture s’associent pour une parenthèse... Royale
     
    Ce samedi 21 août, la Brasserie Le Royal (89 bld Tirou 6000 Charleroi) organise un événement festif et familial.
     
    L’objectif ? Tisser un pont entre Culture et Horeca tout en proposant une «bulle estivale" une parenthèse décontractée.
     
    Habitants de Charleroi ou simples passants pourront profiter des animations artistiques destinées aux enfants, familles et grands. Le Royal a fait appel à la Cie Imp-Act, troupe de théâtre carolo.
     
    AU PROGRAMME :
     
    De 11h à 21h : Les comédiens doucement déjantés de la Cie Imp-Act proposeront des animations de rue... surprise ! Indice : des presque homologues journalistes risquent de se faire remarquer, pour le plaisir des zygomatiques.
     
    De 11h à 19h : Levez les yeux, un échassier sculpteur de ballons et de bulles de savon vous tendra un sourire...
     
    Dès 21h30 : Un cracheur de feu animera l’esplanade face au Le Royal. Sécurité et élégance accompagneront la danse des flammes.
     
    Un événement GRATUIT.
     
    Contact presse : Lola, 0479/ 92 96 19 –
    impact.cie@outlook.be