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  • CHARLEROI: "Momo" à voir au Poche Théâtre jusqu'au 1er juin

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    Un fils, qui présente un handicap, va déclencher des quiproquos incroyables. A voir au Poche Théâtre du 28 mai au 1er juin. 

    JEAN-CLAUDE HERIN 

    «Momo», c'est «maman» dit par un sourd-muet, qui «verbalise» comme il le peut. C'est-à-dire en étant très souvent complètement incompréhensible. C'est aussi le titre d'une pièce écrite par Sébastien Thiéry et d'un film du même nom avec Christian Clavier et Catherine Frot. On y retrouve le personnage d'André. Ce pharmacien va découvrir, bien malgré lui, qu’il a un enfant dans des circonstances très, très bizarres. Alors il est vrai que lui et sa femme Laurence, qui est directrice des ressources humaines, ont bien essayé d’avoir un enfant, mais sans jamais y parvenir. Et là, ils vont apprendre qu’ils ont un enfant. « Enfin est-il vraiment leur enfant ?" se demande Fabrice Jack, qui incarne André. " Si cette nouvelle situation enchante ma femme Laurence, moi, je reste très fermé, sceptique et j’émets beaucoup de doutes quant à la paternité de ce fils. Laurence, quant à, elle accueille ce nouveau fils, avec beaucoup d’enthousiasme et beaucoup d’émotions et qui, je pense, vont faire beaucoup rire le public". Dans cette pièce, on rit surtout de nos égoïsmes qui nous rendent si résistants au désordre de l’inattendu. Avec également Jonas Barvaux, Céline Conreur (qui joue le rôle d'une aveugle) et Khadija Oubella. Mise en scène: Benjamin Vandries. A voir au Poche Théâtre, 70, rue du Fort à Charleroi. Infos & réservations :0497/44.32.96 fabrice@quiz.be Prévente : 12 euros. Sur place : 15 euros. 

  • CHARLEROI: LE Diner de Cons au Théâtre Marignan déclenche toujours des fous rires !

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    photo: Dominique 

    Pierre et ses amis organisent des dîners un peu particuliers en amenant un "con". Mais attention! Les apparences sont parfois trompeuses... A voir jusqu'au 8 juin. 

    JEAN-CLAUDE HERIN 

    "Le plus con n’est pas toujours celui que l’on croit !"  Voilà en quelque sorte un message délivré par Francis Veber, l'auteur du "Diner de Cons". D’abord véritable phénomène à sa création, cette pièce est devenue un standard du théâtre contemporain en 1993 et du cinéma français en 1998. Rapelons-nous l'intrigue: tous les mercredis, Pierre Brochant (Antoine Vandenberghe) et ses comparses se chargent d'amener un "con", qu'il souhaite le plus stupide possible, afin de gagner une sorte de concours hebdomadaire. Comme chaque semaine, Pierre se tourmente. Où trouver le "con" achevé ? Ce soir, Pierre est ravi. Il a mis la main sur un champion du monde, François Pignon (Jean-Paul Clerbois), un fonctionnaire au ministère des Finances et passionné de maquettes en allumettes. Pierre s’apprête à passer un grand moment. Mais il ne se doute pas de ce qui l’attend. Il va vite découvrir qu’avec François les soirées sont toujours imprévisibles... C'est que Pignon est passé maître dans l’art de déclencher des catastrophes ! 

     garder la pièce " dans son jus" 

    « Nous avions déjà joué la pièce en 2001 à Charleroi avec plus ou moins la même distribution. C'est avec grand plaisir que nous la proposons à nouveau au public. Lors des premières représentations, nous avons remarqué que les spectateurs reprenaient des répliques cultes, inattendues ou tendres, par coeur » souligne Antoine Vandenberghe. « La plume de Francis Veber fait mouche et les spectateurs sont enchantés de retrouver l’indétrônable François Pignon. Celui-ci donne toujours un coup de fil avec un gros téléphone à touche et non un smartphone. Et quand il prend l'accent « belche, une fwè », nous étions encore la cible de moquerie venant des Français. Nous avons donc gardé la pièce « dans son jus », c'est à dire que nous n'avons pas voulu la moderniser". A voir au Théâtre Marignan. vec également Gilda Strazak, Mélanie Mazaglia, Georges Volral, Luigi di Giovanni et Giuseppe Maligieri. Prix plein: 20 euros. Séance supplémentaire: le 7 juin à 16h. Renseignements et réservations sur info@theatremarignan.be - billetterie@theatremarignan.be ou par tél 0495/10.20.14 (du mardi au samedi de 14h à 18h).

