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Ca bouge à Charleroi et dans l'entité ! - Page 387

  • # C'est bon pour le local ! Une belle initiative pour le commerce local

     

    Aujourd’hui plus que jamais, je soutiens les commerçants ! Vos commerçants vont ont manqué ? A nous aussi !

    #CBonPourLeLocal est une initiative visant à soutenir les commerces à nouveau ouverts, mais également ceux ne pouvant pas encore vous accueillir.

    Comment ça marche ? Vous achetez sur ce site un ou plusieurs bons d’achat, nous vous offrons 20% supplémentaires à dépenser dans vos magasins préférés !

    Le concept

    #CBonPourLeLocal est une plate-forme permettant à vos clients d’acheter dès aujourd’hui en ligne des bons d’achat qu’ils utiliseront ensuite dans vos boutiques.

    Ce site, mis en place par l’Echevinat du Commerce de la Ville de Charleroi et l’asbl Charleroi CentreVille, a pour objectif d’apporter un soutien aux commerçants locaux situés sur le territoire de la Ville de Charleroi (les 15 anciennes communes), qu’ils aient rouvert ou pas.

    Comment ? 

    En proposant à vos clients d’acheter dès aujourd’hui sur cette plate-forme des bons d’achat d’une valeur de 12€50, 25€, 50€ et 100€ à dépenser dans votre commerce. L’avantage pour le client : pour chaque bon acheté, nous offrons 20% supplémentaires à ajouter à la valeur de celui-ci (12€50 = 15€ / 25€ = 30€ / 50€ = 60€ / 100€ = 120€).

    Une fois l’achat effectué, il recevra un mail de confirmation et son/ses bon(s) d’achat à imprimer ou à présenter sous format numérique. Un QR code à scanner et un numéro de série figureront sur ce bon afin que vous puissiez vérifier sa validité. De notre côté, nous collectons l’argent et vous le reversons dans un délais de 5 jours ouvrables. Nous prenons à notre charge les 20% supplémentaires ainsi que les frais de transaction. L’intégralité de la somme choisie par le client vous sera donc reversée.

    Vous n’avez pas la possibilité d’accéder à #CBonPourLeLocal ? Aucun soucis ! Rendez-vous à l’asbl Charleroi CentreVille qui se chargera d’encoder votre achat sur la plate-forme. En échange de votre paiement en espèces ou en Carol’Or, le(s) bons imprimés vous seront remis.

    Vous êtes un commerce local et vous souhaitez vous inscrire ?

    Rendez-vous sur #CBonPourLeLocal et remplissez le formulaire d’inscription.

    Conditions d’admission et éligibilité des commerces

    • Être un commerce local se situant sur le territoire de la Ville de Charleroi (les 15 anciennes communes)
    • Est considéré comme commerce toute entreprise, morale ou en personne physique qui a pour objet la vente d’une marchandise ou d’une prestation de service aux particuliers. Elle doit être caractérisée par l’existence d’une vitrine située à front de rue. Le commerce doit être accessible au public selon des horaires habituels, à l’exception éventuelle du ou des jour(s) de repos hebdomadaire(s) ou jour(s) férié(s). Les activités de professionnels à professionnels, les professions libérales, les agences immobilières, les activités dans le secteur des banques et assurances et les institutions d’enseignement ne sont pas reprises dans cette définition.

    Sont exclues :

    • Les entreprises à succursales : entreprises exploitant un minimum d’établissements au détail (5 maximum) dans une branche déterminée ; les coopératives de consommation
    • Les franchises : système de collaboration entre deux entreprises juridiquement distinctes mais liées par un contrat en vertu duquel l’une d’elles (le franchiseur) concède à l’autre (le franchisé) moyennement le paiement d’une redevance, le droit d’exploiter une marque ou une formule commerciale, tout en lui assurant aussi une aide et des services

    Après avoir rempli le formulaire d’adhésion votre demande sera analysée et traité dans un délai d’un jour ouvrable.

    Le demandeur doit apporter les éléments permettant son acceptation.

    L’achat de bons est limité à 10.000€ par commerce, et donc à 2.000€ d’aides publiques.

