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  • JEU- Fabienne de Montigny-le-Tilleul remportera-t-elle la 5ème finale de Slam ?

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    Habituée des plateaux de jeux télévisés,  Fabienne Bonni de Montigny-le-Tilleul parviendra-t-elle à battre un autre Belge à Slam ? Réponse ce lundi à 17h15’ sur France 3 !

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    Fabienne au côté de Cyril Féraud

    « Je vous livre un petit scoop : la compétition finale de Slam se jouera entre deux Belges,  ce lundi ! » nous livre Fabienne Bonni. Dans la vie, cette habitante de Montigny-le-Tilleul travaille à Thuin dans une entreprise spécialisée en fourniture de matériel et de régulation et de domotique. Ce qui est assez éloigné des jeux de lettres…

    Fabienne garde un excellent souvenir des émissions enregistrées en juillet. « L’animateur Cyril Féraud est aussi sympathique à l’écran que dans les coulisses. Toute l’équipe m’a  vraiment mise à l’aise.  J’ai pris un réel plaisir à participer au jeu. Cela se voit par mon sourire, je pense !

    Et si l’on m’y invite, je participerai volontiers au Grand Slam, le dimanche ».  Si Fabienne l’emporte ce lundi, elle décrochera sa 5ème (et dernière) finale. Ce serait alors un parcours sans faute !

    depuis 20 ans sur les plateaux télé

    Depuis mardi passé, Fabienne élimine les candidats les uns après les autres.  La Montagnarde  se montre très rapide aussi bien pour trouver la lettre à partir d’une énigme que pour placer les mots dans la grille de mots croisés.                   

    «  Je ne suis pas véritablement une accro à Slam, mais je joue régulièrement  au Scrabble.  Je lis beaucoup, notamment des romans de Stephen King.  Et puis, je pense avoir une bonne culture générale : cela m’aide bien sûr ! » Cette passion pour le jeu télévisé, Fabienne la cultive depuis plus de 20 ans.  Cette aventure a commencé avec l’émission « Forts en tête »  sur la RTBF avec Armelle et Jacques Mercier, et s’est poursuivie avec  « le 71 », « Seul contre tous", et d'autres jeux...   JC HERIN

  • THUIN: Vendanges: un peu moins de raisins, mais plus sucrés !

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    Les vendanges sur les Jardins Suspendus se sont déroulées « autrement », samedi matin,  en raison de la crise sanitaire.  La récolte a été très bonne, même si elle a été moins abondante que les deux dernières années.

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    Une pluie tombée en abondance, tôt dans la matinée, a failli perturber le travail des vendangeurs.  Heureusement, après une bonne « drache nationale » (suivie par un beau soleil), les courageux ont pu récolter le raisin. Cette année,  le nombre de bénévoles a été réduit de 120 à 60. Des bulles de 10 personnes par personne ont été constituées pour respecter les distances de sécurité.  Chaque vendangeur a pu disposer ainsi d’un espace de 35 mètres carrés, sur un terrain de 2300 mètres carrés, comptant 9 parcelles et 1.100 pieds de vigne.

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    Le petit déjeuner offert et l’accueil par la batterie des Zouaves ont malheureusement été supprimés. « Il a fallu prendre ces mesures pour    être conformes au protocole sanitaire. Cela dit,  tout a bien fonctionné,    et la récolte n’a pas été beaucoup plus longue que les années précédentes, vu l’enthousiasme des vendangeurs  » a précisé Jacky Collignon, président de l’ASBL « Le Vignoble Thudinien- Clos des Zouaves ».  Très rapidement, les raisins récoltés sont partis en camionnette à la Distillerie de Biercée, où ils ont été égrainés, pressés, puis mis en cuve et en barrique. Le cépage cultivé sur le sol thudinien est le Régent. A terme, il donne un vin « muté », légèrement sucré idéal pour les desserts.  En 2018 (année record), 2500 bouteilles ont été produites, et en 2019, 2000 bouteilles. 2020 sera une plus petite année avec 1700 à 1800 bouteilles. « Certes, la production a été un peu plus modeste  cette année, mais le raisin, bien sucré, est vraiment délicieux. Le réchauffement climatique, enregistré depuis quelques années, pourrait, dans quelques années, faire de la Belgique, le « pays du vin » !  poursuivait Jacky Collignon.

    J.C.HERIN

  • CINEMA- Projection du film " L'enfer n'est pas loin" de Brandon Gotto

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    Tourné avant la période de confinement,  en octobre 2019, le long-métrage du thudinien Brandon Gotto : « L’enfer n’est pas loin » a été (enfin) projeté pour la première fois, devant un public conquis.

    Après un accident de voiture ayant coûté la vie à la maman d’Iris, la jeune fille se voit reprocher par son père Daniel le fait de l’avoir tuée volontairement.  Très rapidement,  la tension va monter et une implacable spirale de violence va s’engager entre le père et la fille, isolés dans un chalet dans les Ardennes…                              

    Voici en quelques mots le pitch de ce huis clos haletant, qui réunit,          dans une relation de face-à-face,  les acteurs Margaux Colarusso et      Raytan R.K.Rawling. Brandon Gotto (25 ans) y est à la fois réalisateur,    scénariste, directeur de photographie, monteur,… et même maquilleur !   

    une œuvre plus personnelle       

    «  Cette passion du cinéma est née quand j’avais dix ans, et depuis lors,  elle ne m’a plus quittée » explique cet autodidacte hyperactif,  avant la projection du long-métrage au Caméo. « Le public me connaît principalement à travers des fan-films comme  Star Wars, Halloween, ou encore Batman.  Cette fois, j’ai pu m’investir dans un film plus personnel, où l’émotion a toute sa place.  C’était pour moi un big deal ! ».

    Le film est très abouti,  si certains passages sont un peu trop lents (ce que revendique le réalisateur). On notera même quelques accents hitchcockiens dans la suggestion plutôt  que dans  la démonstration. Signalons que « L’enfer n’est  pas loin » a reçu 11 prix  dans différents festivals internationaux ! Espérons qu’il obtienne une reconnaissance au niveau national… Le film peut être vu également en vidéo à la demande sur viméo ainsi qu’en DVD.

    JEAN-CLAUDE HERIN