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  • CHARLEROI- A la rencontre du Père Noël, le 2 janvier

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    Des bonnets rouges dans les magasins, des cadeaux qui débordent et des Père Noël en veux-tu en voilà...
    Mais qui est donc ce fameux monsieur dont on nous parle tant ?
    Que se passe-t-il la nuit du 24 décembre ?
    Peut-on véritablement parler de magie ? Et si c'était des histoires tout ça !
    Des histoires on en raconte justement...
    La Maison du Tourisme du Pays de Charleroi vous invite à venir découvrir les contes d'une joyeuse lutine.
  • MONT-SUR-MARCHIENNE: Expos à voir jusqu'au 20 janvier au Musée de la photographie

    Voici trois expositions à voir jusqu'au 20 janvier 2013 au Musée de la Photographie à Mont-sur-Marchienne:

    Dave Anderson
    CHARLEROI
    jusqu'au 20.1.13

    C’est après l’exposition «Rough Beauty» consacrée à Vidor, une ville mal-aimée du Texas que le Musée de la Photographie, en partenariat avec le CPAS de Charleroi, a proposé à Dave Anderson de réaliser un reportage photographique sur Charleroi, s’inscrivant dans le cadre des missions photographiques initiées par le Musée pour conserver la trace d’une ville en pleine mutation. A l’opposé de Bernard Plossu, attiré par le ring et le décor urbain, Dave Anderson s’est tourné vers ce qui est la richesse de Charleroi, ses habitants et la mosaïque qu’ils composent, mais aussi les lieux et les travaux témoignant de ces années de transition décisives pour la métropole sambrienne. Un regard humaniste, efficace et direct, sans préjugé ni faux-semblant, servi par une grande maîtrise de la couleur et de la composition, un reportage photographique qui dit toute sa tendresse et son espoir en une ville passionnante qui cherche un second souffle. Ce sont près de 120 photographies qui composent l’exposition.

     


    Magali Koenig
    Bishket Tadjikistan 2009
    © MAGALI KOENIG

    Magali Koenig
    MILIEU DE RIEN
    jusqu'au 20.1.13

    L’œuvre de Magali Koenig s’est construite au gré de ses voyages. Géorgie, Sibérie, Russie, Cuba et bien d’autres contrées viennent rythmer comme des récits, ses images du quotidien qu’elle archive et collectionne depuis bientôt 30 ans. A propos du travail de Magali Koenig, Nicolas Couchepin écrit ceci :«Les photographies de Magali Koenig représentent rarement des personnes. Et pourtant, on pourrait presque dire que ce sont des portraits. Quelqu’un vient sans doute de passer par là, juste avant le déclic. Ces lieux qui semblent fraîchement abandonnés, ces espaces voués au désenchantement, ces paysages à la fois immenses et remplis de cachettes, sont investis de toute l’émotion de la vie qui se déroule, hors cadre, juste avant, juste après». Et de poursuivre sur la série Milieu de rien «Les photos de Magali Koenig montrent des tas d’endroits proches et lointains ; ils ont tous en commun d’être à la fois familiers et abandonnés, et de représenter des milieux de rien qui vous ramènent au milieu de tout. On y entre, on tombe dedans, on a la sensation de voler, on sent l’odeur du soleil sur les plumes, on se dit qu’il nous arrive quelque chose, et à la fin, on ne sait plus si le bonheur s’appuie sur la nostalgie, ou si c’est le contraire.»


