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  • PONT-A-CELLES: Le retour des 24 heures vélo !

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    Après 3 ans d'absence, les 24h vélo de Gouy étaient de retour pour leur 31ème édition. L'originalité était au rendez-vous !

    Le mauvais temps ( la pluie est tombée quasi tout le temps!) n'a pas découragé les cyclistes lors des « 24 heures vélo » de Gouy-lez-Piéton. Le départ officiel était donné samedi à 14h par Caroline Taquin, bourgmestre de Courcelles, et par l'échevin des Fêtes Joël Hasselin.

    Répartis en 30 équipes, 245 participants se sont relayés jusque dimanche après-midi. Les prix ont été remis par catégorie : - vitesse, - mouvements de jeunesse (scouts et guides), et - vélos folkloriques. «  Nous avons ajouté une armature et un cerclage d'ULM à notre vélo pour en faire un mini-bar » signalait Gil, un « Pastiman ». Son acolyte Clément avait enfilé une structure gonflable, flanquée d'un alien !

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    « J'ai fabriqué  un chapeau « dindon ». Très drôle, non ? » poursuivait Maxence de Pont-à-Celles.

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    Durant tout le week-end,  l'événement a attiré des centaines de visiteurs, autour du parcours (assez boueux), des stands de restauration, des châteaux gonflables,... « Nous sommes vraiment contents d'avoir pu remettre sur pied toutes ces animations après 3 années d'absence » signalait Martin Adam, co-organisateur. Coup de chapeau également aux nombreux bénévoles pour l'organisation des épreuves, le (dé)montage des tentes, le nettoyage du terrain,... Les bénéfices seront versés pour les camps.

    JEAN-CLAUDE HERIN

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    Martin et Julie 

  • MARCINELLE: Bois du Cazier: le point sur les exhumations

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    photo: J.C.Hérin - lors de la conférence 

    Deux victimes de la catastrophe du Bois du Cazier, il y a près de 67 ans, formellement identifiées

    Le travail sur les ADN des 14 dépouilles non identifiées de la catastrophe du Bois du Cazier a permis d'identifier formellement deux mineurs, ont révélé les responsables du DVI (Disaster Victim Identification) de la police fédérale, mardi, lors de la présentation des résultats de ce vaste travail entamé à l'automne 2021 avec l'exhumation des dépouilles au cimetière de Marcinelle (Hainaut).

    Selon les membres du DVI, 12 autres dépouilles n'ont pu être identifiées. Dans quatre cas, les résultats par ADN ont exclu qu'il puisse s'agir des mineurs recherchés. Dans cinq cas, les résultats sont non concluants. Enfin, dans trois cas, les équipes impliquées dans le projet n'ont trouvé aucun descendant sur lequel appuyer une comparaison par ADN.

    Une autre piste a été sous-entendue à demi-mots pour les "résultats d'exclusion par ADN": le fait que des corps aient pu être "confondus" dans les jours qui ont suivi la catastrophe de 1956. Dans un des cas, et sur base d'éléments probants, l'hypothèse a d'ailleurs motivé une nouvelle demande d'exhumation.

    "Je garde l'espoir qu'on puisse obtenir dans certains cas des résultats différents encore", a affirmé l'avocat Jean-Philippe Mayence, président de la commission d'identification qui s'est formée autour du projet.

    Des descendants des mineurs identifiés étaient présents mardi. Notamment la fille d'un disparu italien qui a indiqué que sa mère avait pu prendre connaissance des résultats positifs de l'identification concernant son mari quelque temps avant sa mort. ( Source VRT News) 

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     Michele Cicora, qui a porté le projet, n'a pas retrouvé son père, parmi les 14 victimes non identifiées de la catastrophe du 8 août 1956 

    photo J.C. Hérin 

  • CHATELET- Les Tomlanders ont défilé à la Cavalcade

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    de gauche à droite : Henri Gozdzicki, président, et Laurent Tomson, fondateur des Tomlanders.

    Un vent celtique a soufflé sur Châtelet avec le groupe celtique des Tomlanders, fidèle à la Cavalcade depuis 18 ans !

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    Créé en 2005, le groupe des Tomlanders vient de la contraction d'une partie du nom de son fondateur Laurent Tomson et de landers. « Amoureux des traditions celtiques (irlandaises, écossaises et bretonnes), nous souhaitions fêter la Saint Patrick entre potes. Le signe de ralliement était le kilt. Rapidement, de 5 à 6 personnes, nous sommes passés à presque une centaine. Des joueurs de cornemuse nous ont aussi rejoints » signale Laurent. « Nous défilons à la Cavalcade bien sûr, mais aussi à d'autres manifestations, comme la Fête de la Poterie ». Le local se trouve à la Taverne Saint-Roch à Châtelet. Les membres portent un sporran, petite sacoche portée à la taille, censée protéger les parties sensibles...

    Parmi les nouveaux groupes, citons des Lanceurs de Drapeaux de Flandre, La Fanfare Royale « l'Echo de la Warche » de Malmédy, les Siguines, danseuses créoles des Antilles, et les « Si belles », des majorettes de Bouffioulx.

    La foule pour une édition hors-Covid

    Parmi les habitués, les Gilles, bien entendu, les cavalier(e)s de François Lespes, la Lum'Rodge, une drôle de vache tout à fait incontrôlable de Presles,...

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    La Lum'Rodge 

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    Et bien sûr, le Géant Paulus. Sa tête a été entièrement poncée. Un maquillage réalisé par l'artiste français Pierre Loyer a rendu sa peau plus mate. Après avoir été en bleu, le Géant porte désormais une tenue à carreaux en laine, typique des années 50. « Bien sûr, nous avons veillé à ce qu'il reste toujours aussi raffiné et élégant » poursuit Murphy.

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    Dans le cortège, le Géant Paulus était entouré de Alix de Namur, Baudouin IV (tous deux géants d'Ath) et Mercator de Rupelmonde. Contrairement à l'année passée, cette édition de la Cavalcade se faisait sans aucune restriction. La foule était donc au rendez-vous. Le public n'a pas boudé son plaisir autour des attractions foraines et des stands de restauration. En début de soirée, tous les groupes folkloriques ont participé au rondeau final. Les Gilles sont arrivés et la liesse était à son comble à grand renfort de batterie, de danse et d'oranges.

    JEAN-CLAUDE HERIN

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