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Cultures - Evénements - Page 113

  • COMEDIE CENTTRALE: "Un Week-end tranquille" !

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    Jocelyne Joachim fait ses premiers pas au Comédie Centrale dans le vaudeville : « Un week-end tranquille » d’Alil Vardar, à voir jusqu’au 1er décembre. La maman de notre échevine des Fêtes, Babette Jandrain, y joue les femmes cougars !

    Très apprécié en Belgique et en France, Alil Vardar est principalement connu pour avoir écrit et interprété la pièce à succès « Le Clan des divorcées » (depuis quatorze années à Paris !), qui sera rejouée à Charleroi du 16 au 19 janvier 2020.

    En 1995, l’auteur et acteur belge reprenait à Bruxelles le Comiqu’Art, dont le concept donnera, quelques années plus tard,le Comédie Centrale. C’est dans cette salle, dirigée par Eric Marquis, que se joue actuellement un autre succès d’Alil: « Un week-end tranquille ».                            

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    On y parle de relations, d’infidélité, mais surtout d’amour. Le pitch ? Jules, 45 ans (joué par Stefan Cuvelier), est marié à Caroline (Audrey Rose), 26 ans. Ensemble, ils filent le parfait amour. Sauf que Jules a une maîtresse… Elle s’appelle Geneviève et elle a 57 ans ! Alors que Jules l’invite pour un week-end romantique, Caroline fait irruption. Au milieu d’une scène cocasse, apparaît aussi Hugues Hausman, dans le rôle du portier portugais. Pas sûr que le week-end soit tranquille…

    Jocelyne joue aussi en wallon

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    Jocelyne Joachim

    Geneviève, « la femme cougar », est incarnée par Jocelyne Joachim/Jandrain. Habitante de Villers-Poterie, cette dernière a été avocate au Barreau de Charleroi et magistrate à la Cour d’Appel de Mons. Actrice au Théâtre du Méridien et au Théâtre de l’Ancre, puis comédienne depuis 20 ans au Cercle Wallon de Couillet, et épouse de Pierre, qui en est le directeur, Jocelyne est la maman de la comédienne Catherine (qui jouera dans « La Belle Imprévue » du 1er au 7 décembre au Comédie Centrale), de Fanny, animatrice à la RTBF ( « On n’est pas des pigeons ») et de Babette, notre échevine du Commerce, des Fêtes et du Folklore. « C’est la première fois que je joue au Comédie Centrale. J’ai beaucoup aimé mon personnage et son côté truculent, qui me rappelle d’autres que j’ai joués dans des pièces wallonnes » note Jocelyne Joachim. « Un Week-end tranquille » est à voir jusqu’au 1er décembre au Comédie Centrale, 33, rue du Grand Central à Charleroi. PAD : 25 à 12,5 €. Infos et réservations : 071/30 50 30- comediecentrale.com. J.C.HERIN

  • COUILLET: "L'Affaire MendeleÏev"

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    Mendeleïev ( ou plutôt le comédien )

    De nombreuses animations avaient lieu au Centre de Culture Scientifique, dimanche, à l’occasion de la Journée du Patrimoine Académique Européen.  Le Réseau des Musées de l’ULB se réunissait autour du tableau des éléments de Mendeleïev.

    Bon nombre d’étudiants ont sué de grosses gouttes en décryptant le tableau de MendeleÏev ! Alors, pour apprendre la chimie en s’amusant,  les Musées de l’ULB invitaient petits et grands à participer, dimanche, au Centre de Culture scientifique, à des jeux interactifs autour des éléments du tableau de Mendeleïev.

    « À quoi servent des éléments comme l’oxygène, le cuivre,le silicium,… Et où les trouve-t-on ? sont des questions souvent posées » soulignait Stefania Rioli, directrice du Centre.

