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  • CHARLEROI- Inauguration, ce soir, de la Biennale de Charleroi Danse

    Construite sur un principe d’ouverture et faisant résonner les couleurs d’une nouvelle identité visuelle résolument dynamique, la Biennale 17 inaugure la saison de Charleroi Danse. Elle marque le premier signal du changement souhaité par Annie Bozzini, directrice du Centre chorégraphique Wallonie-Bruxelles depuis janvier 2017, qui s’est donnée pour objectifs premiers le soutien aux artistes, une approche de la danse contemporaine sous ses imaginaires les plus larges ainsi que le renforcement de la relation de Charleroi danse avec ses publics.

    Durant trois semaines, aux Écuries à Charleroi et à La Raffinerie à Bruxelles, les deux sites de Charleroi danse accueillent de nombreuses créations et offrent une photographie de la danse internationale actuelle.

    La soirée d’ouverture donne le tempo avec la présence de Louise Vanneste , dont le solo pour deux danseurs interroge une relation de l’être au monde puisant dans l’instinct et l’intériorité, et la création deLa Horde,  rassemblement de " jumpers " originaires de toute l’Europe et qui dansent la rage de vivre leur jeunesse dans notre époque avec une ferveur à faire trembler les murs. Après avoir mis à l’honneur la dernière pièce de Ayelen Parolin, sur la relation entre l’étrangeté individuelle et la communauté, la Biennale 17 présente un focus sur la création belge francophone, mais aussi le travail du chorégraphe d’origine sénégalaise Amala Dianor et celui des artistes indonésiens du festival Europalia . La Chinoise Wen Hui, la Portugaise Marlene Monteiro Freitas , l’Espagnole Rocío Molina , la Française Malika Djardi , autant de femmes qui viennent faire souffler un bel esprit d’aventure sur l’art chorégraphique.

    Charleroi danse affiche désormais une intention de rassembler toutes les générations. Les plus petits trouveront leur bonheur avec Alessandro Sciarroni, qui fait usage des nouvelles technologies pour représenter le corps dans des transformations propres à faire galoper l’imagination. Enfin, les spectateurs plus habitués retrouveront le plaisir du répertoire avec le programme Lucinda Childs/William Forsythe par le Ballet de l’Opéra de Lyon, ou encore l’extraordinaire vitalité créatrice que porte encore l’œuvre de Vaslav Nijinski, avec la reprise de L’Après-midi d’un faune et de Jeux par Dominique Brun, sur la musique de Debussy.

    Du local à l’international, la Biennale de la danse, ce sont autant de découvertes ou de redécouvertes : grands récits qui fondent l’histoire vivante de la danse, folklores réinventés et évolutions inédites nées du croisement avec les nouvelles technologies… autant de gestes mêlés qui tracent l’aventure universelle des hommes et qui tendent un miroir à la société d’aujourd’hui.

    La Biennale de Charleroi danse , à partager par tous et pour tous, du 27 septembre au 14 octobre 2017.

    Source: RTBF

  • CHARLEROI DANSE: une nouvelle installation de Thierry De Mey inaugurée, ce mercredi

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    Lors de l'inauguration mercredi. photos: J.C.Hérin

    Thierry De Mey a traversé les dix dernières années de Charleroi Danses avec de nombreux projets qui tous mettaient en scène son insatiable curiosité sur les liens que le mouvement entretient avec le son et l’image. Précurseur dans ce domaine, il a signé quelques belles œuvres qui resteront dans la mémoire des spectateurs de Charleroi danse. En guise de dernier geste de son attachement à cette structure, il propose une nouvelle installation qui sera hébergée au Quai 10 à Charleroi durant toute la Biennale.

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    Thierry De Mey se fraie un passage à travers les bambous

    Composée de centaines de bambous suspendus et d’un parcours inscrit au sol, l’installation invite le spectateur-acteur à traverser l’espace sur une vingtaine de mètres en faisant sonner les bambous au passage des corps ou d’un frôlement de la main.

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    Matthieu Bakolas, directeur de Quai 10, Anne Bozzini, directrice de Charleroi Danse et Thierry De Mey

  • GILLY- Fête du pain: les gourmets ont dégusté la mie d'Gilly

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    Hmm...  Ce week-end, de bonnes odeurs s'échappaient du chapiteau à la place des Haies!

    Pour la deuxième année consécutive, le CIG ( Comité d'Initiatives Gilliciennes) , sous la présidence de Michel Koskins, mettait sur pied la Fête du Pain, en collaboration avec la Fédération des boulangers/pâtissiers de Charleroi, coordonnée par Attillio Banzarella, la Ville de Charleroi, et l'établissement Bruyerre.       

    Cette Fête, qui rassemble un bon millier de personnes, est un rendez-vous que les gourmets ne peuvent manquer sous aucun prétexte. On pouvait y déguster "la mie d'Gilly", un pain dont la mie jaunâtre, alvéolée,... faite exclusivement pour cet événement, et que l'on peut dans des boulangeries spécialisées. A ne pas manquer non plus la tarte au sucre de Dominique Cigagna, boulanger retraité. La pâte est faite à la main. Parmi les ingrédients: noix de beurre salé, oeufs battus et crème fraîche. On y trouvait encore des cramiques, des lasagnes, des pizzas, des galettes, le fromage du Luxembourg, le fromage de "Gilly-en-Suisse" ( le Comité de Gilly a été créé par la fusion de5 Gilly!), du vin de fruit, des gaufres, des confiseries ...

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    à droite: Dominique Cigagna préparait de délicieuses tartes au sucre

    Bien sûr, la "Gayolle", bière gillicienne, était un complément à tous ces bons produits. Notons que les élèves de l'UT, section boulangerie, apportaient leur savoir-faire. JC

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    Pas de temps à perdre pour les boulangers...