    Droits réservés

    Aurore Dal Mas
    ULTIMA
    jusqu'au 20.1.13

    Suite à la réfection complète, en 2010, des résidences de l’Ile de Comacina (Italie) menée par Wallonie-Bruxelles International, des artistes ont à nouveau occupé les lieux de juin à septembre 2011. La photographe belge Aurore Dal Mas était parmi les auteurs sélectionnés. Elle nous livre le fruit de son travail : Ultima. A propos de la série Ultima, Aurore Dal Mas nous confie : «Les photographies de la série Ultima évacuent les personnages, les indices de temps, de lieu et l’anecdotique, pour aller vers des images plus universelles, voire archétypales. Leur point commun est qu’elles montrent des paysages supérieurs à l’être humain, que ce soit en taille, en temps, en force. Elles sont, au-delà de l’esthétique, une réflexion sur la nature profonde de l’être humain, une forme de métaphore méditative.» et de poursuivre : «Ultima, c’est une mise au diapason qui va dans le sens de la vie : exigeante, authentique, spontanée - presqu’inhumaine, dans ce qu’elle a d’inconnu.»

     


    A découvrir également ARNOLD LEBOVICZ dans le cadre de la galerie du Soir

    NOS PROCHAINES EXPOSITIONS
    26 JANVIER 2013 – 12 MAI 2013

    «Une affaire de famille» La collection de photographies de Rodolphe Janssen
    Charles Paulicevich VARIATION Cet ouvrage est un tissu de mensonges. A Bruxelles, il pleut.
    Albums de famille

    Le musée est ouvert du mardi au dimanche, de 10h à 18h.
    Il est fermé le lundi, les 25 décembre et 1er janvier.


    11, avenue Paul Pastur
    6032 Charleroi (Mont-sur-Marchienne)
    Tél : +32 (0)71.43.58.10
    Fax : +32 (0)71.36.46.45
    E-mail : mpc.info@museephoto.be

  • CHARLEROI- Rencontre avec les abonnés

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    Isabelle Degraux présente la tablette numérique

     

    Malgré le froid et une pluie incessante,  nos fidèles lecteurs se sont rendus  au parking du Spiroudome,  samedi après-midi, où les attendaient des représentants du journal. Les échanges allaient bon train…

    L’opération « Rencontre avec les abonnés » bat son plein depuis le 15 décembre.  Après les lecteurs de Sambre et Meuse, du Brabant Wallon, de Bruxelles, de Tournai,  de Mouscron et de Mons, c’étaient les lecteurs de Charleroi qui étaient conviés à rencontrer des membres du service marketing de Sudpresse,  ainsi que des hôtesses.  Sous la tonnelle installée sur le parking n°1 du Spiroudome,  une petite centaine d’abonnés, dont la moyenne d’âge  tourne autour de 55 ans,  a eu  l’occasion de discuter du journal, et de remplir une enquête de satisfaction. «  Nos lecteurs sont au rendez-vous,  malgré les conditions climatiques peu favorables, et les achats pour les fêtes.  Les échanges sont très constructifs. On se rend compte que le journal se transmet de génération en génération »  souligne Isabelle Degraux de la Nouvelle Gazette.  A l’occasion de cette rencontre, la tablette tactile était présentée au public.  Certains lecteurs, très attachés au papier, n’y accordaient pas beaucoup d’attention. D’autres, par contre, y voyaient une évolution incontournable. « Il faut vivre avec son temps ! » notait Frédéric ( 25 ans ).  « Il faut reconnaître qu’on peut emporter cette tablette un peu partout, qu’elle ne prend pas beaucoup de place, et que son utilisation est très facile ».  Un bon vin chaud a réchauffé nos lecteurs, grâce à Hubert Spits, responsable du domaine des « Prés fleuris ». Et puis chaque abonné est reparti avec une bonne bouteille de vin sous les bras. « Ce cadeau est ancré dans nos habitudes.  Nos abonnés sont choyés : ils reçoivent régulièrement des avantages, des participations à des concerts, … » poursuit Vincent Brossel, responsable du service marketing de Sudpresse. «  Nous voulons vraiment montrer que nous sommes à leurs côtés, et qu’ils puissent mettre un nom sur les visages. C’est très important pour nous ! » 

    Guy Decamp de Gozée

     