    Le scientifique Dmitri Ivanovitch Mendeleïev, en personne (ou plutôt le comédien Alain Stevens) était là ! Un tableau géant de Mendeleïev était exposé, et pour le rendre plus attractif, Sophie De Keyser, artiste, avait peint les petites cases de différentes façons : à la bombe, au pochoir, au feutre, à l’acrylique,…

    Mendeleïev a perdu des éléments…

    En plus de permettre aux plus jeunes d’en apprendre davantage sur cette thématique et dans un souci de sensibilisation écologique, les Musées attiraient l’attention sur les éléments qui se raréfient, comme le zinc ou l’argent.

    Cette journée, intitulée : « L’Affaire Mendeleïev », était animée par d’autres ateliers ludiques, un conteur et bien d’autres surprises. Quelques objets issus des collections de l’Université venaient enrichir cette journée. Sans oublier la « Chasse au trésor », au cours de laquelle le public pouvait aider le chimiste russe à retrouver ses éléments perdus pour recomposer son tableau !                    

    Le grand public et les familles pouvaient aussi aller à la rencontre du Réseau afin d’apprendre en s’amusant et, qui sait, pour les plus jeunes, de devenir des scientifiques en herbe… J.C.HERIN 

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    Activités ludiques pour la chimie

  • CHARLEROI- L'hôtel de ville au coeur d'une exposition dans le futur Musée des Beaux-Arts

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    Coraly Aliboni, Conservatrice du Musée des Beaux-Arts, prend la parole

    Vendredi soir, le public découvrait, dans le futur musée des Beaux-Arts, une exposition de photos sur l’hôtel de ville de Charleroi, réalisée par 16 élèves de l’Académie des Beaux-Arts. A voir jusqu’au 14 décembre.

    Il s’agit d’un retour aux sources, en quelque sorte. L’exposition de photographies, qui se tient actuellement aux Ecuries Defeld, à proximité des bâtiments du centre chorégraphique Charleroi danse, met symboliquement en lumière le bâtiment où le Musée des Beaux-Arts a été fondé : l’hôtel de ville de Charleroi (1936).

    Dominique Demaseure est l’initiateur de cette expo. « Le 350ème anniversaire de la Ville, fêté en 2016, m’a convaincu du désir d’apporter ma petite pierre à cet édifice mémoriel, en tentant d’y sensibiliser mes élèves » signale ce professeur de photographie à l’Académie des Beaux-Arts Alphonse Darville.

    Pour monter cette expo, 16 étudiants de Charleroi et de la périphérie ont photographié l’hôtel de ville sous toutes ses coutures. Alberto Bimbocci de Charleroi fait partie de l’un d’eux. « Je me suis baladé un peu partout dans le bâtiment, là aussi où le public n’a pas toujours accès, comme le clocher, l’ancienne salle des fêtes, les bureaux au sous-sol,…» explique cet habitant de Charleroi. « Entre ombre et lumière, j’ai voulu faire deviner les formes et l’ailleurs, de manière à produire chez le curieux une certaine émotion ».

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    Alberto Bimbocci et ses réalisations photographiques

    ouverture du nouveau musée en 2021

    Conçu, dès les plans de 1930, comme un ensemble de salles de prestige destiné à accueillir des expositions temporaires au 2èmeétage de l’hôtel de ville, le Musée des Beaux-Arts de Charleroi a été officiellement ouvert au public  en tant que tel en septembre 1980, pour y présenter les collections « permanentes » de la Ville de Charleroi. De 2007 à janvier 2019, ce musée  a occupé une partie du Palais des Beaux-Arts.

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    «  Depuis l’annonce en 2014, d’un déménagement de l’Institution communale vers les Anciennes Ecuries Defeld (1887), nous n’avons eu de cesse de nous approprier les nouveaux lieux » signale Coraly Aliboni, Conservatrice. « A partir de juin 2015, alors que les architectes en charge du projet de réaménagement des espaces n’avaient pas encore été désignés, le Jury de fin de cycle de l’Académie des Beaux-Arts y prenait déjà place ». L’exposition : « Echanges visuels au cœur d’un monument » se tient jusqu’au 14 décembre 2019, dans le futur musée des Beaux-Arts, au boulevard Mayence. Ouverture officielle en 2021. JC HERIN