Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

MARCINELLE- L'imaginaire comme pont vers l'inclusion

inclusioncarnaval2.jpg

Pendant une semaine, 12 enfants de 4 à 11 ans ont participé à un stage de Carnaval, mis sur pied par le Service d'Action Provinciale d'Animations de Sensibilisation au Handicap. 

inclusioncarnaval1.jpg

A défaut de prendre part pleinement à la liesse du Carnaval, vu les circonstances, Mohan, Alexandre, Yahya,…, ont goûté un peu de cette ambiance, grâce au stage organisé par le DGAS- service animation, dans les locaux du Hall sportif du site provincial du Hainaut de Marcinelle, à la rue de la Bruyère. En cette période très sensible, 3 bulles de 4 enfants maximum étaient formées, afin de respecter les mesures sanitaires liées à la crise du Covid-19.   

«  Selon le principe de l’inclusion, les enfants porteurs de handicaps (atteints principalement de trisomie et de troubles de l’apprentissage) et les enfants valides étaient mélangés dans les groupes.  

Pas question de faire  de différences entre eux !  Ce concept est de mise également lors de l’événement « Ensemble, avec les personnes extraordinaires », qui se tient chaque année en mai » explique Julie Vanderstraeten, coordinatrice du SAPASH. 

les enfants ont créé leur costume

Sur le thème du Carnaval, une multitude d'activités étaient adaptées aux petites têtes blondes, en fonction de leurs capacités et de leur âge. Grâce à un grimoire-théâtre magique géant,  les participants menaient un jeu de piste virtuel au sein de l'univers mystérieux de Puppet Land, pratiquaient des activités sportives,  de relaxation et psychomotrices, créaient des bricolages ainsi que leur propre costume de carnaval, des tangrams, un cadre photo souvenir, … Ils pouvaient aussi jouer à une bataille navale géante, au jeu du lynx, à un SOS ouistiti géant, un jeu du Pac-man géant,… Sans oublier les ateliers de sensibilisation au handicap avec des activités dans le noir, des ateliers défis de la langue des signes avec des clowns, et d’autres activités, …

«  Tous les jours, les stagiaires ont bénéficié d'une lecture contée,  filmée et publiée en soirée sur la page Facebook, afin de  garder le lien avec les fidèles stagiaires plus âgés qui n’ont pu participer en ce moment » poursuivait Sylvie Vanderstraeten.

JEAN-CLAUDE HERIN

inclusioncarnaval3.jpg


Un grimoire géant 

Les commentaires sont fermés.