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    Pensionné depuis 1999, Guy Decamp n’est pas un inconnu au groupe Sudpresse, puisqu’il a travaillé en tant qu’imprimeur durant 22 ans au Quai de Flandre, puis à la nouvelle imprimerie à Marcinelle. Invité pour un verre de l’amitié à l’occasion de la Saint Eloi, il a pu voir les nouvelles installations à Nivelles, et trouve l’évolution très positive.  Fidèle abonné depuis de très nombreuses années, Guy parcourt la Nouvelle Gazette tous les jours.  « Mon épouse  la lit aussi du début à la fin ( parfois avant moi) , et elle me raconte tout ce qu’il y a dedans. Rien ne lui échappe  » s’exclame-t-il !  Guy Decamp apprécie la nouvelle mise en page, plus claire, plus aérée.  Il s’intéresse à toutes les rubriques régionales, avec une prédilection pour la politique, les sports,…  et,  un peu comme tout le monde,  pour les programmes télé !

    Joana ( 26 ans ) de Châtelet

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    Journaliste, sans emploi pour le moment, Joana est une fidèle lectrice de la Nouvelle Gazette. «  Le journal, c’est vraiment une affaire de famille ! » reconnaît-elle. « Cela fait plus de 10 ans que mon grand-père y est abonné ». Joana trouve tout ce qu’elle recherche : beaucoup d’infos régionales, politiques, sociales, culturelles,…mais elle considère  que la couverture de certaines manifestations récurrentes comme la foire de Charleroi est parfois trop  développée.  Elle est particulièrement attentive à la rubrique « Tour d’horizon » qui lui donne mille renseignements pratiques, et des idées de sorties.  Joana apprécie aussi les dossiers  pratiques et les enquêtes sur le prix des voitures, le marché de l’immobilier,…  « Je pense qu’il est important que la Nouvelle Gazette  soit en prise directe avec le quotidien des gens, et par temps de crise, avec leur portefeuille ! »  

     

    Elie Quinet ( 77 ans ) de Marcinelle

     

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    « J’ai appris à lire à travers la Nouvelle Gazette et ses ancêtres ! » tient à précise Elie. « A l’époque,  le journal nous était livré par porteur. Et puis, ma famille s’est abonnée  à partir des années 50, et cela ne s’est plus jamais arrêté  ! » Elie n’imagine pas un instant être privé de son quotidien favori. Il dévore les billets de Fantasio, mais ignore que sous ce pseudonyme se cache la signature de Philippe Genion, qu’il appréciait aussi dans sa Grosse Chronique du samedi.  Les faits divers l’intéressent aussi particulièrement, mais aussi les articles plus souriants : « Trop souvent, Charleroi  est cataloguée pour ses braquages, ses meurtres,…  A côté de cela,  La Nouvelle Gazette nous montre également qu’il y fait bon vivre ! ».  Un brin nostalgique, Elie regrette la disparition de rubriques, comme les Chroniques wallonnes.

     

    Barbara Langrand ( 40 ans )  de Charleroi

     

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    Depuis qu’elle est haute comme trois pommes, Barbara lit le journal.  « Tout Carolo qui se respecte doit être au courant des faits de sa Ville et de ses petits potins » s’exclame Barbara.  Voici 1 an que son père,  qui prenait le journal à la librairie, a décidé de s’abonner. Sa maman et  son fils Théodore  ( 11 ans )  s’y intéressent aussi, ainsi que ses filles quand on parle du basket !  Barbara fonce d’abord vers la rubrique « nécrologie » puis les rubriques locales. « Le journal remplit vraiment bien sa mission ! » souligne-t-elle. Elle épluche tous les articles, et y voit parfois apparaître le nom de son grand-père qui a été échevin en 1970. « A l’occasion du départ d’Etienne Knoops, on en a reparlé. Il a été fortement impliqué dans plusieurs travaux : la piscine Hélios, le ring, le centre PME,… C’est bien de voir qu’on ne l’oublie pas ! »