    Cette limite donne l’opportunité à un maximum de commerçants participants de profiter de cette initiative solidaire dans les limites du budget disponible. Le plafond pourra être revu à la hausse en cas de financement complémentaire.​

  • ROMAN DE DANIEL STOCLET- Crime odieux au parc de la Serna !

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    Un directeur d’une entreprise informatique a été abattu froidement à Jumet.  Commence alors une enquête palpitante pour l’inspecteur Dan Gallino  et toute son équipe.  Un récit haletant à lire dans « Plongée en enfer de Charleroi à Marseille » de l’auteur gosselien Daniel Stoclet.

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    Daniel et Marie-Claire: la passion de l'écriture 

    On pourrait dire qu’il est passé des chiffres aux lettres, en quelque sorte…  Professeur de mathématiques à la retraite, Daniel Stoclet a trouvé dans l’écriture une véritable reconversion.  

    Pour son deuxième roman : «  Plongée en enfer de Charleroi à Marseille », l’auteur de Gosselies relance, dans une nouvelle enquête, l’équipe de son premier roman : « Féminicides 2.0. ».  Le team se compose de l’inspecteur Gallino, de sa collègue Mélanie Duponchelle,  de Max, féru d’informatique, et de la journaliste Marie Cardinal, inspirée de son épouse Marie-Claire et également auteure de « L’énigme du pigeon qui valait 2 400 00 euros ». (Cette passion pour la colombophilie relie d’ailleurs le couple).

    Point de départ du roman : la découverte du cadavre de Raphael Gordano,  dans le parc de la Serna, après un règlement de comptes.         

    Le crime est particulièrement odieux, car ce directeur d’entreprise a reçu une balle dans le thorax et dans la tempe. Les enquêteurs sont rapidement sur la piste de mafiosi sévissant dans les quartiers glauques de Marseille.                    

    Charleroi, Marseille et leurs quartiers difficiles

    Une prostituée à qui les agresseurs auraient parlé pourrait être un premier témoin… Mais pour Dan Gallino, la difficulté ne consiste pas vraiment à débusquer les tueurs, mais bien le commanditaire ! L’équipe s’attellera ensuite à percer les secrets de la victime, un ancien champion de tennis, dont le père originaire d’Otrante dans les Pouilles a fait partie des « Accords charbon » signés après la guerre, pour s’installer en Belgique dans l’espoir d’une vie meilleure.

    « Le choix de Marseille s’est imposé dans ce roman, car mon épouse et moi avons appris à apprécier la cité phocéenne suite à de nombreux séjours » note l’auteur. « C’est aussi une Ville qui présente des points communs avec Charleroi, avec certains quartiers difficiles bien connus de la police».                  

    Un autre intérêt de ce roman  est que l’auteur cite de nombreux lieux de Charleroi et de son entité : le complexe cinéma Pathé à Charleroi,  Robert la Frite,  le CPAS de Fleurus, l’hôpital Vincent van Gogh à Marchienne-au-Pont,… Le lecteur est ainsi en pays de connaissance !  

    « Plongée en enfer de Charleroi à Marseille » par Daniel Stoclet, 225p., Editions du Lys bleu, 18,90 €. Pour toute info : 071/45 84 63- 0479/29 05 57- daniel.stoclet@skynet.be

    JEAN-CLAUDE HERIN

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    Un polar haletant par un auteur talentueux

  • FESTIVAL - "Femmes de mars": un mois d'actions et d'activités à Charleroi !

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           « Captain America II » (1997) Courtesy Nicolas Kupp, Basel. Photo: Serge Hasenböhler 

    Jusqu’au 31 mars, Les Femmes de Mars remettent le couvert pour dénoncer les inégalités et les injustices vécues par les femmes au quotidien. Une série d’actions et d’activités auront lieu à Charleroi. En raison du confinement, le festival se déroulera à la fois en présentiel et en virtuel.  

    Un Captain America qui porte un tutu, des porte-jarretelles et des talons hauts ! Cette œuvre de Margaret Harisson, à laquelle une exposition est actuellement consacrée au BPS 22, peut faire sourire. Et réfléchir aussi...