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    photo: Dominique 

    La saison 25-26: humour toujours !

    La huitième saison du Théâtre Marignan sera de nouveau placée sous le signe du divertissement avec, en été, le festival Eté Divert', en octobre-novembre, un nouveau festival des arts vivants à Charleroi: le CaroLOL, du stand-up avec Osman le vrai, Fabio Allibrio, Gaëlle Gauthier et Arnaud Gidoin, du conte, de l’impro, du cabaret, des spectacles pour enfants et aussi 5 spectacles par Cabaret 2000 : À la rentrée, en septembre: « Sans rancune », une pièce rocambolesque qui emportera le public dans un tourbillon de rires et de rebondissements. Durant la période des fêtes, place à la comédie : « Sexe, magouilles et culture générale», dans laquelle les spectateurs seront plongés dans les coulisses d’une émission TV complètement barrée! L'année 2026 commencera en beauté avec « Times Square », un spectacle tendre au plein cœur de la Grosse Pomme. En mars-avril, « Le clan des veuves » débarque au Théâtre Marignan: Loulou, Marcelle et Rose sont inséparables et leur statut de veuves n’en fait pas moins de joyeuses complices au tempérament de feu !  Aux mois de mai et juin, pour terminer la saison, reprise d'un grand classique de Francis Veber auteur du Dîner de cons: « Le placard ». Abonnements 5 spectacles : Adultes: 80€ / – de 25 ans: 50 euros. Promotions avant le 10 juillet. A noter aussi “Le Joyeux Cabaret”  qui revient pour une troisième saison pour une bonne dose de glamour à Charlouz et le retour de la compagnie de l’Esperluette avec le spectacle déjanté: Blanc Mangé Coco!

  • MONT-SUR-MARCHIENNE: Expo au Musée de la Photo: "A perfect world": entre beauté et mystère...

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    Ruud Van Empel - photo J.C.Hérin 

    A travers cette expo faite de collages captivants et poétiques, le photographe néerlandais Ruud Van Empel explore des mondes utopiques. A voir jusqu'au 21 septembre 25. 

    JEAN-CLAUDE HERIN

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    Merveilleux, magique, enchanteur, mais aussi intrigant... Les qualificatifs ne manquent pas pour qualifier l'univers dans lequel baignent les photos de Ruud Van Empel.  Le visiteur sera d'abord surpris par la grande taille des oeuvres, lesquelles rappellent, par leurs couleurs et la luxuriance végétale, les tableaux du Douanier Rousseau. 

    La méthode de travail utilisée par l'artiste est très complexe. Dans son atelier, l'artiste photographie des modèles professionnels, il tire de nombreuses séries de photos détaillées de végétaux et d’animaux. 

    Après avoir réuni des centaines d’images dans une base de données, il choisit celles qui lui conviennent le mieux et afin d’obtenir le meilleur résultat, il mélange les modèles à l’aide du logiciel Photoshop en photographiant les vêtements séparément sur un  mannequin. 

    De cette manière, il crée de nouvelles images, le plus souvent des images d’enfants, noirs ou blancs. Chaque photographie est une fenêtre sur un univers parallèle, où la perfection apparente cache souvent des zones plus sombres.

    Ruud Van Empel a suivi une formation en design graphique entre 1976 et 1981 à l’École des Beaux-Arts de Breda.

    Il travaille brièvement comme designer, avant de réaliser des vidéos et de se vouer à la photographie. C’est en 2006, avec sa série World-Moon-Venus présentée à New York, que l'artiste acquiert une réputation internationale dans le domaine de l’édition photographique et du collage. Depuis, il expose dans le monde entier.

    À découvrir également: : "John Vink". Le Fil, "Jean-Marc Chapa. La vie nue", Justine Dofal: " En hiver, le soleil part de bonne heure". Eva Giolo "Becoming Landscape". Infos: www.museephoto.be 

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    Justine Dofal et Eva Giolo

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    photos de Justine Dofal 

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    Lors du vernissage, autour de Xavier Canonne, directeur du Musée de la Photo  - photo J.C.Hérin