    « L’artiste britannique a volontairement inversé les codes de la féminité et  de la virilité. Ce qui nous amène à la réflexion suivante : la société, dans son ensemble, n’a-t-elle pas tendance à stéréotyper les genres ? » se demande Margaux Joachim, coordinatrice carolo de la plateforme Femmes de Mars.  « En ce sens, cette expo rejoint bien notre volonté de casser certains clichés ! » 

    Cette année, pour cause de Covid-19,  le collectif a dû se réinventer. « Cela dit, nous n’avons jamais baissé les bras pour autant car, plus que jamais, la crise sanitaire a fait ressortir davantage les inégalités sociales et accentué certains problèmes, comme la violence conjugale.

    Nos revendications ? Une pension à 1500 net pour tous les travailleurs, la gratuité des protections menstruelles (Une femme peut débourser jusque 4000 pour ce type de dépenses !), la réduction du temps de travail (stop à la « double » journée  de travail  pour les femmes !), et le droit de se vêtir librement, sans à priori sexiste » poursuit Margaux Joachim.

    « Le sexisme est partout, nous aussi »

    Pour cause de Covid-19, la plateforme carolo de Femmes de Mars a été dans l’obligation de restreindre les activités du festival de ce mois de mars, mais l’événement a été maintenu. La formule retenue ? 50% d’activités en présentiel et 50 % en distanciel. 

    Une vingtaine d’associations et de groupements citoyens de Charleroi ou de sa périphérie se sont mobilisés, pour mettre au point des rendez-vous destinés à la réflexion et à l’action collective. Un mois au cours duquel seront mises en avant des femmes artistes, des femmes de l’ombre,  des militantes, des entrepreneuses, des activistes,  des expertes, des citoyennes,…  qui se battent au quotidien. La journée « phare » sera le 8 mars, lors de la Journée Internationale de la Femme.  «  Un appel à une grève sera lancé à Charleroi, sur le slogan : « Le sexisme est partout … nous aussi ! » souligne Mélanie Carboni, membre du Collectif. «  Un slogan rassembleur, qui rappelle que nous sommes nées discriminées et encore contraintes d’y faire face au quotidien. Jusqu’à ce que les choses changent … ».  Seules 100 personnes sur chaque place pourront rejoindre cette manifestation. Rendez-vous sur le site internet femmesdemars.be onglet “8 mars” pour les inscriptions.

    JEAN-CLAUDE HERIN

    Demandez le programme !

    - Le 4 mars : Lancement du festival en fin de journée pour un live facebook en direct du BPS22. -Jusqu’au 31 mars : expo : «  Figures de femmes » à la Maison du Hainaut, avec vernissage le samedi 13 mars de 14h à 18h. - Jusqu’au 23 mai: expo : « Danser sur les Missiles » de Margaret Harrison au BP22, avec visite guidée,  le 11 mars de 16h à 19h. -  Du 27 février au 8 mars : Atelier : « Sens Équivoque » avec Charlotte Bergue au Vecteur.  - 8 mars : Action dans l’espace public  à 16h sur la place Buisset et à 17h30 sur la place verte.  Scène ouverte « Les femmes à l’honneur » au Centre Culturel de Farciennes.  - Le 16 mars de 18h à 20h30 : projection-débat : « Joséphine Baker, première icône noire ». - Le 18 mars, de 18h à 20h : Rencontre/débat : « Violences gynécologiques et obstétricales. Mythe ou réalité ? » – Le 20 mars : Flash mob dansant : Yes, We Dance in the streets ! - Le 23 mars à 12h30 : Conférence (ULB) : « Femmes politiques en temps de Covid : vers une consécration ? » - Le 25 mars de 18h à 21h : Atelier/Rencontre/Débat au Cube : «  Femmes entrepreneures, des talents  de toutes les couleurs. – Le 26 mars : Soirée de clôture (programme à définir). Le 31 mars à 19h : soirée à l’Eden : Concert :  Les Femmes s’en Mêlent #6.  mail : info@femmesdemars.be. Facebook : www.facebook.com/lesfemmesdemars

    J.C.H.